>> Wendy Renard :
"On y est, quart de finale contre l'Allemagne. Ca va être un beau match, ça va être difficile. Mais on va d'abord bien récupérer parce qu'on a laissé quand même quelques plumes. Favorites ou outsiders ça ne change pas trop, quand le coup d'envoi sera donné il y aura juste deux équipes qui auront envie de gagner. On va tout mettre en oeuvre pour passer. Beaucoup de bleu blanc rouge dans les tribunes, ça fait plaisir. D'ailleurs j'ai fait exprès de commencer de l'autre côté, pour être face au public. C'est agréable de savoir qu'on est soutenues ici, ça sera aussi un facteur pour nous contre l'Allemagne."
>> Jessica Houara :
"Ça va être difficile c'est l'Allemagne mais le onze est prêt à répondre au combat. Le but aujourd'hui c'était d'asphyxier tout de suite l'équipe. On voulait montrer notre territoire, montrer que dans le jeu et l'impact on est là. Ça marche depuis deux matches, ça ne veut pas dire que ça marchera contre l'Allemagne. "
>> Laura Georges :
"Avec la ligue des champions avec l'Olympique Lyonnais, il y a quelques années on gagnait contre Francfort et Potsdam, je pense qu'on avait déjà grandi mentalement. Il faut que ça se réitère pour une compétition officielle. Ça va être des retrouvailles, parce qu'il y a des coéquipières qui ne seront plus au PSG l'an prochain comme Annike (Krahn) et puis il y a des joueuses qui ont signé au PSG. Ce sont des joueuses qu'on connait, qu'on a l'habitude de rencontrer sur le terrain. Ça va être intéressant."
>> Marie-Laure Délie :
"On savait qu'on allait rencontrer l'Allemagne à un moment sur notre chemin. Ça va être un gros match, il va falloir bien récupérer pour être à 100%. On les redoute, c'est un favori au titre. Nous aussi on est favori mais on n'a rien gagné. Elles ont gagné beaucoup de choses. C'est vrai que quand on voit les équipes de Wolfsburg et Francfort, on voit l'équipe allemande. C'est clair que ça serait bien de pouvoir les battre vendredi."
> Un possible duel avec Annike Krahn (défenseuse au PSG) ?
"Ça va être particulier parce que c'est une joueuse qui est dans mon club, qui me connait bien et que je connais bien aussi. Je vais tâcher de prendre le dessus sur elle. Ça va être un beau combat."
>> Laure Boulleau :
"Les Allemandes m'ont apportée beaucoup humainement, c'est un plaisir de les retrouver, mais je ne leur ferai pas de cadeau ! Je connais la mentalité allemande, je pense que si on n'est pas à 100% ça ne va pas le faire. On sait qu'on peut les battre et qu'on a les qualités pour le faire. Je les ai observées, leur côté droit est fort mais elles sont fortes un peu partout. Et nous aussi quand on se libère. À moi de bien préparer, je regarderai plus individuellement les joueuses dans ma zone. Il faudra être concentré. Ces matches là ça se joue souvent sur des détails, les coups de pied arrêtés... Il va y avoir un changement dans l'axe central pour elles. La vitesse n'est pas leur grande qualité mais tactiquement elles ont d'autres qualités. Leur plus gros défaut serait de se dire qu'elles vont nous marcher dessus parce que nous on sera là."
>> Elodie Thomis :
"On avait de la pression, on savait que si on perdait ce match, on rentrait à la maison demain. Il faut continuer et aller titiller l'Allemagne. Beaucoup de personnes nous en parlait, nous on était dans les phases de poule. C'est vrai qu'on y est. Maintenant il faut se reposer, et aller les défier, ça sera un beau combat, on part à la guerre. C'est une bonne équipe mais la France c'est une belle équipe aussi qui a beaucoup progressé. Je pense qu'elles nous craignent aussi. On connait la mentalité des Allemandes, elles ne vont rien lâcher. Cette défaite en amical chez elles, elle doivent avoir la rage."
