Candice Prevost, ici face à la Nouvelle-Zélande (photo : S. Duret)
Candice, quel bilan fais-tu de ce tournoi de 10 jours sur le plan personnel ?
La dernière que j'avais participé à un stage avec les Bleues, c'était à Compiègne sur 3 jours. J'ai découvert un peu plus l'ambiance d'un tournoi et même de l'équipe de France pendant 10 jours. Cela n'a rien à voir au niveau du rythme de vie du groupe.
C'est toujours très enrichissant parce qu'on apprend plein de choses, à voir des équipes un peu atypique comme l'Afrique du Sud, la Nouzelle-Zélande. Pour les filles, il y a toujours des choses à découvrir et pour moi encore plus parce que j'arrive. Je découvre tout cela et c'est vrai que j'en prends plein les yeux, plein la tête. En tout cas, c'est une expérience incroyable et magnifique à vivre, c'est sur que quand on porte ce maillot c'est toujours un rêve. Après sur l'ensemble du tournoi, pour ma part, je suis un peu déçue de mes prestations. C'est un bilan personnel un peu négatif.
Comment as-tu trouvé le rythme des matches, le niveau international ?
Ca ne pardonne pas, tu fais une erreur, tu prends tout de suite un coup. Il faut vraiment hausser le rythme, hausser le ton. Il faut prendre plus vite les informations qu'en Division 1. Tu n'as pas le droit au moindre faux-pas et c'est difficile de s'adapter. Contre l'Angleterre, je n'ai pas joué mais c'est vrai que c'est impressionnant la qualité de jeu produite des deux côtés. L'Ecosse, c'est pareil, c'était assez engagé avec un style différent. C'est vrai que lorsque l'on regarde, tous les matches ne se ressemblaient pas du tout. On apprend toujours avec ces matches.
La dernière que j'avais participé à un stage avec les Bleues, c'était à Compiègne sur 3 jours. J'ai découvert un peu plus l'ambiance d'un tournoi et même de l'équipe de France pendant 10 jours. Cela n'a rien à voir au niveau du rythme de vie du groupe.
C'est toujours très enrichissant parce qu'on apprend plein de choses, à voir des équipes un peu atypique comme l'Afrique du Sud, la Nouzelle-Zélande. Pour les filles, il y a toujours des choses à découvrir et pour moi encore plus parce que j'arrive. Je découvre tout cela et c'est vrai que j'en prends plein les yeux, plein la tête. En tout cas, c'est une expérience incroyable et magnifique à vivre, c'est sur que quand on porte ce maillot c'est toujours un rêve. Après sur l'ensemble du tournoi, pour ma part, je suis un peu déçue de mes prestations. C'est un bilan personnel un peu négatif.
Comment as-tu trouvé le rythme des matches, le niveau international ?
Ca ne pardonne pas, tu fais une erreur, tu prends tout de suite un coup. Il faut vraiment hausser le rythme, hausser le ton. Il faut prendre plus vite les informations qu'en Division 1. Tu n'as pas le droit au moindre faux-pas et c'est difficile de s'adapter. Contre l'Angleterre, je n'ai pas joué mais c'est vrai que c'est impressionnant la qualité de jeu produite des deux côtés. L'Ecosse, c'est pareil, c'était assez engagé avec un style différent. C'est vrai que lorsque l'on regarde, tous les matches ne se ressemblaient pas du tout. On apprend toujours avec ces matches.
Tu n'avais jamais connu les sélections nationales auparavant, quand tu as été convoqué la première fois, tu ne t'y attendais pas du tout ?
C'était une grosse surprise pour moi et je ne m'y attendais pas du tout. J'ai été appelée face aux Pays-Bas (NDLR : en décembre). Je me suis dit que ce n'était pas possible. J'ai été très surprise quand j'ai été prise au stage de Châteauroux où je ne m'attendais pas à être prise avec les A (NDLR : en février).
Et maintenant comment vois-tu la suite en Bleue ?
Je suis assez négative dans mes bilans et je considère que chaque match est le dernier. Je me dis que de toute façon, ce n'est que du bonus d'être là. Je prends ce que j'ai là, je le savoure et après ce qui se passera par la suite, ça se passera ou ça ne se passera pas mais ce ne sera pas grave. Je suis contente et fière d'avoir participé à ces sélections.
C'était une grosse surprise pour moi et je ne m'y attendais pas du tout. J'ai été appelée face aux Pays-Bas (NDLR : en décembre). Je me suis dit que ce n'était pas possible. J'ai été très surprise quand j'ai été prise au stage de Châteauroux où je ne m'attendais pas à être prise avec les A (NDLR : en février).
Et maintenant comment vois-tu la suite en Bleue ?
Je suis assez négative dans mes bilans et je considère que chaque match est le dernier. Je me dis que de toute façon, ce n'est que du bonus d'être là. Je prends ce que j'ai là, je le savoure et après ce qui se passera par la suite, ça se passera ou ça ne se passera pas mais ce ne sera pas grave. Je suis contente et fière d'avoir participé à ces sélections.
CANDICE PREVOST
Née le 24 juin 1983 à Evreux
1,68 m/58 kg
Clubs : Evreux ACF (1998-2003), Paris-Saint-Germain FC (depuis 2003)
Poste : milieu de terrain offensif
Nombre de sélections A : 4
Titulaire : 1
Temps de jeu : 147 minutes
Buts : 0
Bilan : 2 V, 1 N, 1 D
Matchs joués
14/12/2008 France-Pays-Bas 0-2 45 min.
05/03/2009 France-Ecosse 2-0 12 min.
10/03/2009 France-Afrique du Sud 3-2 45 min.
12/03/2009 Nouvelle-Zélande-France 1-1 45 min.
Née le 24 juin 1983 à Evreux
1,68 m/58 kg
Clubs : Evreux ACF (1998-2003), Paris-Saint-Germain FC (depuis 2003)
Poste : milieu de terrain offensif
Nombre de sélections A : 4
Titulaire : 1
Temps de jeu : 147 minutes
Buts : 0
Bilan : 2 V, 1 N, 1 D
Matchs joués
14/12/2008 France-Pays-Bas 0-2 45 min.
05/03/2009 France-Ecosse 2-0 12 min.
10/03/2009 France-Afrique du Sud 3-2 45 min.
12/03/2009 Nouvelle-Zélande-France 1-1 45 min.