(Montage DFB)
L’Allemagne, première au Classement Mondial Féminin de la FIFA, et la France, qui pointe deux rangs derrière, auraient certainement aimé se retrouver en finale. Mais le tableau de cette première Coupe du Monde à 24 équipes ne l'a pas permis.
Car les deux équipes ont terminé en tête de leur groupe respectif, et ont remporté tranquillement leur huitième de finale, contre la Suède (4-1) et la Corée du Sud (3-0) respectivement. Du coup, ces deux nations qui nourrissent une grande rivalité sur la planète football, se croisent dès les quarts.
Les Allemandes partent avec le statut de favorites que leur confèrent leurs deux couronnes mondiales, leur première place au classement mondial, et la qualité de leur effectif. Mais les Françaises restent sur deux nuls et une victoire dans les trois dernières confrontations. Et signe du resserrement de l’écart, si à une époque la Bundesliga était l’Eldorado des joueuses européennes, les 23 Françaises jouent aujourd’hui en France, tout comme les Allemandes Josephine Henning et Annike Krahn, qui seront rejointes après le tournoi par Anja Mittag, toutes au Paris Saint-Germain.
Car les deux équipes ont terminé en tête de leur groupe respectif, et ont remporté tranquillement leur huitième de finale, contre la Suède (4-1) et la Corée du Sud (3-0) respectivement. Du coup, ces deux nations qui nourrissent une grande rivalité sur la planète football, se croisent dès les quarts.
Les Allemandes partent avec le statut de favorites que leur confèrent leurs deux couronnes mondiales, leur première place au classement mondial, et la qualité de leur effectif. Mais les Françaises restent sur deux nuls et une victoire dans les trois dernières confrontations. Et signe du resserrement de l’écart, si à une époque la Bundesliga était l’Eldorado des joueuses européennes, les 23 Françaises jouent aujourd’hui en France, tout comme les Allemandes Josephine Henning et Annike Krahn, qui seront rejointes après le tournoi par Anja Mittag, toutes au Paris Saint-Germain.
C'EST DIT
Silvia Neid (sélectionneuse allemande)
"L'équipe française est une grande équipe qui a travaillé très dur. Les Françaises sentent que c'est à leur tour de remporter un titre, elles sont talentueuses on sait que ce sera un gros travail pour nous. Parfois des équipes de niveau égal se neutralisent, j'espère que ça basculera de notre côté".
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Philippe Bergeroo (sélectionneur français)
"Nous sommes les outsiders. Mais nous avons énormément d'ambitions sur ce match-là. Chacun protège ses intérêts en sachant que jusqu'à présent, on fait preuve d'humilité. On n'a pas gagné grande chose alors que l'Allemagne a gagné énormément de titres."
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Amandine Henry (milieu de terrain française)
"On est lancées, on a envie de tout arracher et d’aller au bout"
Sarah Bouhaddi (gardienne française)
"Il n’y a pas de sentiment d’infériorité. Très sincèrement, je pense même qu’on est meilleures. Après, c’est une chose de le dire. Maintenant, il faut le prouver"
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Eugénie Le Sommer (attaquante française)
"Quand je suis arrivée en sélection, tu jouais l'Allemagne, tu prenais 3-0. Ça a changé. Il ne faut pas avoir peur, il faut jouer libérées. Si on gagne, ça montrera que l'Allemagne ne gagne pas toujours ! "
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Celia Sasic (attaquante allemande)
"Si on veut continuer dans cette compétition, il faudra battre les Françaises. On les respecte, on sait qu’elles sont fortes mais peu importe : ce qui va compter, c’est l’état d’esprit."
"L'équipe française est une grande équipe qui a travaillé très dur. Les Françaises sentent que c'est à leur tour de remporter un titre, elles sont talentueuses on sait que ce sera un gros travail pour nous. Parfois des équipes de niveau égal se neutralisent, j'espère que ça basculera de notre côté".
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Philippe Bergeroo (sélectionneur français)
"Nous sommes les outsiders. Mais nous avons énormément d'ambitions sur ce match-là. Chacun protège ses intérêts en sachant que jusqu'à présent, on fait preuve d'humilité. On n'a pas gagné grande chose alors que l'Allemagne a gagné énormément de titres."
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Amandine Henry (milieu de terrain française)
"On est lancées, on a envie de tout arracher et d’aller au bout"
Sarah Bouhaddi (gardienne française)
"Il n’y a pas de sentiment d’infériorité. Très sincèrement, je pense même qu’on est meilleures. Après, c’est une chose de le dire. Maintenant, il faut le prouver"
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Eugénie Le Sommer (attaquante française)
"Quand je suis arrivée en sélection, tu jouais l'Allemagne, tu prenais 3-0. Ça a changé. Il ne faut pas avoir peur, il faut jouer libérées. Si on gagne, ça montrera que l'Allemagne ne gagne pas toujours ! "
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Celia Sasic (attaquante allemande)
"Si on veut continuer dans cette compétition, il faudra battre les Françaises. On les respecte, on sait qu’elles sont fortes mais peu importe : ce qui va compter, c’est l’état d’esprit."
