Aurélie Kaci et Laure Boulleau sont entrées en jeu en seconde période. Ce match a permis au sélectionneur, Philippe Bergeroo de faire tourner. (Photo : Eric Baledent)
Le sentiment du devoir accompli. Du travail bien fait. Les joueuses de l’équipe de France le ressentent souvent lors des matches éliminatoires ou amicaux comme vendredi soir à Beauvais. Six buts marqués et toujours pas de but encaissé pour la sélection de Philippe Bergeroo qui avance sereinement. Sans accroc.
La seule (petite) chose que l’on pourrait pointer du doigt, c’est l’entame de match face à des Polonaises volontaires. La capitaine, Wendie Renard, qui a inscrit son quatrième but en six matches, ne se cache pas. « Les quinze premières minutes ont été difficiles, les Polonaises ont mis un peu d’impact et, nous, nous étions trop approximatives au niveau des passes et pas assez propres techniquement. Mais on a réussi à ouvrir le score rapidement, cela nous a facilité la tâche et on a pu dérouler par la suite. » Jessica Houara, qui aura joué tout le match, est du même avis. « On a eu du mal à se mettre dedans. Techniquement, on a fait quelques erreurs mais on n’a pas pris de buts, c‘est un point positif, ça fait longtemps qu’on n’en a pas pris d’ailleurs. » Cela remonte en effet au mois de juillet et ce fameux but danois de Rasmussen en quarts de finale de l’Euro. De mauvais souvenirs, donc. Et puis les Bleues se sont (encore) créés une ribambelle d’occasions. Notamment lors du premier acte. Mais elles en ont converties six. Largement suffisant. « L’efficacité, c’était un peu notre péché mignon, et ce soir on a fait taire quelques personnes. On met six buts, c’est bien. Je suis contente de l’œuvre collective », ose Jessica Houara.
La seule (petite) chose que l’on pourrait pointer du doigt, c’est l’entame de match face à des Polonaises volontaires. La capitaine, Wendie Renard, qui a inscrit son quatrième but en six matches, ne se cache pas. « Les quinze premières minutes ont été difficiles, les Polonaises ont mis un peu d’impact et, nous, nous étions trop approximatives au niveau des passes et pas assez propres techniquement. Mais on a réussi à ouvrir le score rapidement, cela nous a facilité la tâche et on a pu dérouler par la suite. » Jessica Houara, qui aura joué tout le match, est du même avis. « On a eu du mal à se mettre dedans. Techniquement, on a fait quelques erreurs mais on n’a pas pris de buts, c‘est un point positif, ça fait longtemps qu’on n’en a pas pris d’ailleurs. » Cela remonte en effet au mois de juillet et ce fameux but danois de Rasmussen en quarts de finale de l’Euro. De mauvais souvenirs, donc. Et puis les Bleues se sont (encore) créés une ribambelle d’occasions. Notamment lors du premier acte. Mais elles en ont converties six. Largement suffisant. « L’efficacité, c’était un peu notre péché mignon, et ce soir on a fait taire quelques personnes. On met six buts, c’est bien. Je suis contente de l’œuvre collective », ose Jessica Houara.
Déjà concentrées sur l'Autriche
La capitaine Wendie Renard a encore marqué avec les Bleues vendredi soir à Beauvais (Photo : Eric Baledent)
Perfectionniste, Wendie Renard va quand même trouver un petit défaut à son équipe avec ce tir croisé sur le poteau de Chudzik à sept minutes de la mi-temps. « On a quand même été mis en danger… Ce sont des petites choses même si, dans l’ensemble, on n’a pas été mis en danger collectivement. »
Mais les Tricolores sont déjà tournées vers le deuxième match des éliminatoires de la Coupe du monde face à l’Autriche. Un adversaire contre lequel elles ont toujours gagné. « On s’est mis en confiance. Mettre six buts à la Pologne, ce n’est pas chose facile, souligne Jessica Houara. Elles jouaient bien défensivement. Et comme on sait que l’Autriche a un peu le même style de jeu, c’est de bon augure pour jeudi prochain. » Ce genre de rencontre donne aussi de la confiance à tout un groupe. Elles sont dix-sept joueuses à avoir participé à la troisième victoire sous l’ère Bergeroo qui souhaite impliquer toutes les filles à l'image de l'entrée de la jeune Sandie Toletti (18 ans). « C’est une bonne préparation car on peut s’attendre au même genre de rencontre jeudi. Le coach a fait tourner et ça permet à tout le monde de rester concerné et de prendre du plaisir, glisse Wendie Renard. Celles qui sont rentrées (Tonazzi, Thiney) ont réussi à marquer. C’est toujours bon pour le moral. On espère continuer comme ça. »
Mais les Tricolores sont déjà tournées vers le deuxième match des éliminatoires de la Coupe du monde face à l’Autriche. Un adversaire contre lequel elles ont toujours gagné. « On s’est mis en confiance. Mettre six buts à la Pologne, ce n’est pas chose facile, souligne Jessica Houara. Elles jouaient bien défensivement. Et comme on sait que l’Autriche a un peu le même style de jeu, c’est de bon augure pour jeudi prochain. » Ce genre de rencontre donne aussi de la confiance à tout un groupe. Elles sont dix-sept joueuses à avoir participé à la troisième victoire sous l’ère Bergeroo qui souhaite impliquer toutes les filles à l'image de l'entrée de la jeune Sandie Toletti (18 ans). « C’est une bonne préparation car on peut s’attendre au même genre de rencontre jeudi. Le coach a fait tourner et ça permet à tout le monde de rester concerné et de prendre du plaisir, glisse Wendie Renard. Celles qui sont rentrées (Tonazzi, Thiney) ont réussi à marquer. C’est toujours bon pour le moral. On espère continuer comme ça. »