L'année dernière déjà, la formation féminine s'était imposée face à KMAR en finale du championnat du monde police de futsal. Elle a réitéré cette année dans un championnat du monde plus relevé où figuraient 31 équipes représentant 16 nations disputé du 12 au 16 octobre 2009.
A l’issue des matches de son groupe composé de Gélderland-Zuid et Leiden, deux équipes néerlandaises, de la Bundespolizeï (Allemagne), de la sélection Danoise, de Varmland (Suède) et de Mönchengladbach (Allemagne), France-Police, seulement deuxième, rencontrait en quarts de finales son homologue français de la gendarmerie, leader incontesté du groupe C avec 6 victoires et 1 nul (une différence de +28). Selon de nombreux observateurs, ce match était une affiche de finale, avant l'heure.
Au terme du temps réglementaire le score n'avait pas évolué. Les spectateurs avaient alors le privilège d'assister à une palpitante série de tirs aux buts au cours de laquelle chacune des deux équipes, à tour de rôle, a eu l'opportunité d'éliminer son adversaire. Mais c'est France-Police, au grand désarroi des gendarmes, qui sortait victorieuse de cet exercice (4-3) et infligeait leur seule défaite du tournoi.
A l’issue des matches de son groupe composé de Gélderland-Zuid et Leiden, deux équipes néerlandaises, de la Bundespolizeï (Allemagne), de la sélection Danoise, de Varmland (Suède) et de Mönchengladbach (Allemagne), France-Police, seulement deuxième, rencontrait en quarts de finales son homologue français de la gendarmerie, leader incontesté du groupe C avec 6 victoires et 1 nul (une différence de +28). Selon de nombreux observateurs, ce match était une affiche de finale, avant l'heure.
Au terme du temps réglementaire le score n'avait pas évolué. Les spectateurs avaient alors le privilège d'assister à une palpitante série de tirs aux buts au cours de laquelle chacune des deux équipes, à tour de rôle, a eu l'opportunité d'éliminer son adversaire. Mais c'est France-Police, au grand désarroi des gendarmes, qui sortait victorieuse de cet exercice (4-3) et infligeait leur seule défaite du tournoi.
En demi-finales, les françaises rencontraient Madrid, une autre grosse formation qui avait elle aussi copieusement dominé le groupe D en devançant notamment KMAR, l'équipe de futsal de la garde royale des Pays-Bas que l'on retrouvera plus tard en finale. Le score de parité 1-1 à l'issue de la rencontre, obligeait les deux formations à s’affronter lors d’une séance de tirs aux buts. Après une très longue série de tentatives, 11 tirs précisément, ce sont de nouveau les françaises qui tiraient leur épingle du jeu grâce à un dernier arrêt de Fanny CARON, leur gardienne de but.
La finale jouée devant 2 200 spectateurs enthousiastes, consacrait une équipe de France-Police survoltée qui alignait d’entrée de jeu et pour la première fois du tournoi ses deux attaquantes de pointes. Ce choix a sans doute été payant puisque France-Police ouvrait le score en début de partie par Elsa Robert. Les Françaises, plus expérimentées, ont su préserver ce mince avantage jusqu’à la fin grâce à une meilleure organisation tactique et un engagement défensif très efficace.
Le coup de sifflet final venait délivrer les françaises qui se voyaient récompenser de tous les efforts consentis durant une semaine bien chargée et aux performances sportives éloquentes : 9 matches joués, 16 buts inscrits contre 3 encaissés, la défense de la sélection française ayant été la plus hermétique de ces championnats du monde.
La finale jouée devant 2 200 spectateurs enthousiastes, consacrait une équipe de France-Police survoltée qui alignait d’entrée de jeu et pour la première fois du tournoi ses deux attaquantes de pointes. Ce choix a sans doute été payant puisque France-Police ouvrait le score en début de partie par Elsa Robert. Les Françaises, plus expérimentées, ont su préserver ce mince avantage jusqu’à la fin grâce à une meilleure organisation tactique et un engagement défensif très efficace.
Le coup de sifflet final venait délivrer les françaises qui se voyaient récompenser de tous les efforts consentis durant une semaine bien chargée et aux performances sportives éloquentes : 9 matches joués, 16 buts inscrits contre 3 encaissés, la défense de la sélection française ayant été la plus hermétique de ces championnats du monde.
La solidarité affichée par les différentes équipes de la sécurité intérieure française venues participer à cette compétition a joué en faveur de notre sélection tout au long de la finale.
Les gendarmes, filles et garçons, et les formations de policiers parisiens et alsaciens qui elles aussi se sont distinguées lors de ce tournoi dans leurs catégories respectives ont encouragé la sélection France-Police sans réserve.
La Marseillaise, chantée par tous dans une salle pleine, a retenti haut et fort dans un petit coin du nord de la Hollande où 160 équipes de police représentant plus de 40 pays venus de tous les continents s’étaient données rendez-vous. Enfin, l’on notera que Saint-Pétersbourg et Madrid, les finalistes hommes, appartiennent au gratin mondial du futsal civil.
Les joueuses championnes du monde de l'équipe de France Police sont : Justine VAYSON, Stéphanie LEGRAND, Stéphanie HOFFELE, Stéphanie PREVOT, Audrey DACHICOURT, Fanny CARON, Valérie DALENCON, Céline CHATELAIN et Elsa ROBERT.
Encadrements : Patrick Cortial (DTN), Patrice G, Aurélie H, Agnès
Les gendarmes, filles et garçons, et les formations de policiers parisiens et alsaciens qui elles aussi se sont distinguées lors de ce tournoi dans leurs catégories respectives ont encouragé la sélection France-Police sans réserve.
La Marseillaise, chantée par tous dans une salle pleine, a retenti haut et fort dans un petit coin du nord de la Hollande où 160 équipes de police représentant plus de 40 pays venus de tous les continents s’étaient données rendez-vous. Enfin, l’on notera que Saint-Pétersbourg et Madrid, les finalistes hommes, appartiennent au gratin mondial du futsal civil.
Les joueuses championnes du monde de l'équipe de France Police sont : Justine VAYSON, Stéphanie LEGRAND, Stéphanie HOFFELE, Stéphanie PREVOT, Audrey DACHICOURT, Fanny CARON, Valérie DALENCON, Céline CHATELAIN et Elsa ROBERT.
Encadrements : Patrick Cortial (DTN), Patrice G, Aurélie H, Agnès