Les Bleues en préparation à la Coupe du Monde 2003 (photo archive Sébastien Duret)
Après l'historique qualification pour une première participation à la Coupe du Monde au stade Geoffroy Guichard devant près de 25 000 spectateurs, les Bleues étaient entrées dans une phase de préparation à la Coupe du Monde en début d'année 2013.
Elles avaient été conviées pour la première fois à disputer l'Algarve Cup. Un tournoi qui réunissait en 2003 tout le gratin du football, Etats-Unis, Chine, Norvège, Suède, Canada... Seule l'Allemagne manquait à l'appel. Elisabeth Loisel avait emmené à cette occasion, le noyau dur de la sélection avec les "étrangères" Pichon (Philadelphie), Mugneret-Beghé (Boston) et Woock (Frankfurt).
Le groupe avait été élargi avec l'intégration de jeunes joueuses issues du CNFE (Meilleroux, Diguelman, Georges ou encore Dusang) mais aussi Petit, et Deville qui est d'ailleurs la seule joueuse présente pour l'édition 2015 après le forfait de Georges. Seule Riera, victime d'une pubalgie manquait à l'appel.
Elles avaient été conviées pour la première fois à disputer l'Algarve Cup. Un tournoi qui réunissait en 2003 tout le gratin du football, Etats-Unis, Chine, Norvège, Suède, Canada... Seule l'Allemagne manquait à l'appel. Elisabeth Loisel avait emmené à cette occasion, le noyau dur de la sélection avec les "étrangères" Pichon (Philadelphie), Mugneret-Beghé (Boston) et Woock (Frankfurt).
Le groupe avait été élargi avec l'intégration de jeunes joueuses issues du CNFE (Meilleroux, Diguelman, Georges ou encore Dusang) mais aussi Petit, et Deville qui est d'ailleurs la seule joueuse présente pour l'édition 2015 après le forfait de Georges. Seule Riera, victime d'une pubalgie manquait à l'appel.
Une bonne entrée
Marinette Pichon a inscrit deux buts lors de l'Algarve Cup 2003 (Photo d'archive)
La France retrouvait le Danemark, équipe qu'elle avait éliminé du tour de barrage pour la Coupe du Monde (2-0, 1-1). Les Danoises sous la chaleur locale ont rapidement cédé et se sont montrées impuissantes.
Un succès en gage de confirmation avec une équipe quasiment type alignée (3-0). Le deuxième match était un autre test face à la Chine, alors nation majeure du football.
Un mois après les avoir rencontré en amical à Marmande (1-2), les Bleues rajeunies au coup d'envoi ont craqué face à la talentueuse Sun Wen. La rapidité chinoise allait faire le reste et le score était lourd (0-3), d'autant que Corinne Diacre avait manqué un penalty avant la pause.
Un succès en gage de confirmation avec une équipe quasiment type alignée (3-0). Le deuxième match était un autre test face à la Chine, alors nation majeure du football.
Un mois après les avoir rencontré en amical à Marmande (1-2), les Bleues rajeunies au coup d'envoi ont craqué face à la talentueuse Sun Wen. La rapidité chinoise allait faire le reste et le score était lourd (0-3), d'autant que Corinne Diacre avait manqué un penalty avant la pause.
La Chine en finale sur le fil
Pour son dernier match de poule, la France pouvait encore espérer une place en finale (1. Chine, 4 pts, 2. France, 3 pts, 3. Finlande, 2 pts). La Finlande était le dernier adversaire et restait sur deux 0-0 contre la Chine et le Danemark. Mais en première période, la France peinait à trouver le rythme face à une équipe physique. Ce n'est qu'après la pause, que les Bleues prenaient le dessus, Hoda Lattaf libérant l'équipe (1-0). Dans le même temps, la Chine était tenue en échec par le Danemark (1-1), jusqu'à un but de Sun Wen dans les arrêts de jeu qui laissait la France au pied d'une finale.
Pour cette petite finale, il y avait comme une certaine amertume de retrouver (encore !) la Norvège alors que la finale face aux Etats-Unis et ses stars était toute proche. Mais la Norvège restait un très bon test après de lourdes défaites dans un passé proche. Concédant un but d'entrée de Dagny Mellgren suite à un corner, les Bleues ont bien joué mais se sont montrées inefficaces à l'approche du but d'Ingrid Hjelmseth (0-1). Là aussi, la France était passée proche d'une grande première. Malgré cela les enseignements étaient positifs.
Pour cette petite finale, il y avait comme une certaine amertume de retrouver (encore !) la Norvège alors que la finale face aux Etats-Unis et ses stars était toute proche. Mais la Norvège restait un très bon test après de lourdes défaites dans un passé proche. Concédant un but d'entrée de Dagny Mellgren suite à un corner, les Bleues ont bien joué mais se sont montrées inefficaces à l'approche du but d'Ingrid Hjelmseth (0-1). Là aussi, la France était passée proche d'une grande première. Malgré cela les enseignements étaient positifs.