Sabrina Delannoy se méfie de l'Angleterre (Photo : Eric Baledent)
La qualif et pas de fatigue
« On s'est donné les moyens d'aller chercher cette qualification pour les quarts de finale rapidement. On a eu la chance d'assurer la première place du groupe, c'est encore plus rare. Je ne sens pas du tout de fatigue dans le groupe, les filles ont un protocole de récupération, beaucoup de choses sont mises en place après les matches. Je n'ai entendu aucune fille se plaindre d'être fatiguée. A chaque fois, on a toute hâte d'être au prochain match et d'aller le plus loin possible. »
L'Angleterre
« La première fois que j'ai été appelée en équipe de France, c'était face à l'Angleterre. Je n'ai pas eu la chance de participer mais c'était ma première cape (2-2 à Charlety, le 20 octobre 2012). L'Angleterre dans le foot féminin a toujours été bien classée. C'est une équipe très athlétique mais aussi très technique il va falloir se méfier. Les matches des autres poules nous ont montré qu'il n'y avait pas de petites équipes. C'est vraiment un Euro où il y a un niveau très homogène. Il y a eu pas mal de surprises mais c'est vrai qu'on attendait l'Angleterre un peu plus haut dans notre groupe. Dans les équipes de jeunes, je me souviens avoir affronté (Jill) Scott ou encore (Eniola) Aluko. Ce sont des joueuses qui peuvent faire la différence individuellement mais l'Angleterre possède un très bon collectif ».
Le quart de finale 2011
« A cette époque, je suivais les copines à la télé, ce match avait été très riche en émotion pour le groupe. Il était super important dans la cohésion et pour la suite de l'aventure. Ce sont de bons souvenirs : on va s'en inspirer pour que ce soit positif demain (jeudi). »
La belle aventure
« Ça ne fait pas très longtemps que je suis là mais c'est un groupe très enrichissant à tous les points de vue que ce soit humainement ou sportivement. Pour l'instant, il n'y a que des belles choses qui nous arrivent. On a la chance de n'avoir enregistré que des victoires pour l'instant, ce qui facilite aussi beaucoup de choses. Mais si on a obtenu ces succès, ce n'est pas un hasard. C'est parce qu'on a travaillé plusieurs semaines pour être prête pour cette compétition et aujourd'hui on a juste envie de profiter de cette belle aventure. »
« On s'est donné les moyens d'aller chercher cette qualification pour les quarts de finale rapidement. On a eu la chance d'assurer la première place du groupe, c'est encore plus rare. Je ne sens pas du tout de fatigue dans le groupe, les filles ont un protocole de récupération, beaucoup de choses sont mises en place après les matches. Je n'ai entendu aucune fille se plaindre d'être fatiguée. A chaque fois, on a toute hâte d'être au prochain match et d'aller le plus loin possible. »
L'Angleterre
« La première fois que j'ai été appelée en équipe de France, c'était face à l'Angleterre. Je n'ai pas eu la chance de participer mais c'était ma première cape (2-2 à Charlety, le 20 octobre 2012). L'Angleterre dans le foot féminin a toujours été bien classée. C'est une équipe très athlétique mais aussi très technique il va falloir se méfier. Les matches des autres poules nous ont montré qu'il n'y avait pas de petites équipes. C'est vraiment un Euro où il y a un niveau très homogène. Il y a eu pas mal de surprises mais c'est vrai qu'on attendait l'Angleterre un peu plus haut dans notre groupe. Dans les équipes de jeunes, je me souviens avoir affronté (Jill) Scott ou encore (Eniola) Aluko. Ce sont des joueuses qui peuvent faire la différence individuellement mais l'Angleterre possède un très bon collectif ».
Le quart de finale 2011
« A cette époque, je suivais les copines à la télé, ce match avait été très riche en émotion pour le groupe. Il était super important dans la cohésion et pour la suite de l'aventure. Ce sont de bons souvenirs : on va s'en inspirer pour que ce soit positif demain (jeudi). »
La belle aventure
« Ça ne fait pas très longtemps que je suis là mais c'est un groupe très enrichissant à tous les points de vue que ce soit humainement ou sportivement. Pour l'instant, il n'y a que des belles choses qui nous arrivent. On a la chance de n'avoir enregistré que des victoires pour l'instant, ce qui facilite aussi beaucoup de choses. Mais si on a obtenu ces succès, ce n'est pas un hasard. C'est parce qu'on a travaillé plusieurs semaines pour être prête pour cette compétition et aujourd'hui on a juste envie de profiter de cette belle aventure. »