Louisa Cadamuro-Necib (photo Antonio Mesa/FFF)
Elodie Thomis : "Je vais revenir mardi"
Ca va mieux pour moi, je vais revenir mardi sur les terrains. Ce soir (ndlr : samedi), c'est bien car on a fait un très bon résultat, on a marqué des buts. On bosse bien. Les JO, c'est quelque chose de fantastique à jouer maintenant on va là-bas pour gagner une médaille. On a manqué de peu la médaille de bronze en 2012, cette année, on veut aller chercher cette médaille. Cela commence à devenir frustrant, même par rapport à la Coupe du Monde l'année dernière, ça s'est joué à peu.
Louisa Necib-Cadamuro : "Toujours un petit pincement au coeur"
On est contente du résultat. On savait que cela allait être difficile. On a énormément travaillé physiquement. On est dans le dur, plus on avance dans le temps, plus cela se ressent dans la fatigue. Je suis plutôt satisfaite du résultat ce soir (ndlr : samedi). On était bien place, on a essayé d'appliquer ce qu'avait demandé le coach avec une bonne circulation de balle, une bonne possession et d'avoir un jeu collectif. On est sur la bonne voie, mais on espère au top pour les Jeux, on est optimiste. Face au Canada, ce sera un adversaire plus compact, plus physique qui joue beaucoup sur les duels.
Oui, c'est sûr, j'arrête bien après les Jeux (sourire). Je ne sais pas si j'ai une motivation supérieure du fait que je vais arrêter. J'aurai toujours un petit pincement au coeur avant chaque match et me dire que je joue mes derniers matchs. Ce sera spécial pour moi.
Ca va mieux pour moi, je vais revenir mardi sur les terrains. Ce soir (ndlr : samedi), c'est bien car on a fait un très bon résultat, on a marqué des buts. On bosse bien. Les JO, c'est quelque chose de fantastique à jouer maintenant on va là-bas pour gagner une médaille. On a manqué de peu la médaille de bronze en 2012, cette année, on veut aller chercher cette médaille. Cela commence à devenir frustrant, même par rapport à la Coupe du Monde l'année dernière, ça s'est joué à peu.
Louisa Necib-Cadamuro : "Toujours un petit pincement au coeur"
On est contente du résultat. On savait que cela allait être difficile. On a énormément travaillé physiquement. On est dans le dur, plus on avance dans le temps, plus cela se ressent dans la fatigue. Je suis plutôt satisfaite du résultat ce soir (ndlr : samedi). On était bien place, on a essayé d'appliquer ce qu'avait demandé le coach avec une bonne circulation de balle, une bonne possession et d'avoir un jeu collectif. On est sur la bonne voie, mais on espère au top pour les Jeux, on est optimiste. Face au Canada, ce sera un adversaire plus compact, plus physique qui joue beaucoup sur les duels.
Oui, c'est sûr, j'arrête bien après les Jeux (sourire). Je ne sais pas si j'ai une motivation supérieure du fait que je vais arrêter. J'aurai toujours un petit pincement au coeur avant chaque match et me dire que je joue mes derniers matchs. Ce sera spécial pour moi.
Eugénie Le Sommer (photo Antonio Mesa/FFF)
Eugénie Le Sommer : "J'espère que la chance tournera à Rio"
C'est une belle soirée, on avait à coeur de maîtriser notre adversaire. La Chine a fait des performances récemment, et là, on repart avec une belle victoire. Après, on a peut-être baissé de rythme en deuxième mi-temps mais c'est normal au vue de la préparation que l'on fait depuis quinze jours. A 3-0, il n'y a rien à dire. Il n'y a pas d'inquiétude à avoir pour la suite.
(A propos de la frappe déviée sur le poteau) A Rennes, j'avais déjà fait deux poteaux, il y a des soirs où la réussite n'est pas là, après j'espère que la chance, elle tournera à Rio.
Wendie Renard : "Je voterai pour Tony Parker comme porte-drapeau"
On avait envie de prendre du plaisir, même si on avait les jambes lourdes. En deuxième mi-temps, il y a eu beaucoup de changements, donc il y a eu un temps d'adaptation aussi, mais dans l'ensemble, cela reste une soirée plus que correcte. On a vu de belles choses, il reste encore des choses à améliorer mais on monte en puissance, c'est bon signe pour la suite.
Le Canada est une équipe physique, qui propose un peu du jeu, ce sera une belle opposition. A nous bien récupérer, de continuer à travailler, parce que l'objectif reste les JO. Ce genre de matchs nous permet justement de travailler pour l'avenir.
(A propos de sa présence sur la liste des potentiels "porte-drapeau" aux JO) Il y a de la fierté, du bonheur, mais après on sait que cela va probablement se jouer entre Tony Parker, Teddy Riner ou Céline Dumerc. Je pense que Tony de part l'âge avancé est en bonne position. En tout cas, je voterai pour lui. Et Teddy, dans son reportage avait dit qu'il voudrait terminer au Japon donc il pourrait être le porte-drapeau suivant.
C'est une belle soirée, on avait à coeur de maîtriser notre adversaire. La Chine a fait des performances récemment, et là, on repart avec une belle victoire. Après, on a peut-être baissé de rythme en deuxième mi-temps mais c'est normal au vue de la préparation que l'on fait depuis quinze jours. A 3-0, il n'y a rien à dire. Il n'y a pas d'inquiétude à avoir pour la suite.
(A propos de la frappe déviée sur le poteau) A Rennes, j'avais déjà fait deux poteaux, il y a des soirs où la réussite n'est pas là, après j'espère que la chance, elle tournera à Rio.
