Sandrine Brétigny, un joker heureux (photo Eric Baledent/LMP)
Son retour dans le groupe France
« C'est comme si je n'étais jamais partie. Je me suis tout de suite sentie bien dans le groupe. Comme si j'étais partie hier alors que ça fait deux ans que je n'étais pas revenue à part pour le match contre le Brésil quand j'ai remplacé « Toto ». »
Sa nouvelle vie en Allemagne
« J'ai eu un statut complètement différent à Francfort parce que j'ai débuté beaucoup plus de matches que lors de mes deux dernières années à Lyon mais ça s'est vraiment bien passé. J'ai connu une autre culture foot, une autre culture mentale. Les Allemandes ne lâchent jamais rien, on le sait. On l'a vu en match amical. Même quand on menait 3-1, elles ont réussi à revenir au score. J'ai appris à ne jamais lâcher, à prendre confiance en moi, elles ont cette faculté à ne jamais douter et à avoir confiance en elles. C'est un plus pour moi ainsi que dans ma vie de tous les jours. »
L'ambition des Bleues
« On a fait deux fois quatrième aux Jeux et à la Coupe du monde, c'est ça l'expérience. Sur le coup, on est vraiment déçus de finir quatrième mais cette expérience peut nous servir pour la suite. Le groupe a grandi avec toutes ces erreurs. Mais il n'y a pas que des erreurs non plus, il y a du positif dans chaque compétition. On a pris conscience de ça. Peut-être que les années précédentes, on doutait, là je sens que le groupe ne doute pas. On a cet objectif d'aller chercher ce championnat d'Europe. Si on y croit toutes ensemble, on peut le faire. »
« C'est comme si je n'étais jamais partie. Je me suis tout de suite sentie bien dans le groupe. Comme si j'étais partie hier alors que ça fait deux ans que je n'étais pas revenue à part pour le match contre le Brésil quand j'ai remplacé « Toto ». »
Sa nouvelle vie en Allemagne
« J'ai eu un statut complètement différent à Francfort parce que j'ai débuté beaucoup plus de matches que lors de mes deux dernières années à Lyon mais ça s'est vraiment bien passé. J'ai connu une autre culture foot, une autre culture mentale. Les Allemandes ne lâchent jamais rien, on le sait. On l'a vu en match amical. Même quand on menait 3-1, elles ont réussi à revenir au score. J'ai appris à ne jamais lâcher, à prendre confiance en moi, elles ont cette faculté à ne jamais douter et à avoir confiance en elles. C'est un plus pour moi ainsi que dans ma vie de tous les jours. »
L'ambition des Bleues
« On a fait deux fois quatrième aux Jeux et à la Coupe du monde, c'est ça l'expérience. Sur le coup, on est vraiment déçus de finir quatrième mais cette expérience peut nous servir pour la suite. Le groupe a grandi avec toutes ces erreurs. Mais il n'y a pas que des erreurs non plus, il y a du positif dans chaque compétition. On a pris conscience de ça. Peut-être que les années précédentes, on doutait, là je sens que le groupe ne doute pas. On a cet objectif d'aller chercher ce championnat d'Europe. Si on y croit toutes ensemble, on peut le faire. »
La Russie
« On en a parlé avec les Lyonnaises qui ont joué des clubs russes cette saison. On est supérieures à elles après il faut se méfier de chaque adversaire que l'on va rencontrer et les prendre très au sérieux. Dans ce genre de matches, il faut surtout penser à nous. Chaque joueuse doit se concentrer sur ce qu'elle a à faire. On doit aussi être ensemble avec beaucoup de solidarité et j'espère qu'on gagnera. »
La marque des Bleues
« Notre marque de fabrique c'est l'alternance entre le jeu court - jeu long et notre technique. Dans cet Euro, je ne sais pas s'il y a beaucoup d'équipes capable de produire le même jeu que nous. C'est notre force. Si on s'appuie sur ça... Après, les occasions je sais qu'on les mettra. On a fait deux matches amicaux. Le dernier match contre l'Australie, on manqué de réalisme. Mais, parfois dans le foot, tu peux jouer quatre heures, tu ne marqueras pas. Il ne faut pas non plus oublier qu'on sortait de préparation. C'était il y a 6-7 jours. C'est terminé, on a bien récupéré, on est bien préparé. On est plus que prête. »
Son statut
« Bruno compte un peu sur moi dans ce rôle de joker. J'ai connu ça à Lyon certaines années. Je pense que j'avais pas trop mal réussi. J'espère qu'il en sera de même ici et que je pourrais apporter quelque chose à cette équipe. De toute façon, l'Euro se gagnera à 23 et je serais prête. Si Bruno fait appel à moi je serais ravie. »
« On en a parlé avec les Lyonnaises qui ont joué des clubs russes cette saison. On est supérieures à elles après il faut se méfier de chaque adversaire que l'on va rencontrer et les prendre très au sérieux. Dans ce genre de matches, il faut surtout penser à nous. Chaque joueuse doit se concentrer sur ce qu'elle a à faire. On doit aussi être ensemble avec beaucoup de solidarité et j'espère qu'on gagnera. »
La marque des Bleues
« Notre marque de fabrique c'est l'alternance entre le jeu court - jeu long et notre technique. Dans cet Euro, je ne sais pas s'il y a beaucoup d'équipes capable de produire le même jeu que nous. C'est notre force. Si on s'appuie sur ça... Après, les occasions je sais qu'on les mettra. On a fait deux matches amicaux. Le dernier match contre l'Australie, on manqué de réalisme. Mais, parfois dans le foot, tu peux jouer quatre heures, tu ne marqueras pas. Il ne faut pas non plus oublier qu'on sortait de préparation. C'était il y a 6-7 jours. C'est terminé, on a bien récupéré, on est bien préparé. On est plus que prête. »
Son statut
« Bruno compte un peu sur moi dans ce rôle de joker. J'ai connu ça à Lyon certaines années. Je pense que j'avais pas trop mal réussi. J'espère qu'il en sera de même ici et que je pourrais apporter quelque chose à cette équipe. De toute façon, l'Euro se gagnera à 23 et je serais prête. Si Bruno fait appel à moi je serais ravie. »