Le grand huit
Huit équipes sont donc qualifiées pour les quarts de finale de cette Coupe de France. Six équipes de D1 (Montpellier, Lyon, Juvisy, PSG, Soyaux, Rodez) et deux formations de D2 (Bischheim et Vendenheim). Le tirage au sort des quarts de finale se déroulera mardi 25 mars.
Trois buts pour son retour
Elle venait juste de faire son retour avec ses coéquipières. Lotta Schelin qui n’avait plus joué avec l’OL depuis le match perdu face à Paris (0-1) a de nouveau frappé. Fort. L’internationale suédoise a débloqué la situation face à Saint-Etienne en inscrivant un triplé.
« Trop sévère » pour les Vertes
Les Stéphanoises ont résisté 37 minutes avant de craquer face à Lyon. Mais à l’image de Palacin (9e) ou Morel (11e), les Vertes auraient aussi pu ouvrir le score. « La déception est grande surtout que le score final est beaucoup trop sévère par rapport aux efforts déployés par mes joueuses, confessait Hervé Didier. Elles ne méritaient pas de prendre 3-0 au vue de la qualité de leur prestation. Mais la victoire de l’OL n’est pas imméritée non plus. »
Les magiciennes n’étaient pas si loin
Le FAMF a livré une belle prestation face aux Soljadiciennes. Jusqu’à la 71e minute, les Marseillaises tenaient même leur match nul après l’égalisation de Moziyan. Mais le but csc de Valette a fait pencher la balance du côté de Soyaux. Au grand dam de Yohan Silviy, le coach du FAMF. « Le match bascule sur un but casquette. Cela nous a donné un coup au moral. Je suis très déçu. C’est une belle aventure mais cette dernière est plus jolie quand on va au bout. J’avais parlé de faire un tour de magie aujourd’hui et mes joueuses ont failli réussir leur coup ».
Synthétique et chaleur
Content pour la qualification, le coach sojaldicien, Jean-Claude Barrault n’était pas vraiment satisfait de la performance de sa formation. « On se qualifie mais on n’a pas été à la hauteur de notre statut. On a vite ouvert le score et on a pensé que cela allait se dérouler sans problème ensuite. De plus, mon équipe a été gênée par le synthétique et la chaleur, deux éléments inhabituels pour nous. L’équipe en face a pris confiance et nous avions du mal à aller vers le but adverse. »
sept buts en trente-cinq minutes
On joue la 56e minute et le petit poucet de la compétition, Mérignac-Arlac tient en échec Rodez (1-1) grâce à un but de Dalin dès la cinquième minute. Mais la machine ruthénoise va se mettre en route peu avant l’heure de jeu. Haupais, Cance, Ribeyra et De Sousa inscriront 7 buts en 35 minutes. « On a eu des difficultés à concrétiser nos occasions, en fin de première période, et en début de deuxième mi-temps, confiait à La Dépêche du Midi, le coach des Rafettes. Mais dès que nous avons inscrit le second, on en a marqué 7 en 35 minutes ».
Dur physiquement
Mérignac-Arlac a tenu une bonne heure avant de craquer. La gardienne Audrey Souletis confirme : « Je suis déçue de prendre huit buts parce que je pense que ce n'est pas mérité. On a fait une très bonne première mi-temps. Après c'était trop dur physiquement, surtout lorsque l'équipe de Rodez a marqué le deuxième but à l'heure de jeu. » Même son de cloche chez la milieu de terrain Diane Afanou : « On a bien vu que physiquement on a été dépassé. Cela se joue aussi au mental. C'est dommage. Nous étions un peu stressées. On n'a pas été le plus naturel possible. Mais c'était intéressant de jouer un tel match, pour se jauger. »
Le ciseau d’Asseyi
Il n’y a pas eu photo entre Montpellier et Le Puy pour ces huitièmes de finale. Les Montpelliéraines n’ont fait qu’une bouchée des Ponotes sur le score sans appel de 8 à 0. On retiendra le superbe ciseau acrobatique de Viviane Asseyi qui a inscrit le septième but du MHSC.
