Lancement du championnat avec les représentants de la FFF, des TV et des joueuses ce jeudi au siège de la fédération française (photo W Morice)
Brigitte Henriques s’est félicitée de "l’augmentation du niveau du championnat dans tous les domaines. L’écart se resserre entre les équipes, les clubs se structurent de plus en plus, des étrangères viennent jouer en France, les diffuseurs offrent une exposition sans cesse plus importante, c'est un signe fort". La diffusion télévisuelle est d'ailleurs l'outil moteur de développement du championnat.
Le budget moyen en D1 est passé de 270 000 à environ 500 000 € depuis que la D1 a trouvé sa place à la TV : "On fait des envieux par rapport à d'autres sports féminins" ajoute-elle.
Depuis 2011, les droits de D1 féminine sont proposés aux chaînes et cela permet à chaque club de recevoir 5 000 € de part fixe. Eurosport et France Télévisions ont reconduit leur engagement jusqu'en 2018 pour cette compétition.
Le budget moyen en D1 est passé de 270 000 à environ 500 000 € depuis que la D1 a trouvé sa place à la TV : "On fait des envieux par rapport à d'autres sports féminins" ajoute-elle.
Depuis 2011, les droits de D1 féminine sont proposés aux chaînes et cela permet à chaque club de recevoir 5 000 € de part fixe. Eurosport et France Télévisions ont reconduit leur engagement jusqu'en 2018 pour cette compétition.
"La France est prête"
Si le championnat professionnel parait aujourd'hui encore loin d'être une réalité avec seulement 70 joueuses en contrat fédéral (dont 1/3 seulement à temps plein), la D1 est attractive : "Le PSG et l'OL sont les deux clubs qui investissent beaucoup dans le football féminin" indique la secrétaire générale à propos des deux seuls clubs qui n'ont que des joueuses à temps plein.
Mais pour autant, elle a rappelé qu'il n'existait pas de modèle unique : "Il y a une vraie compétition entre les différents modèles" même si l'arrivée de clubs professionnels masculins tels le FC Metz, Nancy, l'OM ou encore Reims sont un atout pour "permettre au football féminin de se hisser vers le haut".
A cela s'ajoute la volonté fédérale de féminiser le football à travers son plan de féminisation et de candidater à grande compétition internationale qu'est la Coupe du Monde féminine 2019. "La France est prête, les stades sont remplis quand l'équipe de France féminine joue, et grâce aux diffuseurs TV, oui, nous sommes prêts. On a envie de gagner la candidature" a démontré Brigitte Henriques.
Mais pour autant, elle a rappelé qu'il n'existait pas de modèle unique : "Il y a une vraie compétition entre les différents modèles" même si l'arrivée de clubs professionnels masculins tels le FC Metz, Nancy, l'OM ou encore Reims sont un atout pour "permettre au football féminin de se hisser vers le haut".
A cela s'ajoute la volonté fédérale de féminiser le football à travers son plan de féminisation et de candidater à grande compétition internationale qu'est la Coupe du Monde féminine 2019. "La France est prête, les stades sont remplis quand l'équipe de France féminine joue, et grâce aux diffuseurs TV, oui, nous sommes prêts. On a envie de gagner la candidature" a démontré Brigitte Henriques.
(photo FFF)