LA FICHE GENERALE
Classement FIFA actuel : 15e
Meilleur classement FIFA : 10e (07/2003)
Premier match de la sélection : 23 février 1968 contre la Slovaquie 2-1
Plus large victoire : 15-0 contre la Macédoine (17 septembre 2014)
Plus large défaite : 0-6 contre le Danemark (16 mai 1982)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
9 juin 2019 : Australie (Valenciennes)
14 juin 2019 : Jamaïque (Reims)
18 juin 2019 : Brésil (Valenciennes)
Meilleur classement FIFA : 10e (07/2003)
Premier match de la sélection : 23 février 1968 contre la Slovaquie 2-1
Plus large victoire : 15-0 contre la Macédoine (17 septembre 2014)
Plus large défaite : 0-6 contre le Danemark (16 mai 1982)
Programme de la sélection en Coupe du Monde
9 juin 2019 : Australie (Valenciennes)
14 juin 2019 : Jamaïque (Reims)
18 juin 2019 : Brésil (Valenciennes)
La sélection en Coupe du Monde
Participation en Coupe du Monde : 2 (1991, 1999)
Participation aux éliminatoires : 8
Meilleur parcours en Coupe du Monde : quart de finale (1991)
Bilan général en Coupe du Monde : sept matches, trois victoires, trois défaites, un match nul, 11 buts pour, 8 buts contre
Plus large victoire : 5-0 contre Taiwan (1991)
Plus large défaite : 0-2 contre l'Allemagne (1991), et contre le Brésil (1999)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde : Federica d'Astolfo et Silvia Fiorini, 6 matchs (1991, 1999)
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Carolina Morace, 4 buts (1991)
Participation aux éliminatoires : 8
Meilleur parcours en Coupe du Monde : quart de finale (1991)
Bilan général en Coupe du Monde : sept matches, trois victoires, trois défaites, un match nul, 11 buts pour, 8 buts contre
Plus large victoire : 5-0 contre Taiwan (1991)
Plus large défaite : 0-2 contre l'Allemagne (1991), et contre le Brésil (1999)
Joueuse la plus utilisée en Coupe du Monde : Federica d'Astolfo et Silvia Fiorini, 6 matchs (1991, 1999)
Meilleure buteuse en Coupe du Monde : Carolina Morace, 4 buts (1991)
Qualifications
Milena Bertolini
Dans le groupe 6 des qualifications, l'Italie a devancé la Belgique pour retrouver la Coupe du monde, vingt ans après. Une qualification acquise officieusement lors de la première rencontre entre les deux équipes qui se disputaient la qualification, l'Italie remportant trois points précieux à domicile. Les Italiennes ne se sont inclinées qu'à une reprise, lors de la dernière journée sans enjeu face à la Belgique. Avec sept victoires en huit rencontres, la Nazionale présente un bilan similaire à celui des autres équipes vainqueur de leur groupe.
Date de qualification : 8 juin 2018
Bilan des qualifications
8 matchs, 7 victoires, 1 défaite, 19 buts pour, 4 buts contre : Moldavie (5-0, 3-1) ; Roumanie (1-0, 3-0) ; Portugal (1-0, 3-0) ; Belgique (2-1, 1-2) ;
Sélectionneure : Milena Bertolini (8)
Bilan joueuses/buteuses
G : Rosalia Pipitone (1), Laura Giuliani (7)
D : Sara Gama (7), Lisa Boattin (2), Linda Tucceri Cimini (3/1), Cecilia Salvai (5/1), Elena Linari (6)
M : Greta Adami (1), Lisa Alborghetti (3), Aurora Galli (7), Alice Parisi (2), Valentina Cernoia (2), Manuela Giugliano (6)
A : Barbara Bonansea (8/3), Eleonora Goldoni (2), Valentina Giacinti (4/1), Cristiana Girelli (8/7), Sandy Iannella (2), Ilaria Mauro (5)
Date de qualification : 8 juin 2018
Bilan des qualifications
8 matchs, 7 victoires, 1 défaite, 19 buts pour, 4 buts contre : Moldavie (5-0, 3-1) ; Roumanie (1-0, 3-0) ; Portugal (1-0, 3-0) ; Belgique (2-1, 1-2) ;
Sélectionneure : Milena Bertolini (8)
Bilan joueuses/buteuses
G : Rosalia Pipitone (1), Laura Giuliani (7)
D : Sara Gama (7), Lisa Boattin (2), Linda Tucceri Cimini (3/1), Cecilia Salvai (5/1), Elena Linari (6)
M : Greta Adami (1), Lisa Alborghetti (3), Aurora Galli (7), Alice Parisi (2), Valentina Cernoia (2), Manuela Giugliano (6)
A : Barbara Bonansea (8/3), Eleonora Goldoni (2), Valentina Giacinti (4/1), Cristiana Girelli (8/7), Sandy Iannella (2), Ilaria Mauro (5)
Les joueuses pour la Coupe du Monde
La liste des 23
Sans surprise, les joueuses sélectionnées évoluent principalement du côté de la Juventus (8), de Milan (6), de Rome et de la Fiorentina (3). Deux joueuses de Florentia, une du Chievo Verona, et une joueuse qui évolue à l'étranger (Atlético Madrid) complètent la sélection. A noter qu'il y a plus de trentenaires (7) que de joueuses âgées de 25 ans ou moins (6) dans la sélection.