EN CHIFFRES
Classement FIFA
ALL : 1er
FRA : 3e
Palmarès Coupe du Monde
ALL : 1re (2003, 2007)
FRA : 4e (2011)
Palmarès Jeux Olympiques
ALL : 3e (2000, 2004, 2008)
FRA : 4e (2012)
Palmarès Championnat d'Europe
ALL : 1re (1989, 1991, 1995, 1997, 2001, 2005, 2009, 2013)
FRA : Quart (2009, 2013)
Licenciées
ALL : 250 000
FRA : 85 000
1
Les Allemandes n'ont perdu qu'un seul de leurs 20 derniers matchs en Coupe du Monde. C'était contre le Japon en quart de finale de la Coupe du Monde de 2011 (0-1 a.p.).
48
Les Bleues restent sur 48 matchs sans défaite (hors tirs au but) face aux équipes européennes (42 victoires, 6 nuls). La dernière remontant à 2011 face à la Suède...
3-2-8
En treize oppositions, les Allemandes mènent avec huit victoires, deux nuls et trois victoires françaises (en 2003, 2007 et 2014). En compétition officielle, le bilan est sans équivoque avec trois défaites françaises (2005, 2009, 2011), 12 buts encaissés pour seulement 3 marqués.
Mais le bilan des trois derniers matchs, tous amicaux, est même positif avec 2 nuls et 1 victoire.
>> L'historique
25 000
C'est le nombre de spectateurs attendus ce vendredi à Montréal dont un fort contingent francophile ou francophone.
56 000
Les spots publicitaires ont connu une inflation à l'occasion de ce quart de finale. W9 propose 30 secondes de diffusion publicitaire à la mi-temps au tarif de 56 000 € contre initialement 17 500 €.
ALL : 1er
FRA : 3e
Palmarès Coupe du Monde
ALL : 1re (2003, 2007)
FRA : 4e (2011)
Palmarès Jeux Olympiques
ALL : 3e (2000, 2004, 2008)
FRA : 4e (2012)
Palmarès Championnat d'Europe
ALL : 1re (1989, 1991, 1995, 1997, 2001, 2005, 2009, 2013)
FRA : Quart (2009, 2013)
Licenciées
ALL : 250 000
FRA : 85 000
1
Les Allemandes n'ont perdu qu'un seul de leurs 20 derniers matchs en Coupe du Monde. C'était contre le Japon en quart de finale de la Coupe du Monde de 2011 (0-1 a.p.).
48
Les Bleues restent sur 48 matchs sans défaite (hors tirs au but) face aux équipes européennes (42 victoires, 6 nuls). La dernière remontant à 2011 face à la Suède...
3-2-8
En treize oppositions, les Allemandes mènent avec huit victoires, deux nuls et trois victoires françaises (en 2003, 2007 et 2014). En compétition officielle, le bilan est sans équivoque avec trois défaites françaises (2005, 2009, 2011), 12 buts encaissés pour seulement 3 marqués.
Mais le bilan des trois derniers matchs, tous amicaux, est même positif avec 2 nuls et 1 victoire.
>> L'historique
25 000
C'est le nombre de spectateurs attendus ce vendredi à Montréal dont un fort contingent francophile ou francophone.
56 000
Les spots publicitaires ont connu une inflation à l'occasion de ce quart de finale. W9 propose 30 secondes de diffusion publicitaire à la mi-temps au tarif de 56 000 € contre initialement 17 500 €.
ET APRES
Philippe Bergeroo (sélectionneur français)
Lors de la signature de son contrat pour la prise de l'équipe de France féminine, celui-ci engageait jusqu'à la Coupe du Monde 2015 avec une option d'un an pour la participation éventuelle aux JO. C'est désormais chose faite mais Philippe Bergeroo pourrait voir plus loin : "On se verra à Paris (avec Noël Le Graët) après pour savoir si on va au-delaà de cette année ou si on en reste-là".
Noël Le Graët (président de la FFF)
"Le foot féminin ne s'arrêtera pas. Pour nous une défaite ne serait pas un échec. C'est un match important mais on a tellement de belles choses à préparer: les JO 2016, l'Euro 2017, le Mondial 2019 en France. Le foot féminin est sur la bonne voie."
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Lors de la signature de son contrat pour la prise de l'équipe de France féminine, celui-ci engageait jusqu'à la Coupe du Monde 2015 avec une option d'un an pour la participation éventuelle aux JO. C'est désormais chose faite mais Philippe Bergeroo pourrait voir plus loin : "On se verra à Paris (avec Noël Le Graët) après pour savoir si on va au-delaà de cette année ou si on en reste-là".
Noël Le Graët (président de la FFF)
"Le foot féminin ne s'arrêtera pas. Pour nous une défaite ne serait pas un échec. C'est un match important mais on a tellement de belles choses à préparer: les JO 2016, l'Euro 2017, le Mondial 2019 en France. Le foot féminin est sur la bonne voie."
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