(photo Antonio Mesa/FFF.fr)
Comment avez-vous analysé la défaite en Allemagne ?
On a fait un retour vidéo constructif. On s'est remises en question. C'est vraiment un échec collectif et personne n'a réussi à relever la tête. Le premier but contre l'Allemagne nous a un peu plombé et prend le deuxième rapidement. A 2-0, on se dit que cela va être difficile, mais il ne faut jamais baisser les bras. Il y a eu un manque de réaction et c'est ça qui est dommageable. Même si le groupe est jeune, il faut que chacune prenne ses responsabilités.
Cela est tout de même constructif pour la suite ?
Oui. Il faut passer par des moments difficiles et c'est ce qui s'est passé contre l'Allemagne. Il vaut mieux que cela se passe en match de préparation quand match de Coupe du Monde. Il faut se servir de ces erreurs.
Ce match face à la Suède était important pour réagir ?
Oui. Après cette défaite contre l'Allemagne, qui était une grosse claque, on voulait montrer autre chose. On a aussi de l'orgueil et même si l'on n'a pas gagné ce soir (ndlr : lundi), on a montré du mieux. On progresse à chaque rencontre.
La situation est défensive avant tout ? Mais offensivement que manque-t-il encore ?
Défensivement, on avait à cœur de se reprendre parce que l'on a pris des buts rapidement contre l'Allemagne. Aujourd'hui le mot d'ordre était d'être solide défensivement et c'est ce que l'on a fait. Il faut réussir à se lâcher offensivement et à se projeter plus vite vers l'avant, être sur chaque ballon et plus juste dans la dernière passe et le dernier geste. Il faut d'abord bien défendre avant de bien attaquer et aujourd'hui, c'est ce que l'on a su faire.
Que vous apporte Corinne Diacre ?
Défensivement, elle nous apporte beaucoup, elle nous replace et nous donne des consignes. Dans le groupe, c'est la rigueur qui prime. Elle essaye de nous mettre à l'aise quand on joue. Elle a envie que l'on réussisse et nous aussi.
Elle dit les choses franchement ?
Je sais que c'est quelqu'un qui est droit, qui dit ce qu'elle pense, qui dit ce qu'elle fait. C'est bien, on sait à quoi s'attendre. Pour le moment, on sait justement ce qu'elle attend.
A Bordeaux,
Sébastien Duret
On a fait un retour vidéo constructif. On s'est remises en question. C'est vraiment un échec collectif et personne n'a réussi à relever la tête. Le premier but contre l'Allemagne nous a un peu plombé et prend le deuxième rapidement. A 2-0, on se dit que cela va être difficile, mais il ne faut jamais baisser les bras. Il y a eu un manque de réaction et c'est ça qui est dommageable. Même si le groupe est jeune, il faut que chacune prenne ses responsabilités.
Cela est tout de même constructif pour la suite ?
Oui. Il faut passer par des moments difficiles et c'est ce qui s'est passé contre l'Allemagne. Il vaut mieux que cela se passe en match de préparation quand match de Coupe du Monde. Il faut se servir de ces erreurs.
Ce match face à la Suède était important pour réagir ?
Oui. Après cette défaite contre l'Allemagne, qui était une grosse claque, on voulait montrer autre chose. On a aussi de l'orgueil et même si l'on n'a pas gagné ce soir (ndlr : lundi), on a montré du mieux. On progresse à chaque rencontre.
La situation est défensive avant tout ? Mais offensivement que manque-t-il encore ?
Défensivement, on avait à cœur de se reprendre parce que l'on a pris des buts rapidement contre l'Allemagne. Aujourd'hui le mot d'ordre était d'être solide défensivement et c'est ce que l'on a fait. Il faut réussir à se lâcher offensivement et à se projeter plus vite vers l'avant, être sur chaque ballon et plus juste dans la dernière passe et le dernier geste. Il faut d'abord bien défendre avant de bien attaquer et aujourd'hui, c'est ce que l'on a su faire.
Que vous apporte Corinne Diacre ?
Défensivement, elle nous apporte beaucoup, elle nous replace et nous donne des consignes. Dans le groupe, c'est la rigueur qui prime. Elle essaye de nous mettre à l'aise quand on joue. Elle a envie que l'on réussisse et nous aussi.
Elle dit les choses franchement ?
Je sais que c'est quelqu'un qui est droit, qui dit ce qu'elle pense, qui dit ce qu'elle fait. C'est bien, on sait à quoi s'attendre. Pour le moment, on sait justement ce qu'elle attend.
A Bordeaux,
Sébastien Duret