Fabien Valéri (photo PFC)
Informé la veille qu'il allait assurer l’intérim avec Pascal Grosbois, l'entraîneur de l'équipe de National 3, Fabien Valéri n'est pas sur le banc. Suspendu pour trois matchs depuis le 3 septembre, ce dernier aurait pourtant pu être inscrit aux côtés de son compère en application de l'article 226 des Règlements Généraux qui précise que la personne doit avoir purgé le nombre de matchs dans l'équipe où il doit être inscrit. Le Paris FC féminine avait déjà joué ses trois matchs ! Cette situation provisoire pourrait vite se décanter selon le Président du PFC, Pierre Ferracci : "C’est possible que ça se décante ce week-end ou début de semaine prochaine. On réfléchit mais la solution externe est plutôt privilégiée pour le moment".
Après avoir malgré tout préparé cette semaine de transition en toute sérénité, Fabien Valéri est revenu sur ce match nul : "C'est un sentiment mitigé parce que le match a complétement changé lorsqu'il y a eu l'expulsion. Dans le jeu, on avait été plutôt cohérent. On avait mis des choses en place et on les avait retrouvées avec un peu de déchets. Un expulsion bête, il y a faute mais je ne pense pas que ce soit volontaire. Je ne discute pas sur l'expulsion mais je pense que l'on aurait pu ne pas faire cette faute-là après cela va vite. Ca a changé totalement les données mais après malgré tout on était encore dans de bonnes dispositions physiques. On a continué à jouer, à faire circuler, à avoir une certaine maîtrise et on marque un but magnifiquement bien amené. Jusqu'à la mi-temps, on avait toutes les clés en main. Seulement en deuxième mi-temps, en jouant à dix, cela fatigue, après ils ont poussé un peu plus, il y a eu l'égalisation mais on a eu quelques situations de contres que l'on aurait pu mieux négocier. Mais on a manqué de justesse. Après quand on joue à dix pendant plus d'une heure, cela reste un résultat plutôt positif."
Après avoir malgré tout préparé cette semaine de transition en toute sérénité, Fabien Valéri est revenu sur ce match nul : "C'est un sentiment mitigé parce que le match a complétement changé lorsqu'il y a eu l'expulsion. Dans le jeu, on avait été plutôt cohérent. On avait mis des choses en place et on les avait retrouvées avec un peu de déchets. Un expulsion bête, il y a faute mais je ne pense pas que ce soit volontaire. Je ne discute pas sur l'expulsion mais je pense que l'on aurait pu ne pas faire cette faute-là après cela va vite. Ca a changé totalement les données mais après malgré tout on était encore dans de bonnes dispositions physiques. On a continué à jouer, à faire circuler, à avoir une certaine maîtrise et on marque un but magnifiquement bien amené. Jusqu'à la mi-temps, on avait toutes les clés en main. Seulement en deuxième mi-temps, en jouant à dix, cela fatigue, après ils ont poussé un peu plus, il y a eu l'égalisation mais on a eu quelques situations de contres que l'on aurait pu mieux négocier. Mais on a manqué de justesse. Après quand on joue à dix pendant plus d'une heure, cela reste un résultat plutôt positif."
Jean-Claude Daix : "Si on relativise un petit peu, c'est bien de ne pas perdre"
"On a fait un début de championnat est qui pas si mal que cela. La semaine dernière contre Bordeaux, on aurait déjà voulu gagner. On aurait pu avec tout le respect pour Bordeaux. Là cet après-midi (ndlr : samedi), il y a un fait de jeu qui aurait pu nous permettre de prendre l'ascendant (ndlr : penalty arrêté). Si on relativise un petit peu, c'est bien de ne pas perdre. C'est bien de rivaliser avec le Paris FC qui est une équipe assez costaude du championnat. On est déçues, on est frustrées mais les filles, cela donne sur le terrain mais il faut que l'on arrive à trouver une meilleure harmonie offensive (...) On a des filles qui sont hyper généreuses qui du début à la fin vont tout donner alors que de temps en temps, il aurait fallu se poser, faire tourner"