Jean-Louis Saez entouré de ses joueuses lors des photos officielles du MHSC (photo club)
Info pied d’argile
Touchée au pied droit en fin de première période, la latérale parisienne Laure Boulleau a passé une IRM rassurante ce lundi. C’est ce qu’elle a indiqué sur son compte twitter : « #PiedD'argileInfo! Fracture évitée, juste 1mini fracture de fatigue. Quelques jours suffiront! Vos ondes positives sont riches en calcium! Merci. »
Fière d’elles
Malgré sa défaite 2 à 0 face au PSG, Juvisy a fait plus que jeu égal avec le PSG samedi soir dans le match au sommet de la 5e journée. Le coach Pascal Gouzenes était heureux de la performance de ses filles. « Je suis fier de mes joueuses. On a su relever la tête par rapport à la défaite contre Lyon. On a tenu tout le match alors qu’elles ont des attaquantes de très grande qualité en face, a confié le coach parisien au site lesféminines.fr. Quand le PSG fait un remplacement, il fait rentrer Marie-Laure Delie… On n’a pas à rougir et je dis que l’on n’a pas craqué à la 60e mais qu’on a tenu les 90 minutes. Elles ont été justes plus efficace que nous. »
Horan, forte tête
Encore un but de la tête. La jeune américaine, Lindsey Horan a inscrit son cinquième but en cinq matches de championnat. Comme face à Montpellier, son but de la tête a été très important. Ce qui a fait dire à Farid Benstiti à la fin du match : « Je vois deux joueuses avec un aussi bon jeu de tête : Wambach et Katia Teixeira à l'époque. Cette joueuse brésilienne avait un jeu de tête extraordinaire. Mais en France, à l’heure actuelle, je crois qu’Horan est la seule qui est capable de faire cela. »
Juvisy espère refaire une finale
Malgré la défaite face au PSG, Juvisy et Gaëtane Thiney gardait espoir pour la suite de la saison en zone mixte : « Lyon est un cran au-dessus et le PSG me semble être un tout petit cran au-dessus de nous. Elles ont de très bonnes joueuses, mais on n’est pas loin. On va jouer les 17 matchs qui restent pour les gagner et si il faut refaire une finale "PSG-Juvisy" pour savoir qui ira en Champion's League, on la refera. »
Sans aucun doute
Rarement mis en difficulté par l’ASSE, Montpellier, après des défaites face à l’OL et le PSG, a retrouvé le chemin de la victoire à l’Etivallière sur le score sans appel de 4 à 0. « On était venu prendre les quatre points, l’objectif est atteint, se satisfaisait le coach Jean Louis Saez. On a eu une bonne maîtrise de nos temps forts où l’on a su marquer deux buts à chaque fois même si on aurait dû scorer un peu plus en fin de première période. En deuxième, on a trop géré et on a accéléré sur les 20 dernières minutes. On avait peut-être encore le trajet dans les jambes, le travail de la semaine et le match du PSG où il y avait eu beaucoup d’intensité. »
Touchée au pied droit en fin de première période, la latérale parisienne Laure Boulleau a passé une IRM rassurante ce lundi. C’est ce qu’elle a indiqué sur son compte twitter : « #PiedD'argileInfo! Fracture évitée, juste 1mini fracture de fatigue. Quelques jours suffiront! Vos ondes positives sont riches en calcium! Merci. »
Fière d’elles
Malgré sa défaite 2 à 0 face au PSG, Juvisy a fait plus que jeu égal avec le PSG samedi soir dans le match au sommet de la 5e journée. Le coach Pascal Gouzenes était heureux de la performance de ses filles. « Je suis fier de mes joueuses. On a su relever la tête par rapport à la défaite contre Lyon. On a tenu tout le match alors qu’elles ont des attaquantes de très grande qualité en face, a confié le coach parisien au site lesféminines.fr. Quand le PSG fait un remplacement, il fait rentrer Marie-Laure Delie… On n’a pas à rougir et je dis que l’on n’a pas craqué à la 60e mais qu’on a tenu les 90 minutes. Elles ont été justes plus efficace que nous. »
Horan, forte tête
Encore un but de la tête. La jeune américaine, Lindsey Horan a inscrit son cinquième but en cinq matches de championnat. Comme face à Montpellier, son but de la tête a été très important. Ce qui a fait dire à Farid Benstiti à la fin du match : « Je vois deux joueuses avec un aussi bon jeu de tête : Wambach et Katia Teixeira à l'époque. Cette joueuse brésilienne avait un jeu de tête extraordinaire. Mais en France, à l’heure actuelle, je crois qu’Horan est la seule qui est capable de faire cela. »