Huit équipes sont donc qualifiées pour les quarts de finale de cette Coupe de France. Six équipes de D1 (Montpellier, Lyon, Juvisy, PSG, Soyaux, Rodez) et deux formations de D2 (Bischheim et Vendenheim). Le tirage au sort des quarts de finale se déroulera mardi 25 mars.
Trois buts pour son retour
Elle venait juste de faire son retour avec ses coéquipières. Lotta Schelin qui n’avait plus joué avec l’OL depuis le match perdu face à Paris (0-1) a de nouveau frappé. Fort. L’internationale suédoise a débloqué la situation face à Saint-Etienne en inscrivant un triplé.
« Trop sévère » pour les Vertes
Les Stéphanoises ont résisté 37 minutes avant de craquer face à Lyon. Mais à l’image de Palacin (9e) ou Morel (11e), les Vertes auraient aussi pu ouvrir le score. « La déception est grande surtout que le score final est beaucoup trop sévère par rapport aux efforts déployés par mes joueuses, confessait Hervé Didier. Elles ne méritaient pas de prendre 3-0 au vue de la qualité de leur prestation. Mais la victoire de l’OL n’est pas imméritée non plus. »
Les magiciennes n’étaient pas si loin
Le FAMF a livré une belle prestation face aux Soljadiciennes. Jusqu’à la 71e minute, les Marseillaises tenaient même leur match nul après l’égalisation de Moziyan. Mais le but csc de Valette a fait pencher la balance du côté de Soyaux. Au grand dam de Yohan Silviy, le coach du FAMF. « Le match bascule sur un but casquette. Cela nous a donné un coup au moral. Je suis très déçu. C’est une belle aventure mais cette dernière est plus jolie quand on va au bout. J’avais parlé de faire un tour de magie aujourd’hui et mes joueuses ont failli réussir leur coup ».
Synthétique et chaleur
Content pour la qualification, le coach sojaldicien, Jean-Claude Barrault n’était pas vraiment satisfait de la performance de sa formation. « On se qualifie mais on n’a pas été à la hauteur de notre statut. On a vite ouvert le score et on a pensé que cela allait se dérouler sans problème ensuite. De plus, mon équipe a été gênée par le synthétique et la chaleur, deux éléments inhabituels pour nous. L’équipe en face a pris confiance et nous avions du mal à aller vers le but adverse. »
sept buts en trente-cinq minutes
On joue la 56e minute et le petit poucet de la compétition, Mérignac-Arlac tient en échec Rodez (1-1) grâce à un but de Dalin dès la cinquième minute. Mais la machine ruthénoise va se mettre en route peu avant l’heure de jeu. Haupais, Cance, Ribeyra et De Sousa inscriront 7 buts en 35 minutes. « On a eu des difficultés à concrétiser nos occasions, en fin de première période, et en début de deuxième mi-temps, confiait à La Dépêche du Midi, le coach des Rafettes. Mais dès que nous avons inscrit le second, on en a marqué 7 en 35 minutes ».
Dur physiquement
Mérignac-Arlac a tenu une bonne heure avant de craquer. La gardienne Audrey Souletis confirme : « Je suis déçue de prendre huit buts parce que je pense que ce n'est pas mérité. On a fait une très bonne première mi-temps. Après c'était trop dur physiquement, surtout lorsque l'équipe de Rodez a marqué le deuxième but à l'heure de jeu. » Même son de cloche chez la milieu de terrain Diane Afanou : « On a bien vu que physiquement on a été dépassé. Cela se joue aussi au mental. C'est dommage. Nous étions un peu stressées. On n'a pas été le plus naturel possible. Mais c'était intéressant de jouer un tel match, pour se jauger. »
Le ciseau d’Asseyi
Il n’y a pas eu photo entre Montpellier et Le Puy pour ces huitièmes de finale. Les Montpelliéraines n’ont fait qu’une bouchée des Ponotes sur le score sans appel de 8 à 0. On retiendra le superbe ciseau acrobatique de Viviane Asseyi qui a inscrit le septième but du MHSC.
