Toutes les batailles de la vie nous enseignent quelque chose, même celles que nous perdons.
(La cinquième montagne, PAULO COELHO)
L’Allemagne est encore un cran au dessus, maintenant sur un match, je pense qu’elle est prenable. C’est dommage que l’on n’ait pas pu mettre en place notre jeu en première mi-temps, par contre la réaction en deuxième mi-temps, à dix, est intéressante. Il faut se servir de nos erreurs, garder les choses positives. J’ai revu les buts au contrôle anti dopage. On a fait quelques erreurs quand même. Maintenant on va revoir les images ensemble (NDLR : jeudi soir).
Une équipe qui n’a pas la foi fait perdre à son club un jeu victorieux.
(Le Pèlerin de Compostelle, PAULO COELHO)
Je pense qu’on croit en nous, on sait que l’on a des capacités, que l’on peut aller loin. On peut faire de belles choses avec un état d’esprit comme ça. On voit que l’on arrive à faire douter les Allemandes et ce n’est pas rien. C’est un signe, il faut bâtir là-dessus, construire et aller de l’avant avec cela.
On a vraiment envie d’aller chercher quelque chose, on sait qu’on a un groupe de qualité. Chaque fille apporte ses qualités à l’équipe. On n’a pas toute le même jeu, par contre on sait qu’on peut faire quelque chose en Coupe du Monde et par exemple au niveau de l’impact physique, on est présente. Je pense que ça c’est le mental, et quand on veut gagner le ballon, on est costaud dans les duels, on y va franchement et ça c’est positif. Ce sont des choses qui donnent de l’élan à toutes les filles.
(La cinquième montagne, PAULO COELHO)
L’Allemagne est encore un cran au dessus, maintenant sur un match, je pense qu’elle est prenable. C’est dommage que l’on n’ait pas pu mettre en place notre jeu en première mi-temps, par contre la réaction en deuxième mi-temps, à dix, est intéressante. Il faut se servir de nos erreurs, garder les choses positives. J’ai revu les buts au contrôle anti dopage. On a fait quelques erreurs quand même. Maintenant on va revoir les images ensemble (NDLR : jeudi soir).
Une équipe qui n’a pas la foi fait perdre à son club un jeu victorieux.
(Le Pèlerin de Compostelle, PAULO COELHO)
Je pense qu’on croit en nous, on sait que l’on a des capacités, que l’on peut aller loin. On peut faire de belles choses avec un état d’esprit comme ça. On voit que l’on arrive à faire douter les Allemandes et ce n’est pas rien. C’est un signe, il faut bâtir là-dessus, construire et aller de l’avant avec cela.
On a vraiment envie d’aller chercher quelque chose, on sait qu’on a un groupe de qualité. Chaque fille apporte ses qualités à l’équipe. On n’a pas toute le même jeu, par contre on sait qu’on peut faire quelque chose en Coupe du Monde et par exemple au niveau de l’impact physique, on est présente. Je pense que ça c’est le mental, et quand on veut gagner le ballon, on est costaud dans les duels, on y va franchement et ça c’est positif. Ce sont des choses qui donnent de l’élan à toutes les filles.
Une quête commence toujours par la chance du débutant. Et s’achève toujours par l’épreuve du conquérant.
(L’Alchimiste, PAULO COELHO)
C’est sûr qu’à un moment donné, lorsqu’il y a une Nigériane qui part seule au but et qu’elle peut ouvrir le score, ca nous réussit quand le ballon passe à côté. Sur certains matchs, par le passé, on aurait peut-être perdu 1-0, aujourd’hui c’est l’inverse. Je ne sais pas si c’est de la chance ou de la réussite, je pense que les choses dans la vie, ça se provoque et si le ballon est passé côté, c’est peut-être parce que dans notre jeu, on les a gêné. Et pour nous, il y a des moments, où cela aurait pu frapper le poteau ou passer à côté, mais là ça nous sourit. Tant mieux, si c’est la chance du débutant et si on peut aller au bout avec cette chance.