Juvisy espère refaire une finale
Malgré la défaite face au PSG, Juvisy et Gaëtane Thiney gardait espoir pour la suite de la saison en zone mixte : « Lyon est un cran au-dessus et le PSG me semble être un tout petit cran au-dessus de nous. Elles ont de très bonnes joueuses, mais on n’est pas loin. On va jouer les 17 matchs qui restent pour les gagner et si il faut refaire une finale "PSG-Juvisy" pour savoir qui ira en Champion's League, on la refera. »
Sans aucun doute
Rarement mis en difficulté par l’ASSE, Montpellier, après des défaites face à l’OL et le PSG, a retrouvé le chemin de la victoire à l’Etivallière sur le score sans appel de 4 à 0. « On était venu prendre les quatre points, l’objectif est atteint, se satisfaisait le coach Jean Louis Saez. On a eu une bonne maîtrise de nos temps forts où l’on a su marquer deux buts à chaque fois même si on aurait dû scorer un peu plus en fin de première période. En deuxième, on a trop géré et on a accéléré sur les 20 dernières minutes. On avait peut-être encore le trajet dans les jambes, le travail de la semaine et le match du PSG où il y avait eu beaucoup d’intensité. »
C.Rioust : "Si maintenant je dois utiliser des U19, je le ferai !"
Les Vertes n'ont pas fait le poids face à Montpellier (crédit : facebook ASSE féminin)
Les Vertes toujours en vadrouille
Après le stade Maurice Rousson de Feurs et l’Etivallière, les Stéphanoises vont tester un troisième terrain en quatre rencontres cette saison puisque Léon Nautin n’est toujours pas homologué. Pas facile pour les repères… Les Vertes affronteront ainsi Issy-les-Moulineaux le dimanche 19 octobre à 15h sur la pelouse d’Aimé Jacquet, terrain habituel de la CFA.
L’ASSE paralysée
Sauvées l’année dernière lors de la dernière journée face à Montpellier, les Stéphanoises ont cette fois été en dedans lors de leur premier match face à l’un des prétendants au « Big 4 » ce dimanche. Ce qui n’a pas du tout plus à Hervé Didier, le coach stéphanois : « On n’a pas joué en première période. On ne s’est pas donné les moyens. Comment l’expliquer ? Je ne sais pas, on va prendre du recul pour analyser tout ça. On ne joue pas avec nos armes, je veux bien perdre contre plus fort que nous mais là c’est agaçant parce qu’on a le potentiel pour faire mieux ».
Un bloc très bas
Lyon l’a emporté 6 à 0 face à Issy mais les Rhodaniennes ont quand même mis 44 minutes pour forcer le verrou parisien avec Pauline Peyraud-Magnin en clé de voûte. « C’est la première fois de la saison que nous jouions face à un bloc défensif placé aussi bas, reconnaissait Gérard Prêcheur dans les colonnes du Progrès. On a mis du temps à forcer le verrou mais après c’est devenu plus facile ».
Hors sujet
Logiquement battue face à Guingamp 2 à 0, Arras, avant-dernier de D1, a connu un dimanche difficile. Claude Rioust n’a pas épargné ses filles à l’issue de la rencontre : « On a été hors sujet à tout niveau. Comme je l'ai dit aux filles, si maintenant je dois utiliser des U19, je le ferai ! C'est la petite Lisa Fragoli, 16 ans, qui a montré de l'envie, qui a insufflé de la volonté ! Il nous manque aussi beaucoup de joueuses avec nos quatre blessées et Yvonne Leuko qui s'apprête à partir à la CAN. »
Coups de pied arrêtés gagnants
En quatre minutes et sur deux coups de pied arrêtés. Voilà comment Guingamp a fait la différence dimanche face à Arras (victoire 2-0). Sur un premier corner, très mal renvoyé par la défense arrageoise, Hurault a réussi un lob parfait des vingt mètres pour tromper une Musin un peu trop avancée (0-1, 26'). Et quatre minutes plus tard, sur un nouveau coup de pied de coin, Dafeur a déposé ballon sur la tête de Mbock (0-2, 30'). « Nous avons maîtrisé le match et fait la différence sur coup de pied arrêté, des phases sur lesquelles nous insistons à l'entraînement », confiait Sarah M’Barek.
