Le trophée de la Coupe du Monde 2015 (photo A Mesa/FFF)
« La Coupe du monde, que ce soit pour les hommes ou pour les femmes, c'est le trophée qui fait le plus rêver » a évoqué Brigitte Henriques, secrétaire générale de la FFF lors de la conférence de presse, se remémorant le succès de 1998.
Un trophée que les Françaises n'ont jamais gagné mais que les Bleues espèrent bien accueillir sur le territoire au moins durant cinq semaines en 2019, pour la prochaine Coupe du Monde où la France est candidate à l'organisation avec pour rival la Corée du Sud.
Mais c'est du présent qu'il était avant tout question. Tatjana Haenni, en charge des compétitions féminines à la FIFA, a d'ailleurs tenu à féliciter le travail accompli par la Fédération en matière de développement et de féminisation du football. « On est fier de voir le travail effectué par la FFF » a t-elle indiqué au nom de la FIFA.
Un trophée que les Françaises n'ont jamais gagné mais que les Bleues espèrent bien accueillir sur le territoire au moins durant cinq semaines en 2019, pour la prochaine Coupe du Monde où la France est candidate à l'organisation avec pour rival la Corée du Sud.
Mais c'est du présent qu'il était avant tout question. Tatjana Haenni, en charge des compétitions féminines à la FIFA, a d'ailleurs tenu à féliciter le travail accompli par la Fédération en matière de développement et de féminisation du football. « On est fier de voir le travail effectué par la FFF » a t-elle indiqué au nom de la FIFA.
« On veut aller loin »
Tatjana Haenni et Brigitte Henriques (photo A Mesa/FFF)
Avec ce trophée sous les yeux, c'était aussi d'envisager le doux rêve de le décrocher dans cinq mois au Canada. La France a de l'ambition mais est restée humble à l'image de Philippe Bergerôo qui n'a pas voulu faire de photos de groupe avec le trophée. La secrétaire générale de la FFF est aussi restée modérée dans son discours tout en affichant une volonté de joli parcours : « On a des objectifs qui sont clairs, on veut aller loin. Il faut y aller étape par étape ».
La France devra sortir d'un groupe composé de l'Angleterre, du Mexique et de la Colombie avant de passer au match à élimination directe. La suite serait bien évidemment de franchir un nouveau palier après les quatrièmes places aux JO et au Mondial. Désormais, la progression doit se traduire par une place sur le podium à l'image de la troisième place au dernier classement FIFA.
La représentante de la FIFA a souhaité un bon parcours aux Bleues : « Biensûr, on souhaite bonne chance à tout le monde. Pour la France, ce sera peut-être l’occasion d’avoir enfin une médaille », fruit du travail effectué.
La France devra sortir d'un groupe composé de l'Angleterre, du Mexique et de la Colombie avant de passer au match à élimination directe. La suite serait bien évidemment de franchir un nouveau palier après les quatrièmes places aux JO et au Mondial. Désormais, la progression doit se traduire par une place sur le podium à l'image de la troisième place au dernier classement FIFA.
La représentante de la FIFA a souhaité un bon parcours aux Bleues : « Biensûr, on souhaite bonne chance à tout le monde. Pour la France, ce sera peut-être l’occasion d’avoir enfin une médaille », fruit du travail effectué.