Cécile Locatelli (photo Sébastien Duret)
Vous avez joué le Japon fin août (défaite 0-2), quels en étaient les enseignements ?
On avait eu une opposition difficile, surtout la première mi-temps. Un peu meilleur sur la deuxième mi-temps. On connaît les qualités du Japon avec un bloc collectif très discipliné. On a eu du mal dans l'entrejeu à pouvoir ressortir ces ballons propres, à trouver des enchaînements fluides pour pouvoir se projeter vers l'avant. Il faut que l'on soit plus généreux, faire des efforts en étant plus généreux et faire des contres efforts derrière, amener des situations plus tranchantes devant leur but. J'étais contente de ce match, cela leur a permis de voir que la Coupe du Monde sera un autre niveau avec des styles de jeu différents et un engagement différent.
Avec l'annulation du match face à la Chine, vous avez joué contre l'INF pour pallier l'absence de match ?
Cette opposition contre les garçons de l’INF nous a permis de garder du rythme car cela aurait été très long de ne pas jouer jusqu’au 12 octobre, jour de notre entrée en lice. On leur a dit ce que l’on attendait d’eux en se projetant directement sur le Canada, notre premier adversaire du Mondial. Ils ont joué un peu pareil, en tout cas dans les mêmes systèmes, et on les en remercie vivement. Il ne s’agissait pas d’une totale répétition car le football des garçons n’est pas tout à fait le même. Ce n’était pas l’idéal mais c’était nécessaire pour que l’on puisse conserver le rythme.
Que pensez-vous de votre premier adversaire du premier tour, le Canada ?
Le Canada, on sait que ce sera très athlétique, très engagé, un peu un jeu d'Amérique du Nord. On l'a déjà visionné pas mal de matchs contre les États-Unis, le Honduras. Tout ne se jouera pas sur le premier match mais on va en tout cas essayer de bien entamer ce match. J'ai demandé aux filles d'être sérieuses comme elles l'ont été jusqu'à présent. Il faudra être prêtes physiquement.
On avait eu une opposition difficile, surtout la première mi-temps. Un peu meilleur sur la deuxième mi-temps. On connaît les qualités du Japon avec un bloc collectif très discipliné. On a eu du mal dans l'entrejeu à pouvoir ressortir ces ballons propres, à trouver des enchaînements fluides pour pouvoir se projeter vers l'avant. Il faut que l'on soit plus généreux, faire des efforts en étant plus généreux et faire des contres efforts derrière, amener des situations plus tranchantes devant leur but. J'étais contente de ce match, cela leur a permis de voir que la Coupe du Monde sera un autre niveau avec des styles de jeu différents et un engagement différent.
Avec l'annulation du match face à la Chine, vous avez joué contre l'INF pour pallier l'absence de match ?
Cette opposition contre les garçons de l’INF nous a permis de garder du rythme car cela aurait été très long de ne pas jouer jusqu’au 12 octobre, jour de notre entrée en lice. On leur a dit ce que l’on attendait d’eux en se projetant directement sur le Canada, notre premier adversaire du Mondial. Ils ont joué un peu pareil, en tout cas dans les mêmes systèmes, et on les en remercie vivement. Il ne s’agissait pas d’une totale répétition car le football des garçons n’est pas tout à fait le même. Ce n’était pas l’idéal mais c’était nécessaire pour que l’on puisse conserver le rythme.
Que pensez-vous de votre premier adversaire du premier tour, le Canada ?
Le Canada, on sait que ce sera très athlétique, très engagé, un peu un jeu d'Amérique du Nord. On l'a déjà visionné pas mal de matchs contre les États-Unis, le Honduras. Tout ne se jouera pas sur le premier match mais on va en tout cas essayer de bien entamer ce match. J'ai demandé aux filles d'être sérieuses comme elles l'ont été jusqu'à présent. Il faudra être prêtes physiquement.