Des adieux émouvants
« Je m’étais fait des amis à Claix. Pendant trois ans, j’ai investi énormément de mon temps. J’étais à temps plein mais ça dépassait largement un temps plein normal. Partir après avoir passé autant de temps avec les bénévoles, les joueurs, le staff, les dirigeants, ça fait un petit pincement au cœur. Mais c’est aussi sympa de se lancer dans un nouveau projet. Je n’ai pas de regrets. Lors du dernier match, les joueuses m’ont offert un T-shirt, il y a aussi eu des banderoles, une haie d’honneur en début du match et la municipalité m’a remis de médaille à la fin de la rencontre. A la collation, les joueuses m’ont aussi offert des cadeaux. Ce fut beaucoup d’émotions. On a aussi eu la chance de gagner le dernier match. Ça nous a permis de finir troisième, donc, sur une bonne note. »
L’appel de la D1
« La raison principale de mon départ, c’est la D1. J’ai envie de continuer à franchir des paliers sur le plan professionnel. J’espérais pouvoir monter avec Claix. Pourquoi pas dès cette saison ? Mais il faut se rendre à l’évidence, le club et l’effectif n’étaient pas encore prêts. J’ai été contacté par un club de D1 qui a, en plus, les moyens de se maintenir. Rodez a aussi plus de possibilité de se maintenir et de garantie qu’un promu. Sur le plan personnel, j’avais aussi besoin de repartir à zéro, de changer de contexte. J’ai toujours pas mal bougé, j’aime bien voyager aussi. C’est pour ces raisons que le projet ruthénois m’a séduit.»
Pas d’hésitation
« Il n’y a pas vraiment eu d’hésitation. Par contre, je n’ai aucune certitude, aucune garantie que je puisse faire du meilleur travail ici à Rodez ou que je prenne plus de plaisir qu’à Claix. Car je pars sans aucune rancœur, sans problème avec Claix. Malgré tout, je n’ai pas eu d’hésitation, j’avais aussi envie de me remettre en question et de voir si j’étais capable de faire de bonnes choses à Rodez. Je veux aider le club à avancer, à se maintenir, à se pérenniser à haut niveau.»
« Je m’étais fait des amis à Claix. Pendant trois ans, j’ai investi énormément de mon temps. J’étais à temps plein mais ça dépassait largement un temps plein normal. Partir après avoir passé autant de temps avec les bénévoles, les joueurs, le staff, les dirigeants, ça fait un petit pincement au cœur. Mais c’est aussi sympa de se lancer dans un nouveau projet. Je n’ai pas de regrets. Lors du dernier match, les joueuses m’ont offert un T-shirt, il y a aussi eu des banderoles, une haie d’honneur en début du match et la municipalité m’a remis de médaille à la fin de la rencontre. A la collation, les joueuses m’ont aussi offert des cadeaux. Ce fut beaucoup d’émotions. On a aussi eu la chance de gagner le dernier match. Ça nous a permis de finir troisième, donc, sur une bonne note. »
L’appel de la D1
« La raison principale de mon départ, c’est la D1. J’ai envie de continuer à franchir des paliers sur le plan professionnel. J’espérais pouvoir monter avec Claix. Pourquoi pas dès cette saison ? Mais il faut se rendre à l’évidence, le club et l’effectif n’étaient pas encore prêts. J’ai été contacté par un club de D1 qui a, en plus, les moyens de se maintenir. Rodez a aussi plus de possibilité de se maintenir et de garantie qu’un promu. Sur le plan personnel, j’avais aussi besoin de repartir à zéro, de changer de contexte. J’ai toujours pas mal bougé, j’aime bien voyager aussi. C’est pour ces raisons que le projet ruthénois m’a séduit.»
Pas d’hésitation
« Il n’y a pas vraiment eu d’hésitation. Par contre, je n’ai aucune certitude, aucune garantie que je puisse faire du meilleur travail ici à Rodez ou que je prenne plus de plaisir qu’à Claix. Car je pars sans aucune rancœur, sans problème avec Claix. Malgré tout, je n’ai pas eu d’hésitation, j’avais aussi envie de me remettre en question et de voir si j’étais capable de faire de bonnes choses à Rodez. Je veux aider le club à avancer, à se maintenir, à se pérenniser à haut niveau.»
"J'aime bien les challenges"
Se mettre en danger
« J’aime bien me mettre en danger. Il y a trois ans j’étais en CDI à la Fédération calédonienne de football. J’avais fait du bon boulot en deux ans, j’étais tranquille sur le long terme mais j’étais quand même parti pour la France et Claix où je n’avais rien du tout. C’est un peu la même chose aujourd’hui même si j’ai une meilleure connaissance du foot féminin. Mais pour pouvoir réussir, c’est bien de se remettre en question individuellement. J’aime bien les challenges, et ici à Rodez, c’est un nouveau défi à relever. En D1, je vais aussi avoir plus d’exigence avec les joueuses mais, en contrepartie, il y aura plus d’exigence de la part du club et aussi peut-être un peu plus de pression qu’à Claix où je n’avais pas trop de pression car nous étions systématiquement sur une courbe ascendante. »
Le maintien, voire plus si affinités
« L’objectif, c’est d’assurer le maintien le plus vite possible et de jouer crânement notre chance pour obtenir une bonne place en milieu de tableau voire pourquoi pas jouer la première moitié ? On verra de quoi l’équipe est capable. J’aimerais aussi qu’on soit capable de rivaliser avec de grosses équipes sur un match ».
« J’aime bien me mettre en danger. Il y a trois ans j’étais en CDI à la Fédération calédonienne de football. J’avais fait du bon boulot en deux ans, j’étais tranquille sur le long terme mais j’étais quand même parti pour la France et Claix où je n’avais rien du tout. C’est un peu la même chose aujourd’hui même si j’ai une meilleure connaissance du foot féminin. Mais pour pouvoir réussir, c’est bien de se remettre en question individuellement. J’aime bien les challenges, et ici à Rodez, c’est un nouveau défi à relever. En D1, je vais aussi avoir plus d’exigence avec les joueuses mais, en contrepartie, il y aura plus d’exigence de la part du club et aussi peut-être un peu plus de pression qu’à Claix où je n’avais pas trop de pression car nous étions systématiquement sur une courbe ascendante. »
Le maintien, voire plus si affinités
« L’objectif, c’est d’assurer le maintien le plus vite possible et de jouer crânement notre chance pour obtenir une bonne place en milieu de tableau voire pourquoi pas jouer la première moitié ? On verra de quoi l’équipe est capable. J’aimerais aussi qu’on soit capable de rivaliser avec de grosses équipes sur un match ».
Le point sur le recrutement : "Une joueuse par ligne"
"Il y aura un ou deux départs peut-être trois avec les arrêts. Parallèlement, on a déjà établi pas mal de contacts. On a des priorités, on est en train de travailler avec certaines joueuses pour finaliser certains détails de leur vie extra sportive sur Rodez. On a déjà bien avancé. On essaye de recruter au minimum une joueuse par ligne pour renforcer l’effectif. Il y a déjà un effectif que je juge assez bon avec des filles jeunes qui ont un très bon état d’esprit, qui ont du potentiel et qui ont emmagasiné une année de D1. On aimerait compléter cet effectif avec des joueuses confirmées pour amener un peu de concurrence et de profondeur de banc. Pour l’instant, je suis confiant, tout se passe pas trop mal."