Louisa Necib et Wendie Renard peuvent laisser éclater leur joie, elles l'ont fait (photo E Baledent/LMP)
Dans les couloirs jaunis de l'ISS Stadion, la musique a quand même envahi les vestiaires français.
Malgré leur joie contenue au coup de sifflet final, les Bleues sont tout de même qualifiées pour la troisième Coupe du monde de leur histoire.
Ce n'est pas rien. Louisa Necib en est consciente : "J'ai eu la chance d'en jouer une dans le meilleur pays pour le foot féminin. C'était un truc extraordinaire. La Coupe du monde, c'est de toute façon la meilleure des compétitions à jouer avec son équipe nationale, je souhaite qu'elle soit aussi belle voire meilleure que celle vécue en Allemagne." Et d'ajouter : "Je suis très contente, très fière de ce groupe France parce que cela fait un an que l'on court derrière cette qualification mais aujourd'hui on est allé la chercher".
Une qualification acquise sereinement parce que les Bleues ont maîtrisé les 90 minutes et ne se sont jamais fait peur. Et il y a une raison à cette sérénité. "Le staff a super bien travaillé et nous avait bien présenté notre adversaire. On s'attendait exactement à ce genre d'opposition. On s'est procuré pas mal d'occasions, on n'en a concrétisé que deux mais cela suffit à notre bonheur ce soir."
Malgré leur joie contenue au coup de sifflet final, les Bleues sont tout de même qualifiées pour la troisième Coupe du monde de leur histoire.
Ce n'est pas rien. Louisa Necib en est consciente : "J'ai eu la chance d'en jouer une dans le meilleur pays pour le foot féminin. C'était un truc extraordinaire. La Coupe du monde, c'est de toute façon la meilleure des compétitions à jouer avec son équipe nationale, je souhaite qu'elle soit aussi belle voire meilleure que celle vécue en Allemagne." Et d'ajouter : "Je suis très contente, très fière de ce groupe France parce que cela fait un an que l'on court derrière cette qualification mais aujourd'hui on est allé la chercher".
Une qualification acquise sereinement parce que les Bleues ont maîtrisé les 90 minutes et ne se sont jamais fait peur. Et il y a une raison à cette sérénité. "Le staff a super bien travaillé et nous avait bien présenté notre adversaire. On s'attendait exactement à ce genre d'opposition. On s'est procuré pas mal d'occasions, on n'en a concrétisé que deux mais cela suffit à notre bonheur ce soir."
"Il y a encore toute une saison à faire"
La technique de Louisa Necib a déstabilisé les Finlandaises (photo E Baledent/LMP)
Et l'élément déclencheur, ce fut cette 24e minute avec l'ouverture du score de la n°14 française qui a rendu une copie impeccable encore ce samedi soir : "Je récupère le ballon aux 25 mètres, il y a un appel sur ma droite, je ne sais plus si c'est Gaëtane (Thiney) ou Eugénie (Le Sommer). Je me sers de son appel, je dribble une-deux joueuses et, en crochetant, il y en a deux qui tombent au sol puis j'ai ensuite la chance que mon plat du pied aille au fond."
Mais pour Louisa Necib, pas question de se projeter sur la suite. Il est encore trop tôt pour penser à cette prochaine Coupe du monde au Canada : "Il y a encore toute une saison à faire avec le club mais aussi l'équipe de France où des matches amicaux difficiles nous attendent. Bien sûr, ce soir on pense à la Coupe du monde parce qu'on vient de se qualifier mais on va quand même prendre le temps."
Thibault Simonnet
Mais pour Louisa Necib, pas question de se projeter sur la suite. Il est encore trop tôt pour penser à cette prochaine Coupe du monde au Canada : "Il y a encore toute une saison à faire avec le club mais aussi l'équipe de France où des matches amicaux difficiles nous attendent. Bien sûr, ce soir on pense à la Coupe du monde parce qu'on vient de se qualifier mais on va quand même prendre le temps."
Thibault Simonnet