"Une envie et une motivation à 200%" (photo NimesMediatheque)
Gwendoline vient de débarquer à Soyaux, après un long voyage en provenance de Nîmes pour rejoindre son nouveau club. Elle explique les raisons qui ont guidé son choix de s'engager avec le promu. "L'ASJ Soyaux remonte en D1 la saison prochaine, après une belle saison réussie à l'échelon inférieur. C'est l'élite, un championnat que j'ai vraiment très envie de découvrir. Toute joueuse de football a des ambitions, et je pense que découvrir la D1 en est un des principaux. Soyaux me donne cette opportunité de découvrir ce nouveau championnat, j'ai à coeur de relever ce challenge avec ma nouvelle équipe".
Un rendez-vous à Soyaux avec ses nouveaux dirigeants qui s'est conclu par un premier entraînement pour Gwendoline, qui décrit une excellente ambiance au sein de ce nouveau groupe pour elle. "J'ai eu les dirigeants au téléphone à plusieurs reprises. Nous avons par la suite convenu d'un rendez-vous à Soyaux pour voir comment les choses s'y déroulaient. Je suis allée voir les infrastructures du club, les dirigeants, et j'ai également fait un premier entraînement avec le groupe D1. Un premier test qui s'est bien déroulé et durant lequel j'ai eu l'occasion d'échanger avec le nouveau coach (Jean-Claude Barrault, ndlr). Je ne connaissais pas du tout le club, mis à part de nom et de palmarès, car il faut souligner que c'est une équipe qui a un passé dans le football féminin. A l'issue de ce premier contact, j'ai trouvé les filles super sympathiques, c'est un club qui a des valeurs similaires à celle de mon ancien club de Nîmes. Il y a une ambiance familiale, où on se sent tout de suite à l'aise avec les personnes, je trouve ça super ! Même si le voyage a été long, j'étais contente d'y aller".
Un rendez-vous à Soyaux avec ses nouveaux dirigeants qui s'est conclu par un premier entraînement pour Gwendoline, qui décrit une excellente ambiance au sein de ce nouveau groupe pour elle. "J'ai eu les dirigeants au téléphone à plusieurs reprises. Nous avons par la suite convenu d'un rendez-vous à Soyaux pour voir comment les choses s'y déroulaient. Je suis allée voir les infrastructures du club, les dirigeants, et j'ai également fait un premier entraînement avec le groupe D1. Un premier test qui s'est bien déroulé et durant lequel j'ai eu l'occasion d'échanger avec le nouveau coach (Jean-Claude Barrault, ndlr). Je ne connaissais pas du tout le club, mis à part de nom et de palmarès, car il faut souligner que c'est une équipe qui a un passé dans le football féminin. A l'issue de ce premier contact, j'ai trouvé les filles super sympathiques, c'est un club qui a des valeurs similaires à celle de mon ancien club de Nîmes. Il y a une ambiance familiale, où on se sent tout de suite à l'aise avec les personnes, je trouve ça super ! Même si le voyage a été long, j'étais contente d'y aller".
"J'aurai à Soyaux des possibilités pour m'exprimer"
"Un club qui semble s'appuyer sur les mêmes valeurs qu'à Nîmes".
Si elle ne s'était pas engagée en faveur de Soyaux, Gwendoline Djebbar aurait sans doutes posé ses valises du côté de Montpellier. En effet, le club pailladin l'avait également contactée. La native de Vienne ne veut pas brûler les étapes, elle qui connaîtra pour la première fois la D1 en septembre prochain. "Il y avait un autre club de D1 qui m'avait contacté, mais où j'allais forcément avoir un peu moins de temps de jeu pour m'exprimer, étant donné que c'est un club, entre guillemets, un peu plus confirmé dans l'élite du foot féminin. Je ne sais pas si je cite le nom ! (rires) Si, je vous le dit quand même, c'était Montpellier. Un club pas si loin de chez moi mais dans lequel, comme je vous le disais, j'allais peut-être devoir faire face à une concurrence plus soutenue, et je trouvais ça un peu compliqué pour une première année en D1. J'ai joué la sécurité, même si je ne suis pas certaine d'avoir 100% de temps de jeu à Soyaux, je sais que j'aurai les possibilités pour m'exprimer".
Gwendoline Djebbar affiche une motivation extrême de commencer ce nouveau challenge avec l'ASJ : "Honnêtement, j'ai vraiment hâte d'y être ! J'ai déjà envie de commencer, j'ai 23 ans, et je pense que toute joueuse en rêve à un moment donné. Je suis impatiente de débuter. Je sais qu'il y aura forcément un peu de stress et d'appréhension sur les premières rencontres, mais je me donnerai à fond".
Propos recueillis par Benjamin Roux.
Gwendoline Djebbar affiche une motivation extrême de commencer ce nouveau challenge avec l'ASJ : "Honnêtement, j'ai vraiment hâte d'y être ! J'ai déjà envie de commencer, j'ai 23 ans, et je pense que toute joueuse en rêve à un moment donné. Je suis impatiente de débuter. Je sais qu'il y aura forcément un peu de stress et d'appréhension sur les premières rencontres, mais je me donnerai à fond".
Propos recueillis par Benjamin Roux.