La joie de Léa Le Garrec après son but (photo FFF)
Pour votre retour en Bleue, premier but en sélection. Ça vous fait quoi ?
C’est beaucoup d’émotions. Je pense que ça s’est vu à la fin du match. Très heureuse, ça a été très très vite. Je suis contente pour l’équipe, déjà car ça permet de gagner cette rencontre, et très heureuse pour moi car ce sont des années de persévérance et de travail. Cinq ans et demi… Comme dit le coach, je suis sortie de la cave.
Un mot sur ces deux premiers matches avec Hervé Renard, est-ce que son arrivée a fait effet ?
Pour le moment vous l’avez vu : deux matches, deux victoires. Il y a quand même quelque chose qui a changé au niveau de l’état d’esprit. Vous l’avez vu, toutes les filles, on se bat toutes ensemble. On a vraiment cette envie de faire des choses ensemble et d’aller jusqu’au bout. On va forcément commettre des erreurs. Mais le principal c’est de toujours rattraper celle de notre coéquipière, de faire les efforts jusqu’au bout et d’y croire tout simplement.
Qu’est-ce que ça change d’être entraîné par Hervé Renard ?
Au début, je vous avoue, difficile de réaliser. Maintenant, on s’habitue. On est très heureuses de l’avoir avec nous. Tous les jours, on apprend à le connaître et vice-versa. C’est surtout je trouve humainement où ça fait la différence. Dans un collectif, pour gagner des titres, vous en avez besoin et il est surtout axé là-dessus. Ensuite à l’entraînement ou en match, on est là pour gagner, on est des compétitrices. On est sérieuses jusqu’au bout.
Mais c’est sûr que quand vous avez un meneur d’hommes comme on dit souvent avec lui, c’est différent et on le ressent aujourd’hui. On est très heureuses et limite, on est triste de se quitter après ce stage car on ne sait pas de quoi est fait la suite.
Quel a été le message d’Hervé Renard à l’issue de ce stage ?
Je ne sais pas, j’étais encore sous le coup de mes émotions je pense (rires). Il était très content et a pris du plaisir à travailler avec nous durant ces 9 jours. Ce sont dans des rencontres comme ça, face à une belle équipe du Canada tout de même, qu’il est important de gagner. C’est bien de remporter ces gros matches car à la Coupe du Monde, ce ne sera que des rencontres comme ça.
Au moment de votre but, à quoi pensez-vous ?
A quoi je pense ? C’est allé tellement vite que je n’ai pas vraiment réalisé. Je suis juste aller voir tout le groupe, le staff et les joueuses sur le banc. On s’entraîne, on ne commence pas forcément le match mais on a toutes un rôle à jouer. C’était une récompense pour moi mais aussi pour le collectif. Forcément après, j’ai pensé à toutes ces années de galère.
C’est beaucoup d’émotions. Je pense que ça s’est vu à la fin du match. Très heureuse, ça a été très très vite. Je suis contente pour l’équipe, déjà car ça permet de gagner cette rencontre, et très heureuse pour moi car ce sont des années de persévérance et de travail. Cinq ans et demi… Comme dit le coach, je suis sortie de la cave.
Un mot sur ces deux premiers matches avec Hervé Renard, est-ce que son arrivée a fait effet ?
Pour le moment vous l’avez vu : deux matches, deux victoires. Il y a quand même quelque chose qui a changé au niveau de l’état d’esprit. Vous l’avez vu, toutes les filles, on se bat toutes ensemble. On a vraiment cette envie de faire des choses ensemble et d’aller jusqu’au bout. On va forcément commettre des erreurs. Mais le principal c’est de toujours rattraper celle de notre coéquipière, de faire les efforts jusqu’au bout et d’y croire tout simplement.
Qu’est-ce que ça change d’être entraîné par Hervé Renard ?
Au début, je vous avoue, difficile de réaliser. Maintenant, on s’habitue. On est très heureuses de l’avoir avec nous. Tous les jours, on apprend à le connaître et vice-versa. C’est surtout je trouve humainement où ça fait la différence. Dans un collectif, pour gagner des titres, vous en avez besoin et il est surtout axé là-dessus. Ensuite à l’entraînement ou en match, on est là pour gagner, on est des compétitrices. On est sérieuses jusqu’au bout.
Mais c’est sûr que quand vous avez un meneur d’hommes comme on dit souvent avec lui, c’est différent et on le ressent aujourd’hui. On est très heureuses et limite, on est triste de se quitter après ce stage car on ne sait pas de quoi est fait la suite.
Quel a été le message d’Hervé Renard à l’issue de ce stage ?
Je ne sais pas, j’étais encore sous le coup de mes émotions je pense (rires). Il était très content et a pris du plaisir à travailler avec nous durant ces 9 jours. Ce sont dans des rencontres comme ça, face à une belle équipe du Canada tout de même, qu’il est important de gagner. C’est bien de remporter ces gros matches car à la Coupe du Monde, ce ne sera que des rencontres comme ça.
Au moment de votre but, à quoi pensez-vous ?
A quoi je pense ? C’est allé tellement vite que je n’ai pas vraiment réalisé. Je suis juste aller voir tout le groupe, le staff et les joueuses sur le banc. On s’entraîne, on ne commence pas forcément le match mais on a toutes un rôle à jouer. C’était une récompense pour moi mais aussi pour le collectif. Forcément après, j’ai pensé à toutes ces années de galère.