Après le stade Maurice Rousson de Feurs et l’Etivallière, les Stéphanoises vont tester un troisième terrain en quatre rencontres cette saison puisque Léon Nautin n’est toujours pas homologué. Pas facile pour les repères… Les Vertes affronteront ainsi Issy-les-Moulineaux le dimanche 19 octobre à 15h sur la pelouse d’Aimé Jacquet, terrain habituel de la CFA.
L’ASSE paralysée
Sauvées l’année dernière lors de la dernière journée face à Montpellier, les Stéphanoises ont cette fois été en dedans lors de leur premier match face à l’un des prétendants au « Big 4 » ce dimanche. Ce qui n’a pas du tout plus à Hervé Didier, le coach stéphanois : « On n’a pas joué en première période. On ne s’est pas donné les moyens. Comment l’expliquer ? Je ne sais pas, on va prendre du recul pour analyser tout ça. On ne joue pas avec nos armes, je veux bien perdre contre plus fort que nous mais là c’est agaçant parce qu’on a le potentiel pour faire mieux ».
Un bloc très bas
Lyon l’a emporté 6 à 0 face à Issy mais les Rhodaniennes ont quand même mis 44 minutes pour forcer le verrou parisien avec Pauline Peyraud-Magnin en clé de voûte. « C’est la première fois de la saison que nous jouions face à un bloc défensif placé aussi bas, reconnaissait Gérard Prêcheur dans les colonnes du Progrès. On a mis du temps à forcer le verrou mais après c’est devenu plus facile ».
Hors sujet
Logiquement battue face à Guingamp 2 à 0, Arras, avant-dernier de D1, a connu un dimanche difficile. Claude Rioust n’a pas épargné ses filles à l’issue de la rencontre : « On a été hors sujet à tout niveau. Comme je l'ai dit aux filles, si maintenant je dois utiliser des U19, je le ferai ! C'est la petite Lisa Fragoli, 16 ans, qui a montré de l'envie, qui a insufflé de la volonté ! Il nous manque aussi beaucoup de joueuses avec nos quatre blessées et Yvonne Leuko qui s'apprête à partir à la CAN. »
Coups de pied arrêtés gagnants
En quatre minutes et sur deux coups de pied arrêtés. Voilà comment Guingamp a fait la différence dimanche face à Arras (victoire 2-0). Sur un premier corner, très mal renvoyé par la défense arrageoise, Hurault a réussi un lob parfait des vingt mètres pour tromper une Musin un peu trop avancée (0-1, 26'). Et quatre minutes plus tard, sur un nouveau coup de pied de coin, Dafeur a déposé ballon sur la tête de Mbock (0-2, 30'). « Nous avons maîtrisé le match et fait la différence sur coup de pied arrêté, des phases sur lesquelles nous insistons à l'entraînement », confiait Sarah M’Barek.
N.Bach : "Ce sera difficile de rester en D1 si on continue à faire des cadeaux"
Albi espérait mieux face à Soyaux (crédit : Facebook ASPTT Albi)
Un coach en colère
Dans Le Midi Libre, Nicolas Bach, le coach ruthénois, n’était pas tendre avec ses joueuses défaites par la lanterne rouge messine : « C’est une déception, une lassitude aussi. Ça fait beaucoup. Ça va être difficile de rester en D1 si on continue à faire des cadeaux, à ne pas marquer sur nos temps forts, à ne pas être concentrées. On n’a pas des comportements, des attitudes assez déterminées pour vraiment faire de la compet’, pour être guerrière et donc pour aller gagner des matches. Donc on est punies. »
Une première pour l’histoire
Les Lorraines ont profité d’erreurs individuelles pour l’emporter mais elles ont aussi montré du cœur. Et sur une remontée de balle de Papaix, suivie d’un centre, un mauvais contrôle ruthénois dans la surface a offert sur un plateau l’égalisation à Elodie Martins (20e) qui est devenue la première buteuse dans l’élite de l’histoire de son club.
