Olivier ECHOUAFNI (entraîneur du PSG) : "Je ne sais pas trop physiquement où on va en être"
Quels enseignements avez-vous tiré des demi-finales ?
La joie d'un groupe, la joie des filles après cette excellence qualification. C'est une bonne préparation en vue de cette finale. Cela n'a pas été facile mais les filles ont eu beaucoup de personnalité et de caractère pour se retrouver en finale.
Et pour cette finale ?
On est content de pouvoir terminer cette Coupe de France. Le championnat s'est terminé le 13 mars. Cinq mois après, on a la chance de la terminer. C'est l'occasion de montrer que l'on a fait un bon parcours dans cette Coupe de France. Maintenant, il reste une dernière marche à gravir pour aller chercher le titre.
Est-ce la plus belle affiche espérée ?
C'est un match entre le champion en titre et le vice-champion. On ne pouvait pas espérer mieux maintenant il faut espérer que sur le terrain les deux équipes montrent un beau match, un beau spectacle.
Sur quoi pensez-vous pouvoir faire la différence ?
Cela reste l'inconnu. La compétition, on l'a découvert la semaine dernière pour cette demi-finale. C'était une magnifique préparation, maintenant je ne sais pas trop physiquement où on va en être. Pour les Lyonnaises, ce sera un peu la même chose. On sera à six semaines de préparation, mais après la compétition, c'est tout autre. Vous avez l'intensité, l'impact, le contact, on espère avant tout bien rivaliser dans tous ses domaines-là. Un match de Coupe, c'est toujours particulier, il n'y a pas de rattrapage possible. A nous de faire en sorte d'aller provoquer, de tenter des choses pour aller marquer des buts parce que l'on en est capable.
La joie d'un groupe, la joie des filles après cette excellence qualification. C'est une bonne préparation en vue de cette finale. Cela n'a pas été facile mais les filles ont eu beaucoup de personnalité et de caractère pour se retrouver en finale.
Et pour cette finale ?
On est content de pouvoir terminer cette Coupe de France. Le championnat s'est terminé le 13 mars. Cinq mois après, on a la chance de la terminer. C'est l'occasion de montrer que l'on a fait un bon parcours dans cette Coupe de France. Maintenant, il reste une dernière marche à gravir pour aller chercher le titre.
Est-ce la plus belle affiche espérée ?
C'est un match entre le champion en titre et le vice-champion. On ne pouvait pas espérer mieux maintenant il faut espérer que sur le terrain les deux équipes montrent un beau match, un beau spectacle.
Sur quoi pensez-vous pouvoir faire la différence ?
Cela reste l'inconnu. La compétition, on l'a découvert la semaine dernière pour cette demi-finale. C'était une magnifique préparation, maintenant je ne sais pas trop physiquement où on va en être. Pour les Lyonnaises, ce sera un peu la même chose. On sera à six semaines de préparation, mais après la compétition, c'est tout autre. Vous avez l'intensité, l'impact, le contact, on espère avant tout bien rivaliser dans tous ses domaines-là. Un match de Coupe, c'est toujours particulier, il n'y a pas de rattrapage possible. A nous de faire en sorte d'aller provoquer, de tenter des choses pour aller marquer des buts parce que l'on en est capable.
Jean-Luc VASSEUR (entraîneur de Lyon) : "Favori ? Il ne faut pas se cacher les choses"
Comment votre équipe aborde cette finale ?
Comme une finale. Les filles en ont plus l'habitude que moi. Elles savent. Ce sera dans des conditions climatiques chaudes. On connait aussi bien nos adversaires, et on est ravi de les retrouver à ce niveau-là. Une finale, cela ne se joue pas, cela se gagne.
Partez-vous avec le statut de favori ?
Oui, il ne faut pas se cacher les choses. Par contre, gagner ce n'est pas facile? Il faut faire plus que l'autre en face. Et en face, il y a du talent, de la qualité. Cela reste un challenge hyper important, hyper excitant et emballant.
C'est une compétition importante alors que la Ligue des Champions se profile ?
Gagner, pour elles, cela fait partie de leur ADN, même une séance d'entraînement. Imaginez-vous une compétition, et même une finale. Elles sont dans cet esprit de tout faire pour remporter le match.
Est-ce l'affiche rêvée ?
On prend ce qui a. On n'est pas pour le spectacle, pour la promotion si, mais cela se sera le contenu. Je pense que c'est l'attente des uns et des autres. Sans se leurrer, on est les deux représentants sur la scène nationale et internationale. On peut dire que c'est une belle affiche mais il faudra que le contenu du match soit bon pour que cela profite à la promotion du foot et la promotion de ces jeunes filles qui doivent arriver en nombre pour arriver à être le premier sport collectif féminin en France.
Est-ce important que les finales soient délocalisées ?
Les passionnées de foot auraient pu remplir l'enceinte. Il y a une attente de tout le monde. A nous d'être au rendez-vous par rapport à cette attente. C'est important que des stades comme Auxerre, on a joué à Guingamp ; il y a plein de beaux stades en France. Il faudrait qu'ils ouvrent leurs portes par seulement pour une compétition mais comme déjà les clubs qui sont représentés en D1 féminine.
Comme une finale. Les filles en ont plus l'habitude que moi. Elles savent. Ce sera dans des conditions climatiques chaudes. On connait aussi bien nos adversaires, et on est ravi de les retrouver à ce niveau-là. Une finale, cela ne se joue pas, cela se gagne.
Partez-vous avec le statut de favori ?
Oui, il ne faut pas se cacher les choses. Par contre, gagner ce n'est pas facile? Il faut faire plus que l'autre en face. Et en face, il y a du talent, de la qualité. Cela reste un challenge hyper important, hyper excitant et emballant.
C'est une compétition importante alors que la Ligue des Champions se profile ?
Gagner, pour elles, cela fait partie de leur ADN, même une séance d'entraînement. Imaginez-vous une compétition, et même une finale. Elles sont dans cet esprit de tout faire pour remporter le match.
Est-ce l'affiche rêvée ?
On prend ce qui a. On n'est pas pour le spectacle, pour la promotion si, mais cela se sera le contenu. Je pense que c'est l'attente des uns et des autres. Sans se leurrer, on est les deux représentants sur la scène nationale et internationale. On peut dire que c'est une belle affiche mais il faudra que le contenu du match soit bon pour que cela profite à la promotion du foot et la promotion de ces jeunes filles qui doivent arriver en nombre pour arriver à être le premier sport collectif féminin en France.
Est-ce important que les finales soient délocalisées ?
Les passionnées de foot auraient pu remplir l'enceinte. Il y a une attente de tout le monde. A nous d'être au rendez-vous par rapport à cette attente. C'est important que des stades comme Auxerre, on a joué à Guingamp ; il y a plein de beaux stades en France. Il faudrait qu'ils ouvrent leurs portes par seulement pour une compétition mais comme déjà les clubs qui sont représentés en D1 féminine.