À Montréal, Laetitia Béraud
"On y est, quart de finale contre l'Allemagne. Ca va être un beau match, ça va être difficile. Mais on va d'abord bien récupérer parce qu'on a laissé quand même quelques plumes. Favorites ou outsiders ça ne change pas trop, quand le coup d'envoi sera donné il y aura juste deux équipes qui auront envie de gagner. On va tout mettre en oeuvre pour passer. Beaucoup de bleu blanc rouge dans les tribunes, ça fait plaisir. D'ailleurs j'ai fait exprès de commencer de l'autre côté, pour être face au public. C'est agréable de savoir qu'on est soutenues ici, ça sera aussi un facteur pour nous contre l'Allemagne."
>> Jessica Houara :
"Ça va être difficile c'est l'Allemagne mais le onze est prêt à répondre au combat. Le but aujourd'hui c'était d'asphyxier tout de suite l'équipe. On voulait montrer notre territoire, montrer que dans le jeu et l'impact on est là. Ça marche depuis deux matches, ça ne veut pas dire que ça marchera contre l'Allemagne. "
>> Laura Georges :
"Avec la ligue des champions avec l'Olympique Lyonnais, il y a quelques années on gagnait contre Francfort et Potsdam, je pense qu'on avait déjà grandi mentalement. Il faut que ça se réitère pour une compétition officielle. Ça va être des retrouvailles, parce qu'il y a des coéquipières qui ne seront plus au PSG l'an prochain comme Annike (Krahn) et puis il y a des joueuses qui ont signé au PSG. Ce sont des joueuses qu'on connait, qu'on a l'habitude de rencontrer sur le terrain. Ça va être intéressant."
>> Marie-Laure Délie :
"On savait qu'on allait rencontrer l'Allemagne à un moment sur notre chemin. Ça va être un gros match, il va falloir bien récupérer pour être à 100%. On les redoute, c'est un favori au titre. Nous aussi on est favori mais on n'a rien gagné. Elles ont gagné beaucoup de choses. C'est vrai que quand on voit les équipes de Wolfsburg et Francfort, on voit l'équipe allemande. C'est clair que ça serait bien de pouvoir les battre vendredi."
> Un possible duel avec Annike Krahn (défenseuse au PSG) ?
"Ça va être particulier parce que c'est une joueuse qui est dans mon club, qui me connait bien et que je connais bien aussi. Je vais tâcher de prendre le dessus sur elle. Ça va être un beau combat."
>> Laure Boulleau :
"Les Allemandes m'ont apportée beaucoup humainement, c'est un plaisir de les retrouver, mais je ne leur ferai pas de cadeau ! Je connais la mentalité allemande, je pense que si on n'est pas à 100% ça ne va pas le faire. On sait qu'on peut les battre et qu'on a les qualités pour le faire. Je les ai observées, leur côté droit est fort mais elles sont fortes un peu partout. Et nous aussi quand on se libère. À moi de bien préparer, je regarderai plus individuellement les joueuses dans ma zone. Il faudra être concentré. Ces matches là ça se joue souvent sur des détails, les coups de pied arrêtés... Il va y avoir un changement dans l'axe central pour elles. La vitesse n'est pas leur grande qualité mais tactiquement elles ont d'autres qualités. Leur plus gros défaut serait de se dire qu'elles vont nous marcher dessus parce que nous on sera là."
>> Elodie Thomis :
"On avait de la pression, on savait que si on perdait ce match, on rentrait à la maison demain. Il faut continuer et aller titiller l'Allemagne. Beaucoup de personnes nous en parlait, nous on était dans les phases de poule. C'est vrai qu'on y est. Maintenant il faut se reposer, et aller les défier, ça sera un beau combat, on part à la guerre. C'est une bonne équipe mais la France c'est une belle équipe aussi qui a beaucoup progressé. Je pense qu'elles nous craignent aussi. On connait la mentalité des Allemandes, elles ne vont rien lâcher. Cette défaite en amical chez elles, elle doivent avoir la rage."
À Montréal, Laetitia Béraud