Les absentes
Il n'y a pas d'absence majeure à recenser. L'Italie n'a pas les réserves des grandes nations et les choix de Bertolini sont plutôt logiques et dans la continuité. Cependant, la sélectionneure a dû se passer de Cecilia Salvai de la Juventus suite à une blessure au ligament croisé antérieur du genou gauche survenu en début d'année. A l'issue de la préparation, elle a décidé de ne pas faire appel aux milieux Greta Adami (Fiorentina) et Lisa Alborghetti (Milan).
Equipe-type
Elle dépend du système utilisé, et Bertolini n'a pas hésité à tenter différentes tactiques. Dans le but, Giuliani est la numéro 1. La défense devrait favoriser le quatuor Gama (capitaine), Boattin, Linari, Bartoli, et Guagni également. Au milieu, Bonansea est indéboulonnable côté gauche, et ses coéquipières à la Juventus Cernoia, Galli et Rosucci (selon son état de forme) devront voir du temps de jeu, comme Giugliano dans un rôle plus offensif. En attaque, les solutions sont diverses avec des attaquantes plutôt prolifiques et dont le niveau est proche. Girelli et Giacinti tiennent la barre pour être toutes les deux titulaires, avec des solutions de qualité sur le banc.
Sans surprise, les joueuses sélectionnées évoluent principalement du côté de la Juventus (8), de Milan (6), de Rome et de la Fiorentina (3). Deux joueuses de Florentia, une du Chievo Verona, et une joueuse qui évolue à l'étranger (Atlético Madrid) complètent la sélection. A noter qu'il y a plus de trentenaires (7) que de joueuses âgées de 25 ans ou moins (6) dans la sélection.
Les absentes
Il n'y a pas d'absence majeure à recenser. L'Italie n'a pas les réserves des grandes nations et les choix de Bertolini sont plutôt logiques et dans la continuité. Cependant, la sélectionneure a dû se passer de Cecilia Salvai de la Juventus suite à une blessure au ligament croisé antérieur du genou gauche survenu en début d'année. A l'issue de la préparation, elle a décidé de ne pas faire appel aux milieux Greta Adami (Fiorentina) et Lisa Alborghetti (Milan).
Equipe-type
Elle dépend du système utilisé, et Bertolini n'a pas hésité à tenter différentes tactiques. Dans le but, Giuliani est la numéro 1. La défense devrait favoriser le quatuor Gama (capitaine), Boattin, Linari, Bartoli, et Guagni également. Au milieu, Bonansea est indéboulonnable côté gauche, et ses coéquipières à la Juventus Cernoia, Galli et Rosucci (selon son état de forme) devront voir du temps de jeu, comme Giugliano dans un rôle plus offensif. En attaque, les solutions sont diverses avec des attaquantes plutôt prolifiques et dont le niveau est proche. Girelli et Giacinti tiennent la barre pour être toutes les deux titulaires, avec des solutions de qualité sur le banc.
Cliquez dessus pour agrandir
Commentaires sur l’équipe
§ Points forts : L'attaque italienne est plutôt intéressante avec des joueuses de qualité, et la sélection a inscrit au moins un but lors de ses quatorze derniers matches. Elle est également plutôt au point tactiquement et dispose d'une défense solide.
§ Points faibles : La sélection dans son ensemble évolue un bon ton en-dessous des favoris et outsiders.
§ Joueuses clés : Barbara Bonansea est attendue comme la menace numéro 1 dans la création d'opportunités, et son duo avec Cristina Girelli fonctionne bien du côté de la Juventus. Dans l'ensemble, le secteur offensif peut évoluer sous différentes dispositions et avec des joueuses différentes sans perdre vraiment en qualité, ce qui peut être intéressant.
§ Infos à savoir sur le système de jeu : Bertolini n'a pas hésité à utiliser différents systèmes depuis son arrivée, et il pourrait changer selon l'opposition.
La joueuse à suivre
Si Bonansea est la joueuse la plus attendue, on se demande si la jeune Annamaria Serturini, nouvelle en sélection, aura du temps de jeu. C'est une valeur montante du championnat qui pourrait pourquoi prétendre à être le pendant de Bonansea dans le couloir droit dans les années à venir.