Wendie Renard : "Je voterai pour Tony Parker comme porte-drapeau"
On avait envie de prendre du plaisir, même si on avait les jambes lourdes. En deuxième mi-temps, il y a eu beaucoup de changements, donc il y a eu un temps d'adaptation aussi, mais dans l'ensemble, cela reste une soirée plus que correcte. On a vu de belles choses, il reste encore des choses à améliorer mais on monte en puissance, c'est bon signe pour la suite.
Le Canada est une équipe physique, qui propose un peu du jeu, ce sera une belle opposition. A nous bien récupérer, de continuer à travailler, parce que l'objectif reste les JO. Ce genre de matchs nous permet justement de travailler pour l'avenir.
(A propos de sa présence sur la liste des potentiels "porte-drapeau" aux JO) Il y a de la fierté, du bonheur, mais après on sait que cela va probablement se jouer entre Tony Parker, Teddy Riner ou Céline Dumerc. Je pense que Tony de part l'âge avancé est en bonne position. En tout cas, je voterai pour lui. Et Teddy, dans son reportage avait dit qu'il voudrait terminer au Japon donc il pourrait être le porte-drapeau suivant.
Claire Lavogez (photo Antonio Mesa/FFF)
Claire Lavogez : "Une sorte de revanche"
J'ai pris une sorte de revanche car j'avais raté ce penalty à la Coupe du Monde l'année dernière. Ca m'a fait beaucoup de peine à moi, à mes proches, à tout le monde. Aujourd'hui (ndlr : samedi), de pouvoir tirer le penalty, cela m'a fait plaisir, et de le marquer encore plus. Louisa (Cadamuro) devait tirer et puis je me suis dit, "tu as eu du caractère pour tirer le penalty à la Coupe du Monde donc il faut que tu en ais pour celui-ci". Et là, je l'ai marqué, j'espère que cela va me faire passer à autre chose.
Sabrina Delannoy : "La médaille, c'est tout ce qui compte"
On a beaucoup travaillé cette semaine et ce match a été la concrétisation du travail athlétique avec une victoire d'une belle manière.
Il faut profiter des Jeux, c'est l'accomplissement d'une carrière sportive. On a toutes envie de revenir avec une médaille, de récompenser tout ceux qui nous suivent des années maintenant. On ne peut plus se cacher, on sait que le résultat à la Coupe du Monde a été un échec avec l'élimination en quart de finale. On a toutes été frustrées, et on a envie de montrer un autre visage. La médaille, c'est tout ce qui compte.
Amel Majri : "Il faut rester concentrées"
On a réussi à s'imposer sur un score assez large. On a réussi à marquer assez tôt ce qui nous a facilité le match. Il nous reste encore le match du Canada, on espère que l'on fera aussi bien. Il faut rester concentrées, car on a un groupe assez dur aux Jeux Olympiques et il faudra être performantes.
Kadidiatou Diani : "Je n'ai pas lâché"
On a bien joué, on a assez posé le jeu, et on a été récompensées par ces trois buts. On le méritait, on a bossé dur. J'étais en forme mais cela restait difficile car on a fait une préparation compliquée. Mais je n'ai pas lâché.
Etre titulaire est une bonne chose. Si cela dure tant mieux pour moi. Je fais confiance aux choix du coach. Je suis dans les 18, maintenant je vais tout faire pour ne pas décevoir le coach.
A Paris,
Sébastien Duret
J'ai pris une sorte de revanche car j'avais raté ce penalty à la Coupe du Monde l'année dernière. Ca m'a fait beaucoup de peine à moi, à mes proches, à tout le monde. Aujourd'hui (ndlr : samedi), de pouvoir tirer le penalty, cela m'a fait plaisir, et de le marquer encore plus. Louisa (Cadamuro) devait tirer et puis je me suis dit, "tu as eu du caractère pour tirer le penalty à la Coupe du Monde donc il faut que tu en ais pour celui-ci". Et là, je l'ai marqué, j'espère que cela va me faire passer à autre chose.
Sabrina Delannoy : "La médaille, c'est tout ce qui compte"
On a beaucoup travaillé cette semaine et ce match a été la concrétisation du travail athlétique avec une victoire d'une belle manière.
Il faut profiter des Jeux, c'est l'accomplissement d'une carrière sportive. On a toutes envie de revenir avec une médaille, de récompenser tout ceux qui nous suivent des années maintenant. On ne peut plus se cacher, on sait que le résultat à la Coupe du Monde a été un échec avec l'élimination en quart de finale. On a toutes été frustrées, et on a envie de montrer un autre visage. La médaille, c'est tout ce qui compte.
Amel Majri : "Il faut rester concentrées"
On a réussi à s'imposer sur un score assez large. On a réussi à marquer assez tôt ce qui nous a facilité le match. Il nous reste encore le match du Canada, on espère que l'on fera aussi bien. Il faut rester concentrées, car on a un groupe assez dur aux Jeux Olympiques et il faudra être performantes.
Kadidiatou Diani : "Je n'ai pas lâché"
On a bien joué, on a assez posé le jeu, et on a été récompensées par ces trois buts. On le méritait, on a bossé dur. J'étais en forme mais cela restait difficile car on a fait une préparation compliquée. Mais je n'ai pas lâché.
Etre titulaire est une bonne chose. Si cela dure tant mieux pour moi. Je fais confiance aux choix du coach. Je suis dans les 18, maintenant je vais tout faire pour ne pas décevoir le coach.
A Paris,
Sébastien Duret