Peut-être qu’avant quand on rentrait dans des matchs physiques, on rentrait dedans mais on n’avait pas la lucidité, on balançait peut-être plus, ce qu’on a eu tendance à faire en première mi-temps contre l’Allemagne. Par contre, lorsque l’on arrive à être présent dans les duels et à poser notre jeu, je pense qu’on peut faire partie des meilleures équipes. Là, on est dans les 8 meilleures, j’espère qu’on sera dans les quatre.
(L’Alchimiste, PAULO COELHO)
C’est sûr qu’à un moment donné, lorsqu’il y a une Nigériane qui part seule au but et qu’elle peut ouvrir le score, ca nous réussit quand le ballon passe à côté. Sur certains matchs, par le passé, on aurait peut-être perdu 1-0, aujourd’hui c’est l’inverse. Je ne sais pas si c’est de la chance ou de la réussite, je pense que les choses dans la vie, ça se provoque et si le ballon est passé côté, c’est peut-être parce que dans notre jeu, on les a gêné. Et pour nous, il y a des moments, où cela aurait pu frapper le poteau ou passer à côté, mais là ça nous sourit. Tant mieux, si c’est la chance du débutant et si on peut aller au bout avec cette chance.
Peut-être qu’avant quand on rentrait dans des matchs physiques, on rentrait dedans mais on n’avait pas la lucidité, on balançait peut-être plus, ce qu’on a eu tendance à faire en première mi-temps contre l’Allemagne. Par contre, lorsque l’on arrive à être présent dans les duels et à poser notre jeu, je pense qu’on peut faire partie des meilleures équipes. Là, on est dans les 8 meilleures, j’espère qu’on sera dans les quatre.
Il n’y a qu’une chose qui puisse rendre un rêve impossible, c’est la peur d’échouer.
(L’Alchimiste, PAULO COELHO)
Je pense dans le groupe, on n’a pas la peur d’échouer. On sait qu’on a les qualités pour passer en demi-finales. Après il y aura un peu de pression, de tension, c’est sur 90 minutes et le perdant s’en ira. Il faudra vraiment prendre cela pour du plaisir. Toute l’année, on travaille dur aux entraînements et là on vit un rêve. Nos coéquipières en club sont derrière nous et nous disent que c’est super ce que vous vivez. Il faut prendre cela comme un rêve et on n’a pas peur de le perdre. On n’a pas à craindre les équipes quel que soit l’adversaire.
C’est justement la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante.
(L’Alchimiste, PAULO COELHO)
Quand je jouais dans la cour d’école et dans les champs dans les Ardennes, je ne pensais pas vivre une Coupe du Monde. Quand on commence à jouer à haut niveau et même en D1, on a envie d’aller plus haut. C’est beau de vivre une compétition comme ça, c’est vrai que c’est un rêve. Il faut qu’on en profite parce qu’on aura peut-être peu de chances d’en jouer d’autres.
A Düsseldorf,
Sébastien DURET
(L’Alchimiste, PAULO COELHO)
Je pense dans le groupe, on n’a pas la peur d’échouer. On sait qu’on a les qualités pour passer en demi-finales. Après il y aura un peu de pression, de tension, c’est sur 90 minutes et le perdant s’en ira. Il faudra vraiment prendre cela pour du plaisir. Toute l’année, on travaille dur aux entraînements et là on vit un rêve. Nos coéquipières en club sont derrière nous et nous disent que c’est super ce que vous vivez. Il faut prendre cela comme un rêve et on n’a pas peur de le perdre. On n’a pas à craindre les équipes quel que soit l’adversaire.
C’est justement la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante.
(L’Alchimiste, PAULO COELHO)
Quand je jouais dans la cour d’école et dans les champs dans les Ardennes, je ne pensais pas vivre une Coupe du Monde. Quand on commence à jouer à haut niveau et même en D1, on a envie d’aller plus haut. C’est beau de vivre une compétition comme ça, c’est vrai que c’est un rêve. Il faut qu’on en profite parce qu’on aura peut-être peu de chances d’en jouer d’autres.
A Düsseldorf,
Sébastien DURET