Le sélectionneur
Milena Bertolini a été nommée à la tête de la sélection à la suite de l'Euro 2017 que l'Italie avait quitté dès la phase de poule, remplaçant ainsi Antonio Cabrini qui était en poste depuis cinq ans. Plusieurs fois lauréate du titre de meilleur entraineur/e de la saison en Série A notamment lorsqu'elle était à la tête de Brescia, l'ancienne défenseure internationale italienne a apporté son expérience de la discipline et du métier d'entraineur, et déjà réussi son premier pari en permettant à la sélection de se qualifier pour la Coupe du monde pour la première fois depuis son élimination en phase de poule il y a vingt ans, en 1999.
§ Points forts : L'attaque italienne est plutôt intéressante avec des joueuses de qualité, et la sélection a inscrit au moins un but lors de ses quatorze derniers matches. Elle est également plutôt au point tactiquement et dispose d'une défense solide.
§ Points faibles : La sélection dans son ensemble évolue un bon ton en-dessous des favoris et outsiders.
§ Joueuses clés : Barbara Bonansea est attendue comme la menace numéro 1 dans la création d'opportunités, et son duo avec Cristina Girelli fonctionne bien du côté de la Juventus. Dans l'ensemble, le secteur offensif peut évoluer sous différentes dispositions et avec des joueuses différentes sans perdre vraiment en qualité, ce qui peut être intéressant.
§ Infos à savoir sur le système de jeu : Bertolini n'a pas hésité à utiliser différents systèmes depuis son arrivée, et il pourrait changer selon l'opposition.
La joueuse à suivre
Si Bonansea est la joueuse la plus attendue, on se demande si la jeune Annamaria Serturini, nouvelle en sélection, aura du temps de jeu. C'est une valeur montante du championnat qui pourrait pourquoi prétendre à être le pendant de Bonansea dans le couloir droit dans les années à venir.
Le sélectionneur
Milena Bertolini a été nommée à la tête de la sélection à la suite de l'Euro 2017 que l'Italie avait quitté dès la phase de poule, remplaçant ainsi Antonio Cabrini qui était en poste depuis cinq ans. Plusieurs fois lauréate du titre de meilleur entraineur/e de la saison en Série A notamment lorsqu'elle était à la tête de Brescia, l'ancienne défenseure internationale italienne a apporté son expérience de la discipline et du métier d'entraineur, et déjà réussi son premier pari en permettant à la sélection de se qualifier pour la Coupe du monde pour la première fois depuis son élimination en phase de poule il y a vingt ans, en 1999.
La préparation
29 mai : Suisse (à Ferrara)
9 avril : Irlande 2-1 (G)
5 avril : Pologne 1-1 (N)
6 mars : Corée du Nord 3-3 tab 6-7 (N)
4 mars : Thaïlande 4-1 (G)
1er mars : Hongrie 3-0 (G)
27 février : Mexique 5-0 (G)
22 janvier : Pays de Galles 2-0 (G)
18 janvier : Chili 2-1 (G)
9 avril : Irlande 2-1 (G)
5 avril : Pologne 1-1 (N)
6 mars : Corée du Nord 3-3 tab 6-7 (N)
4 mars : Thaïlande 4-1 (G)
1er mars : Hongrie 3-0 (G)
27 février : Mexique 5-0 (G)
22 janvier : Pays de Galles 2-0 (G)
18 janvier : Chili 2-1 (G)
Faits et chiffres
Alors que la sélection masculine ne s'est pas qualifiée pour la dernière Coupe du monde, voici que la sélection féminin y fait son retour après vingt ans d'absence. C'est l'occasion idéale pour une discipline qui commence à prendre de l'ampleur au pays de faire parler d'elle...
L’Italie, qui en est désormais à sa troisième participation, retrouve la phase finale après la plus longue absence pour une sélection dans l’histoire de la compétition. Son meilleur résultat remonte à 1991, avec une place en quart de finale.
C’est à une joueuse italienne, Carolina Morace, que l’on doit le premier hat-trick de l’histoire de la Coupe du Monde. Ces trois buts furent inscrits le 17 novembre 1991, lors du 5-0 infligé à Taïwan par les Italiennes.
L’Italie, qui en est désormais à sa troisième participation, retrouve la phase finale après la plus longue absence pour une sélection dans l’histoire de la compétition. Son meilleur résultat remonte à 1991, avec une place en quart de finale.
C’est à une joueuse italienne, Carolina Morace, que l’on doit le premier hat-trick de l’histoire de la Coupe du Monde. Ces trois buts furent inscrits le 17 novembre 1991, lors du 5-0 infligé à Taïwan par les Italiennes.
L'avis de FOOTOFEMININ
Dans le groupe C avec l'Australie, la Jamaïque et le Brésil (ses adversaires dans l'ordre), l'Italie ne part pas avec les faveurs des pronostics. Mais la sélection peut être portée par l'élan de la qualification et la voir se hisser en huitièmes de finale ne serait pas forcément une grosse surprise, car aucune équipe ne semble hors d'atteinte dans le groupe.
photo FIGC