Albi pouvait faire mieux
C’est en substance ce qu’a déclaré à la La Dépêche du Midi, le coach albigeois, David Welferinger après le nul obtenu contre Soyaux : « Soyaux fait partie des équipes du championnat que nous voulions battre. On a eu les occasions pour gagner mais on peut aussi perdre. C’était un match décousu avec beaucoup d’erreurs techniques de part et d’autre. Soyaux n’était pas non plus dans un bon jour. C’est insuffisant. Je sais que l’on peut faire beaucoup mieux. »
Une place anecdotique
« Être troisième ou quatrième c’est anecdotique car on n’a pas affronté les grosses équipes ». Dans La Charente Libre, Jean Parédès, l’entraîneur de l’ASJ Soyaux, ne s’est pas attardé sur le classement flatteur de son équipe avant le déplacement à Albi . Les Sojaldiciennes qui ont concédé le nul étaient toujours privées de Bilbault et Viana, qui ne seront qualifiées que la semaine prochaine, Jean Parédès enregistrait par contre le retour de blessure de Godart.
Face à la meilleure équipe du monde
Après le nul arraché contre Soyaux grâce à un penalty de Peruzzetto, les Albigeoises se préparent à recevoir l’OL, une équipe contre laquelle elles s’étaient inclinées 5 à 0 en amical. Et elles attendent cette rencontre avec impatience. « On va maintenant rencontrer la meilleure équipe du monde, lançait carrément Solène Barbance dans la Dépêche du midi. C’est bien pour le club, la ville, le public ».
Dans Le Midi Libre, Nicolas Bach, le coach ruthénois, n’était pas tendre avec ses joueuses défaites par la lanterne rouge messine : « C’est une déception, une lassitude aussi. Ça fait beaucoup. Ça va être difficile de rester en D1 si on continue à faire des cadeaux, à ne pas marquer sur nos temps forts, à ne pas être concentrées. On n’a pas des comportements, des attitudes assez déterminées pour vraiment faire de la compet’, pour être guerrière et donc pour aller gagner des matches. Donc on est punies. »
Une première pour l’histoire
Les Lorraines ont profité d’erreurs individuelles pour l’emporter mais elles ont aussi montré du cœur. Et sur une remontée de balle de Papaix, suivie d’un centre, un mauvais contrôle ruthénois dans la surface a offert sur un plateau l’égalisation à Elodie Martins (20e) qui est devenue la première buteuse dans l’élite de l’histoire de son club.
Albi pouvait faire mieux
C’est en substance ce qu’a déclaré à la La Dépêche du Midi, le coach albigeois, David Welferinger après le nul obtenu contre Soyaux : « Soyaux fait partie des équipes du championnat que nous voulions battre. On a eu les occasions pour gagner mais on peut aussi perdre. C’était un match décousu avec beaucoup d’erreurs techniques de part et d’autre. Soyaux n’était pas non plus dans un bon jour. C’est insuffisant. Je sais que l’on peut faire beaucoup mieux. »
Une place anecdotique
« Être troisième ou quatrième c’est anecdotique car on n’a pas affronté les grosses équipes ». Dans La Charente Libre, Jean Parédès, l’entraîneur de l’ASJ Soyaux, ne s’est pas attardé sur le classement flatteur de son équipe avant le déplacement à Albi . Les Sojaldiciennes qui ont concédé le nul étaient toujours privées de Bilbault et Viana, qui ne seront qualifiées que la semaine prochaine, Jean Parédès enregistrait par contre le retour de blessure de Godart.
Face à la meilleure équipe du monde
Après le nul arraché contre Soyaux grâce à un penalty de Peruzzetto, les Albigeoises se préparent à recevoir l’OL, une équipe contre laquelle elles s’étaient inclinées 5 à 0 en amical. Et elles attendent cette rencontre avec impatience. « On va maintenant rencontrer la meilleure équipe du monde, lançait carrément Solène Barbance dans la Dépêche du midi. C’est bien pour le club, la ville, le public ».