Bruno Bini à Saint Maur
Trois joueuses ne finiront pas la saison
La situation est difficile à Hénin. Après la défaite 2-0 face au PSG, l’entraîneur Yannick Ansart a confirmé dans la presse que plusieurs filles ne feront plus partie du groupe héninois jusqu’à la fin de la saison. La capitaine Rachel Saïdi et la gardienne Céline Musin ont notamment été écartées : « Trois filles ne termineront pas la saison avec nous. Je n'en dirai pas plus. Notre groupe se reconstruit dans la douleur. Il est encore plus jeune qu'en début de championnat, avec l'intégration de U19. Mais ce groupe mérite le maintien. Il a un cœur gros comme ça », a confié Yannick Ansart.
Terrain miné
Malgré la victoire grâce à des buts d’Horan et Delie, le coach parisien, Farid Benstiti a profondément regretté l’état du terrain Octave Birembaut. « Avec un tel terrain, il n'est pas possible de faire un bon match. Il était même dangereux pour l'intégrité physique des joueuses. Il devrait être interdit de jouer dans de telles conditions. »
Bruno Bini à Saint-Maur
L'ancien sélectionneur de l'équipe de France féminine, Bruno Bini était dans les tribunes du stade des Corneilles en tant que spectateur pour assister à la victoire de Juvisy sur Saint-Maur en Coupe de France (4-0).
La différence, c’est ça ?
Surpris par un but d'une volée du gauche de la Juvisienne Amélie Coquet à la 21e minute, la mission était d’autant plus difficile pour la VGA Saint-Maur réduite à dix après l’expulsion de Delvallée (34e) : « En infériorité numérique, c’était vraiment compliqué et on a craqué sur la fin. On a essayé de tenir comme on pouvait. On a montré qu’on était une bonne équipe qui savait jouer au ballon. Je pense qu’à onze contre onze, il y avait moyen de les titiller. La différence entre les filles de Juvisy et nous, c’est que les occasions, elles les mettent au fond. »
Une séance rocambolesque
Dix joueuses de chaque camp ont déjà défilé devant les buts. Soit vingt tireuses. La séance de penalty entre Arras et Vendenheim a été dantesque dimanche. Et ce sont finalement les Alsaciennes qui en sont sorties vainqueur quand Romane Munich a détourné la tentative de Saint Sans Levacher. Mais cette séance est d’autant plus frustrante pour Arras qui a manqué quatre fois la balle de match. (voir la vidéo plus bas)
Leur meilleur match
Dans les DNA, le coach alsacien, Richard Mazerand ne tarissait pas d’éloges sur son groupe vainqueur d’une équipe de D1. "C'est la victoire de tout un groupe formidable et pas de quelques individualités. C’est notre meilleur match de la saison. Aujourd’hui il nous manquait des cadres est les jeunes ont répondu présent on est invaincu en 19 matches cette saison. J’ai vraiment un groupe formidable. »
« Mars sur la lune »
C’est le titre qui barre l’article du DNA après le succès aux tirs au but de Bischheim face à Anger (2-2, 5-4 tab). Laura Ey a envoyé son équipe en quart de finale pour la première fois de son histoire en inscrivant le tir au but vainqueur. Mais Bischheim a eu chaud avec un poteau angevin à une minute de la fin. A la fin du match, le président Gregory Caramello a laissé éclater sa joie : « C’est historique, exceptionnel, ce fut un match très dur et je tenais à féliciter les filles qui représentent le club mais aussi la ville et la région dans ce genre de matches. »
Kumagai plâtrée
Rentrée blessée de sélection la semaine dernière, Saki Kumagai a passé des examens, ce lundi, qui ont révélé une entorse interne de la cheville droite. La Japonaise est plâtrée pour une durée de deux semaines a annoncé l'OL, et devrait donc manquer la compétition pendant un bon mois. Pour Amandine Henry, blessée avec les Bleues, elle va reprendre progressivement.
