Photo FFF
Après trois matchs consécutifs sans victoire, les Bleues disputeront la SheBelieves Cup début mars. Un tournoi relevé avec l'Allemagne, l'Angleterre et les Etats-Unis pour adversaires. Tenante du titre, après une première place l'an dernier sous la direction d'Olivier Echouafni, Corinne Diacre sera la troisième sélectionneure en trois éditions pour les Bleues à y prendre part. Un engagement contractuel de trois ans impose en effet à la France d'y prendre part même si en janvier dernier, Corinne Diacre avait fait part de certaines réticences liées à l'organisation de ce tournoi : "A 14, 15 mois de la Coupe du Monde, je ne l'aborderai pas dans les conditions d'une phase finale. D'abord parce que ce déplacement aux Etats-Unis va être compliqué parce que l'on a beaucoup de déplacements entre les matchs dans des stades qui sont assez lointains et qui vont générer de la fatigue. Et aller aux États-Unis à cette période pour jouer deux nations européennes limitrophes, c'est un peu dommage. C'était acté avant mon arrivée, il va falloir faire avec"
Corinne Diacre qui annonçait avoir 75% de son groupe d'établi en fin d'année dernière pourrait encore apporter quelques nouveautés comme elle le laissait entendre : "L'idée sera de continuer à trouver des automatismes, de lancer peut-être d'autres joueuses qui pourraient amener une autre forme de concurrence. Mais je pense aussi à préserver les joueuses parce que 15 jours après, certaines auront la Ligue des Champions. L'idée sera de rentrer avec les 23 joueuses aptes. Il faut continuer à travailler, entrer dans le vif du sujet. Je n'ai pas de baguette magique non plus, il faut travailler. C'est facile à dire. Il y a quand même des choses positives, je ne me contente pas de ça mais il y a une base"
Corinne Diacre qui annonçait avoir 75% de son groupe d'établi en fin d'année dernière pourrait encore apporter quelques nouveautés comme elle le laissait entendre : "L'idée sera de continuer à trouver des automatismes, de lancer peut-être d'autres joueuses qui pourraient amener une autre forme de concurrence. Mais je pense aussi à préserver les joueuses parce que 15 jours après, certaines auront la Ligue des Champions. L'idée sera de rentrer avec les 23 joueuses aptes. Il faut continuer à travailler, entrer dans le vif du sujet. Je n'ai pas de baguette magique non plus, il faut travailler. C'est facile à dire. Il y a quand même des choses positives, je ne me contente pas de ça mais il y a une base"