Philippe Bergerôo satisfait de la prestation (photo Eric Baledent)
La nette victoire
« C’est une équipe qui a perdu à seulement 15 minutes de la fin en Suède lors des éliminatoires. On savait qu’il faudrait être patient, surtout niveau de la maitrise, des enchainements techniques tout en essayant d’être le plus collectif possible. C’est donc une très bonne soirée. On a passé un challenge avec les filles. Ce qui est important, c’est ce qu’elles ont démontré ce soir sur le plan collectif. Et tous les mérites leur en reviennent. Ce sont des joueuses professionnelles qui travaillent énormément. Ce succès nous permet d’emmagasiner beaucoup de confiance pour l’avenir tout en restant humble. Car nous savons que l’une des meilleures équipes de cette poule, ce n’est peut-être pas la Finlande mais l’Autriche. Alors restons calme et mesuré. »
La composition de départ
« La gestion humaine est très importante. Céline (Deville) n’avait pas du tout joué depuis que je suis en poste, c’était important de la faire évoluer dans les buts ce soir. Pour Laura, c’était pareil. Elle n’avait pas disputé une seule minute avec moi. C’était important pour moi de la revoir pour situer à quel niveau elle était mais aussi pour lui donner du temps de jeu et de la confiance. Devant, nous avons tenté une nouvelle association avec Marie-Laure Delie et Eugénie Le Sommer. On a aussi lancé Sandie. A 18 ans, c’est quelque chose d’extraordinaire pour elle. Il y a du talent. A nous de continuer à travailler. Mais je n’ai aucun doute sur l’état d’esprit de ces filles. J’ai aussi sorti Elise (Bussaglia) à la mi-temps qui avait reçu un coup sur la cheville. On s’était mis d’accord avec Lyon avant le match. Amandine a joué un peu plus longtemps. Et puis il y a l’entrée d’Aurélie Kaci qui a très bien tenu son rôle au milieu de terrain. »
Le match contre l’Autriche
« Quel que soit le schéma de jeu (4-4-2 ou 4-2-3-1), on va jouer de la même manière. Le but, c’est de marquer des buts mais aussi de ne pas en prendre et de montrer qu’on est très costaud derrière. C’est une chose à laquelle je tiens énormément. Maintenant, on va bien récupérer, on va encore regarder des vidéos de l’Autriche et, si on peut faire un très bon résultat là-bas, on prendrait alors une petite option. »
Le domaine à travailler
« Je ne peux pas dire que c’est la finition parce qu’on a marqué six buts ce soir (sourires). Je pense que l’on doit encore progresser dans tout ce qui est maîtrise et gestion du match. Il y a des périodes où l’on est un peu moins bien sur dix minutes. Il faut qu’on arrive à garder le ballon, le récupérer… C’est cette maîtrise que l’on devra avoir contre les grosses équipes car on ne peut pas jouer tout le temps à 200 à l’heure. Il faut trouver des temps de récupération et que nos joueuses techniques puissent nous permettre de faire souffler les autres. »
« C’est une équipe qui a perdu à seulement 15 minutes de la fin en Suède lors des éliminatoires. On savait qu’il faudrait être patient, surtout niveau de la maitrise, des enchainements techniques tout en essayant d’être le plus collectif possible. C’est donc une très bonne soirée. On a passé un challenge avec les filles. Ce qui est important, c’est ce qu’elles ont démontré ce soir sur le plan collectif. Et tous les mérites leur en reviennent. Ce sont des joueuses professionnelles qui travaillent énormément. Ce succès nous permet d’emmagasiner beaucoup de confiance pour l’avenir tout en restant humble. Car nous savons que l’une des meilleures équipes de cette poule, ce n’est peut-être pas la Finlande mais l’Autriche. Alors restons calme et mesuré. »
La composition de départ
« La gestion humaine est très importante. Céline (Deville) n’avait pas du tout joué depuis que je suis en poste, c’était important de la faire évoluer dans les buts ce soir. Pour Laura, c’était pareil. Elle n’avait pas disputé une seule minute avec moi. C’était important pour moi de la revoir pour situer à quel niveau elle était mais aussi pour lui donner du temps de jeu et de la confiance. Devant, nous avons tenté une nouvelle association avec Marie-Laure Delie et Eugénie Le Sommer. On a aussi lancé Sandie. A 18 ans, c’est quelque chose d’extraordinaire pour elle. Il y a du talent. A nous de continuer à travailler. Mais je n’ai aucun doute sur l’état d’esprit de ces filles. J’ai aussi sorti Elise (Bussaglia) à la mi-temps qui avait reçu un coup sur la cheville. On s’était mis d’accord avec Lyon avant le match. Amandine a joué un peu plus longtemps. Et puis il y a l’entrée d’Aurélie Kaci qui a très bien tenu son rôle au milieu de terrain. »
Le match contre l’Autriche
« Quel que soit le schéma de jeu (4-4-2 ou 4-2-3-1), on va jouer de la même manière. Le but, c’est de marquer des buts mais aussi de ne pas en prendre et de montrer qu’on est très costaud derrière. C’est une chose à laquelle je tiens énormément. Maintenant, on va bien récupérer, on va encore regarder des vidéos de l’Autriche et, si on peut faire un très bon résultat là-bas, on prendrait alors une petite option. »
Le domaine à travailler
« Je ne peux pas dire que c’est la finition parce qu’on a marqué six buts ce soir (sourires). Je pense que l’on doit encore progresser dans tout ce qui est maîtrise et gestion du match. Il y a des périodes où l’on est un peu moins bien sur dix minutes. Il faut qu’on arrive à garder le ballon, le récupérer… C’est cette maîtrise que l’on devra avoir contre les grosses équipes car on ne peut pas jouer tout le temps à 200 à l’heure. Il faut trouver des temps de récupération et que nos joueuses techniques puissent nous permettre de faire souffler les autres. »