La situation est difficile à Hénin. Après la défaite 2-0 face au PSG, l’entraîneur Yannick Ansart a confirmé dans la presse que plusieurs filles ne feront plus partie du groupe héninois jusqu’à la fin de la saison. La capitaine Rachel Saïdi et la gardienne Céline Musin ont notamment été écartées : « Trois filles ne termineront pas la saison avec nous. Je n'en dirai pas plus. Notre groupe se reconstruit dans la douleur. Il est encore plus jeune qu'en début de championnat, avec l'intégration de U19. Mais ce groupe mérite le maintien. Il a un cœur gros comme ça », a confié Yannick Ansart.
Terrain miné
Malgré la victoire grâce à des buts d’Horan et Delie, le coach parisien, Farid Benstiti a profondément regretté l’état du terrain Octave Birembaut. « Avec un tel terrain, il n'est pas possible de faire un bon match. Il était même dangereux pour l'intégrité physique des joueuses. Il devrait être interdit de jouer dans de telles conditions. »
Bruno Bini à Saint-Maur
L'ancien sélectionneur de l'équipe de France féminine, Bruno Bini était dans les tribunes du stade des Corneilles en tant que spectateur pour assister à la victoire de Juvisy sur Saint-Maur en Coupe de France (4-0).
La différence, c’est ça ?
Surpris par un but d'une volée du gauche de la Juvisienne Amélie Coquet à la 21e minute, la mission était d’autant plus difficile pour la VGA Saint-Maur réduite à dix après l’expulsion de Delvallée (34e) : « En infériorité numérique, c’était vraiment compliqué et on a craqué sur la fin. On a essayé de tenir comme on pouvait. On a montré qu’on était une bonne équipe qui savait jouer au ballon. Je pense qu’à onze contre onze, il y avait moyen de les titiller. La différence entre les filles de Juvisy et nous, c’est que les occasions, elles les mettent au fond. »
Une séance rocambolesque
Dix joueuses de chaque camp ont déjà défilé devant les buts. Soit vingt tireuses. La séance de penalty entre Arras et Vendenheim a été dantesque dimanche. Et ce sont finalement les Alsaciennes qui en sont sorties vainqueur quand Romane Munich a détourné la tentative de Saint Sans Levacher. Mais cette séance est d’autant plus frustrante pour Arras qui a manqué quatre fois la balle de match. (voir la vidéo plus bas)
Leur meilleur match
Dans les DNA, le coach alsacien, Richard Mazerand ne tarissait pas d’éloges sur son groupe vainqueur d’une équipe de D1. "C'est la victoire de tout un groupe formidable et pas de quelques individualités. C’est notre meilleur match de la saison. Aujourd’hui il nous manquait des cadres est les jeunes ont répondu présent on est invaincu en 19 matches cette saison. J’ai vraiment un groupe formidable. »
« Mars sur la lune »
C’est le titre qui barre l’article du DNA après le succès aux tirs au but de Bischheim face à Anger (2-2, 5-4 tab). Laura Ey a envoyé son équipe en quart de finale pour la première fois de son histoire en inscrivant le tir au but vainqueur. Mais Bischheim a eu chaud avec un poteau angevin à une minute de la fin. A la fin du match, le président Gregory Caramello a laissé éclater sa joie : « C’est historique, exceptionnel, ce fut un match très dur et je tenais à féliciter les filles qui représentent le club mais aussi la ville et la région dans ce genre de matches. »
Kumagai plâtrée
Rentrée blessée de sélection la semaine dernière, Saki Kumagai a passé des examens, ce lundi, qui ont révélé une entorse interne de la cheville droite. La Japonaise est plâtrée pour une durée de deux semaines a annoncé l'OL, et devrait donc manquer la compétition pendant un bon mois. Pour Amandine Henry, blessée avec les Bleues, elle va reprendre progressivement.