Le football féminin suisse continue à s'installer dans le paysage du football féminin international. Alors que l'équipe A a disputé la dernière Coupe du Monde au Canada, et qu'elle s'est qualifiée pour l'Euro 2017 aux Pays-Bas, les sélections jeunes sont aussi de plus en plus performantes. Après avoir connu des demi-finales en 2009 et 2011, la Suisse récidive à l'occasion de cette Euro 2016.
Dès le deuxième match de cet Euro, la Suisse a décroché son billet pour les demi-finales. La sélection de Nora Häuptle s'est offert le scalp de l'Allemagne (3-2). La sélectionneuse affichait un visage souriant après cette victoire : "C'est une belle victoire! Il faut profiter de ces moments-là. Cette victoire, elle est méritée. Les Allemandes ont surtout joué de longs ballons. Mais nous, on a trouvé et appliqué la bonne réponse sur le plan tactique (...) on se focalise sur le match contre l'Espagne et sur notre demi-finale." Mais contre l'Espagne, l'équipe suisse n'a rien pu faire et s'est très lourdement inclinée (0-5) laissant ainsi la première place du groupe aux Espagnoles. Au moment de jouer la France, elle reste sereine : "Nous les respectons mais nous n'avons pas peur".
Dès le deuxième match de cet Euro, la Suisse a décroché son billet pour les demi-finales. La sélection de Nora Häuptle s'est offert le scalp de l'Allemagne (3-2). La sélectionneuse affichait un visage souriant après cette victoire : "C'est une belle victoire! Il faut profiter de ces moments-là. Cette victoire, elle est méritée. Les Allemandes ont surtout joué de longs ballons. Mais nous, on a trouvé et appliqué la bonne réponse sur le plan tactique (...) on se focalise sur le match contre l'Espagne et sur notre demi-finale." Mais contre l'Espagne, l'équipe suisse n'a rien pu faire et s'est très lourdement inclinée (0-5) laissant ainsi la première place du groupe aux Espagnoles. Au moment de jouer la France, elle reste sereine : "Nous les respectons mais nous n'avons pas peur".
La jeune équipe suisse est un adversaire à ne pas prendre à la légère avec notamment cinq joueuses de l'Euro U17 2015 comme Naomi Mégroz et Camille Surdez qui brillent depuis le début de la compétition. Des joueuses qui avaient brillé l'an passé en atteignant la finale de l'Euro U17 ne s'inclinant que face à l'Espagne (2-5) après avoir battu notamment la France (1-2).
En onze confrontations dans cette catégorie d'âge, la France affiche un bilan très excédentaire face à la Suisse, avec 9 victoires, 1 nul pour seulement une défaite en 2004 (0-1). Un adversaire que le sélectionneur français ne s'attendait pas à voir à ce stade de la compétition et dont le jeu a donc été étudié plus précisement ces derniers jours : "C’est une équipe qui semble plus à l’aise en contre, il faudra être méfiant, particulièrement de Cinzia Zehnder, qui a une très bonne technique". Après l'entrée dans la compétition manquée face à la Norvège (0-1), la sélection a su relever la tête mais sait que tout est possible et que même favorites, les Bleuettes auront besoin de prouver sur le terrain ce statut.
En onze confrontations dans cette catégorie d'âge, la France affiche un bilan très excédentaire face à la Suisse, avec 9 victoires, 1 nul pour seulement une défaite en 2004 (0-1). Un adversaire que le sélectionneur français ne s'attendait pas à voir à ce stade de la compétition et dont le jeu a donc été étudié plus précisement ces derniers jours : "C’est une équipe qui semble plus à l’aise en contre, il faudra être méfiant, particulièrement de Cinzia Zehnder, qui a une très bonne technique". Après l'entrée dans la compétition manquée face à la Norvège (0-1), la sélection a su relever la tête mais sait que tout est possible et que même favorites, les Bleuettes auront besoin de prouver sur le terrain ce statut.
Gilles Eyquem qui n'avait pas prévu une défaite d'entrée, n'a pas pu faire tourner son effectif autant qu'il l'aurait souhaité : "J'aurai préféré gagner le premier match, pour me retrouver dans la position de la Suisse, qui a pu faire tourner dans le troisième match".
Mais les Françaises pour sept d'entre elles présentes l'an dernier en Israël voudront aussi éviter de quitter la compétition trop tôt et avec des regrets. Face à l'Espagne, elles avaient été sorties en 2015 aux tirs au but dans un match qu'elles avaient dominé (1-1). Interrogé avant de quitter Clairefontaine, Gilles Eyquem avait commenté ce moment difficile : "Cela a été un moment dur pour elles. Elles étaient conscientes qu'elles auraient pu peut-être faire mieux".
C'est avec ambition que les Bleuettes avancent dans cette compétition avec l'envie de faire comme leurs aînées en 2013, championnes d'Europe. Après avoir réussi le minimum en entrant dans le dernier carré, le sélectionneur espère plus : "On a un très joli groupe, avec à la fois un beau collectif, des filles qui s'entendent bien ensemble, et de très belles individualités". Katoto l'a démontré lors des deux derniers matchs, accompagnées par Morroni et Delphine Cascarino qui montent en puissance. Des atouts offensifs majeurs.
Mais les Françaises pour sept d'entre elles présentes l'an dernier en Israël voudront aussi éviter de quitter la compétition trop tôt et avec des regrets. Face à l'Espagne, elles avaient été sorties en 2015 aux tirs au but dans un match qu'elles avaient dominé (1-1). Interrogé avant de quitter Clairefontaine, Gilles Eyquem avait commenté ce moment difficile : "Cela a été un moment dur pour elles. Elles étaient conscientes qu'elles auraient pu peut-être faire mieux".
C'est avec ambition que les Bleuettes avancent dans cette compétition avec l'envie de faire comme leurs aînées en 2013, championnes d'Europe. Après avoir réussi le minimum en entrant dans le dernier carré, le sélectionneur espère plus : "On a un très joli groupe, avec à la fois un beau collectif, des filles qui s'entendent bien ensemble, et de très belles individualités". Katoto l'a démontré lors des deux derniers matchs, accompagnées par Morroni et Delphine Cascarino qui montent en puissance. Des atouts offensifs majeurs.