photo FFF
Le match face à l'Angleterre
Sur le banc, on a senti beaucoup de tension, que le match pouvait basculer à n'importe quel moment pour une équipe ou l'autre. On a eu la chance d'avoir l'éclair d'Eugénie (rires). On a la chance une joueuse avec beaucoup de talent comme cela qui peut nous débloquer des situations à tout moment, c'est vraiment un plus pour nous.
La force de l'équipe
Je pense que l'on est une équipe qui attend cette compétition depuis longtemps. Il y avait eu la Coupe du Monde et les JO où elles avaient été frustrées. Je ne parle pas de l'Euro où l'on est sorti beaucoup trop. On travaille depuis plus de deux ans maintenant, en se disant la Coupe du Monde, c'est pour nous. On a cette motivation qui est très forte, cette envie de réussir. On a conscience que l'on a toute envie d'aller chercher cette Coupe du Monde. Il y a des filles qui ont connu beaucoup d'échecs avec l'équipe de France. Ces filles-là tirent le groupe vers le haut et se disent si cela se trouve, ce sera notre dernière compétition. On veut bien finir. Cela crée quelque chose de très fort. Une solidarité qui peut nous faire battre toutes les équipes.
Déjà qualifiée ?
Je n'ai pas fait les calculs, mais pour être honnête, on ne va pas se dire que l'on est déjà qualifié. On a conscience d'avoir fait un grand pas pour la qualification bien sûr même pour la première place. Après on s'attend encore à des matchs engagés, avec des filles qui vont nous bouger aussi. On va préparer le match de la Colombie et du Mexique comme on a préparé celui de l'Angleterre, avec beaucoup de sérieux. Tous les matchs, il faut les préparer de cette manière car il peut y avoir des surprises. On a vu le Nigeria face à la Suède. Il faut que ces surprises ne soient pas pour nous.
Sur le banc, on a senti beaucoup de tension, que le match pouvait basculer à n'importe quel moment pour une équipe ou l'autre. On a eu la chance d'avoir l'éclair d'Eugénie (rires). On a la chance une joueuse avec beaucoup de talent comme cela qui peut nous débloquer des situations à tout moment, c'est vraiment un plus pour nous.
La force de l'équipe
Je pense que l'on est une équipe qui attend cette compétition depuis longtemps. Il y avait eu la Coupe du Monde et les JO où elles avaient été frustrées. Je ne parle pas de l'Euro où l'on est sorti beaucoup trop. On travaille depuis plus de deux ans maintenant, en se disant la Coupe du Monde, c'est pour nous. On a cette motivation qui est très forte, cette envie de réussir. On a conscience que l'on a toute envie d'aller chercher cette Coupe du Monde. Il y a des filles qui ont connu beaucoup d'échecs avec l'équipe de France. Ces filles-là tirent le groupe vers le haut et se disent si cela se trouve, ce sera notre dernière compétition. On veut bien finir. Cela crée quelque chose de très fort. Une solidarité qui peut nous faire battre toutes les équipes.
Déjà qualifiée ?
Je n'ai pas fait les calculs, mais pour être honnête, on ne va pas se dire que l'on est déjà qualifié. On a conscience d'avoir fait un grand pas pour la qualification bien sûr même pour la première place. Après on s'attend encore à des matchs engagés, avec des filles qui vont nous bouger aussi. On va préparer le match de la Colombie et du Mexique comme on a préparé celui de l'Angleterre, avec beaucoup de sérieux. Tous les matchs, il faut les préparer de cette manière car il peut y avoir des surprises. On a vu le Nigeria face à la Suède. Il faut que ces surprises ne soient pas pour nous.
"Une victoire aurait un impact en France"
Les prochains adversaires
Les pays européens, c'est parfois plus athlétique, ce sont des équipes très rudes. Elles sont peut être un petit peu plus technique mais je ne sais pas, je m'avance peut-être. Je ne sais pas ce qui peut nous être favorable. On a aussi développé beaucoup de qualités physiques, on est capables de répondre aussi dans les duels. On peut rivaliser contre tous les footballs, ce qui est important, c'est de concentrer sur notre jeu.
La présence de Noël Le Graët, Président de la FFF
C'est un signe que le Président soit là dès le premier match de compétition. Cela montre l'importance qu'il accorde au football féminin. Il nous témoigne en permanence son admiration et son soutien. On a aussi conscience des attentes qu'il y a derrière nous. Il y a beaucoup de choses qui ont été faites. Notre préparation a été faite avec tout ce qu'il faut pour réussir. C'était aussi pour nous rappeler que c'était important d'aller loin pour la FFF mais aussi pour la qualification aux JO.
Les ambassadrices du football féminin en France
On sait qu'on est les actrices, la vitrine du football féminin. On est consciente que derrière nous, il y a des filles qui sont derrière leur poste de TV et qu'elles aussi, elles vont taper dans le ballon avec les copines et les copains. On sait que c'est important d'aller le plus loin possible et qu'une victoire aurait un impact, avec un nombre de licenciées qui grandirait forcément, un intérêt des médias et des sponsors grandissant.
Les pays européens, c'est parfois plus athlétique, ce sont des équipes très rudes. Elles sont peut être un petit peu plus technique mais je ne sais pas, je m'avance peut-être. Je ne sais pas ce qui peut nous être favorable. On a aussi développé beaucoup de qualités physiques, on est capables de répondre aussi dans les duels. On peut rivaliser contre tous les footballs, ce qui est important, c'est de concentrer sur notre jeu.
La présence de Noël Le Graët, Président de la FFF
C'est un signe que le Président soit là dès le premier match de compétition. Cela montre l'importance qu'il accorde au football féminin. Il nous témoigne en permanence son admiration et son soutien. On a aussi conscience des attentes qu'il y a derrière nous. Il y a beaucoup de choses qui ont été faites. Notre préparation a été faite avec tout ce qu'il faut pour réussir. C'était aussi pour nous rappeler que c'était important d'aller loin pour la FFF mais aussi pour la qualification aux JO.
Les ambassadrices du football féminin en France
On sait qu'on est les actrices, la vitrine du football féminin. On est consciente que derrière nous, il y a des filles qui sont derrière leur poste de TV et qu'elles aussi, elles vont taper dans le ballon avec les copines et les copains. On sait que c'est important d'aller le plus loin possible et qu'une victoire aurait un impact, avec un nombre de licenciées qui grandirait forcément, un intérêt des médias et des sponsors grandissant.