Amandine Henry fait la loi au milieu (photo E Baledent/LMP)
Y a-t-il une comparaison possible par rapport à la qualification obtenue en 2010 en Italie ?
C'est une autre histoire qui débute, on n'a pas de comparaison à faire. On a envie d'écrire notre page, cette fois en allant le plus loin possible. Je pense que c'est une première étape qui a été franchie aujourd'hui mais le plus dur reste à faire.
Qu'avez-vous penser de la prestation de la France ?
C'est notre jeu d'avoir la possession de balle, on voulait s'imposer en Finlande pour être libérées lors du deuxième match, sachant que l'on avait trois points d'avance, on n'allait pas non plus tenter le diable. Je pense que l'on su bien défendre en première mi-temps, on a su imposer notre jeu. En deuxième mi-temps, c'était un peu plus compliqué parce qu'elles sont venues nous presser. On a moins posé le ballon mais on a concrétisé nos occasions et c'était le principal.
Est-ce que vous pensez déjà à la Coupe du Monde ?
On prend match par match. Là, on va entamer le deuxième match contre la Finlande, il ne va pas falloir faire n'importe quoi non plus par respect pour la Finlande. Et puis pour nous prendre du plaisir. Après il y aura la saison avec le club, de nouveaux rendez-vous avec des matchs de préparation pour aller à la Coupe du Monde. Plusieurs objectifs mais la Coupe du Monde reste dans un coin de la tête. C'est le rêve de toute joueuse qui joue au football, c'est un rêve qui va se réaliser.
C'est une autre histoire qui débute, on n'a pas de comparaison à faire. On a envie d'écrire notre page, cette fois en allant le plus loin possible. Je pense que c'est une première étape qui a été franchie aujourd'hui mais le plus dur reste à faire.
Qu'avez-vous penser de la prestation de la France ?
C'est notre jeu d'avoir la possession de balle, on voulait s'imposer en Finlande pour être libérées lors du deuxième match, sachant que l'on avait trois points d'avance, on n'allait pas non plus tenter le diable. Je pense que l'on su bien défendre en première mi-temps, on a su imposer notre jeu. En deuxième mi-temps, c'était un peu plus compliqué parce qu'elles sont venues nous presser. On a moins posé le ballon mais on a concrétisé nos occasions et c'était le principal.
Est-ce que vous pensez déjà à la Coupe du Monde ?
On prend match par match. Là, on va entamer le deuxième match contre la Finlande, il ne va pas falloir faire n'importe quoi non plus par respect pour la Finlande. Et puis pour nous prendre du plaisir. Après il y aura la saison avec le club, de nouveaux rendez-vous avec des matchs de préparation pour aller à la Coupe du Monde. Plusieurs objectifs mais la Coupe du Monde reste dans un coin de la tête. C'est le rêve de toute joueuse qui joue au football, c'est un rêve qui va se réaliser.
"Juste une concrétisation"
Samedi soir face à la Finlande, Amandine Henry a tenté sa chance mais Korpela était là (photo E Baledent/LMP)
Avez-vous suivi les U20 lors du Mondial ?
Quand je les voyais, cela me donnait envie. Maintenant on aura l'occasion de se montrer aussi, c'est bien pour le foot féminin. C'est un gros travail des dix dernières années, c'est juste une concrétisation.
Quel sera l'objectif des Bleues au Canada ?
L'aboutissement, ce serait de la remporter (sourire). Forcément, ce serait génial de la remporter. On ira match par match, tout doucement sans se prendre la tête.
Où la France doit encore progresser pour gagner un titre ?
Au mois de juin avec les matchs contre les Etats-Unis et le Brésil, on a vu que l'on pouvait rivaliser avec les meilleures nations du monde. On était à deux doigts de remporter le deuxième match. Mais il nous reste encore du travail à faire. Les prochains matchs seront là pour voir où on en est. Après on verra.
Enfin, comment se passe votre association avec vos partenaires de club Camille Abily et Elise Bussaglia ?
Ce sont de très bonnes joueuses, rien que d'évoluer à leur côté, c'est déjà quelque chose d'extraordinaire. Et en plus, on peut se côtoyer au quotidien. Il y a des automatismes qui viennent comme ça.
Sébastien Duret,
à Vantaa
Quand je les voyais, cela me donnait envie. Maintenant on aura l'occasion de se montrer aussi, c'est bien pour le foot féminin. C'est un gros travail des dix dernières années, c'est juste une concrétisation.
Quel sera l'objectif des Bleues au Canada ?
L'aboutissement, ce serait de la remporter (sourire). Forcément, ce serait génial de la remporter. On ira match par match, tout doucement sans se prendre la tête.
Où la France doit encore progresser pour gagner un titre ?
Au mois de juin avec les matchs contre les Etats-Unis et le Brésil, on a vu que l'on pouvait rivaliser avec les meilleures nations du monde. On était à deux doigts de remporter le deuxième match. Mais il nous reste encore du travail à faire. Les prochains matchs seront là pour voir où on en est. Après on verra.
Enfin, comment se passe votre association avec vos partenaires de club Camille Abily et Elise Bussaglia ?
Ce sont de très bonnes joueuses, rien que d'évoluer à leur côté, c'est déjà quelque chose d'extraordinaire. Et en plus, on peut se côtoyer au quotidien. Il y a des automatismes qui viennent comme ça.
Sébastien Duret,
à Vantaa
Amandine Henry digest
Née le 28 septembre 1989 à Lille.
Poste : milieu de terrain.
Parcours : Hénin-Beaumont, CNFE, Lyon (depuis 2007)
Sélections : A (29), U20 (5), U19 (18), U17 (8)
>> LA FICHE D'AMANDINE HENRY
Née le 28 septembre 1989 à Lille.
Poste : milieu de terrain.
Parcours : Hénin-Beaumont, CNFE, Lyon (depuis 2007)
Sélections : A (29), U20 (5), U19 (18), U17 (8)
>> LA FICHE D'AMANDINE HENRY