Mélodie Carré après le troisième but tricolore (photo Sébastien Duret)
Première sélection avec une victoire face à l'Ukraine, que pouviez-vous demander de plus ?
Il y a beaucoup d'émotions. On savait que l'Ukraine, cela allait être dur à jouer. Je pense que l'on était dans un bon jour maintenant il n'y a rien de fait. C'est bien d'avoir gagné aujourd'hui (ndlr : mercredi) mais le plus dur, cela va être de confirmer contre la République tchèque.
Comment avez-vous prévu ce match ?
On a su hausser notre niveau. On les avait observé avec leur dernier rassemblement en mars, on ne savait pas trop à quoi s'attendre mais on savait que physiquement elles allaient mettre de l'impact. On a mis un point fort là dessus en avant match, ne rien leur donner, faire le boulot physiquement, leur rentrer dedans et montrer même si l'on est qu'une jeune nation, que l'on était capable de répondre présent et je pense qu'aujourd'hui, on l'a bien fait.
Le fait d'avoir ouvert le score, a-t-il facilité la gestion du match ?
C'est sûr. Maintenant prendre un but, cela ne veut rien dire non plus. On s'était aussi préparé à prendre un ou plusieurs buts, la finalité, c'est qu'à la fin, il faut en avoir un de plus que l'adversaire. Cela a plutôt payé aujourd'hui.
Il y a beaucoup d'émotions. On savait que l'Ukraine, cela allait être dur à jouer. Je pense que l'on était dans un bon jour maintenant il n'y a rien de fait. C'est bien d'avoir gagné aujourd'hui (ndlr : mercredi) mais le plus dur, cela va être de confirmer contre la République tchèque.
Comment avez-vous prévu ce match ?
On a su hausser notre niveau. On les avait observé avec leur dernier rassemblement en mars, on ne savait pas trop à quoi s'attendre mais on savait que physiquement elles allaient mettre de l'impact. On a mis un point fort là dessus en avant match, ne rien leur donner, faire le boulot physiquement, leur rentrer dedans et montrer même si l'on est qu'une jeune nation, que l'on était capable de répondre présent et je pense qu'aujourd'hui, on l'a bien fait.
Le fait d'avoir ouvert le score, a-t-il facilité la gestion du match ?
C'est sûr. Maintenant prendre un but, cela ne veut rien dire non plus. On s'était aussi préparé à prendre un ou plusieurs buts, la finalité, c'est qu'à la fin, il faut en avoir un de plus que l'adversaire. Cela a plutôt payé aujourd'hui.
"Il faut rester les pieds sur terre, le plus dur arrive"
Mélodie Carré, concentrée avant la rencontre (photo Sébastien Duret)
A quel moment avez-vous découvert le futsal ?
Cela fait un mois et demi. Je le connaissais un peu après en avoir fait au lycée et à la fac mais je l'ai vraiment découvert en profondeur fin août à Nantes Métropole Futsal. Je prends plaisir à jouer au futsal, j'ai très très peu d'expérience mais je suis contente parce que j'ai répondu présente aujourd'hui même si cela ne veut rien dire. Il faut rester les pieds sur terre, le plus dur arrive.
A quel moment avez-vous su que vous alliez débuter la rencontre ?
On l'a su ce matin lors de la causerie avant le repas.
Quel rôle à Flavie Papin, l'autre gardienne, avec vous dans la gestion ?
C'était la première fois que l'on était ensemble sur un rassemblement. Elle m'a très bien intégrée. Il y a Gaëlle (Bisson) aussi parce que l'on était trois au départ. A trois, on a hyper bien bossé pendant cinq jours et elles m'ont beaucoup appris. Quand je suis arrivée, je n'avais pas grand chose en comparaison avec elles qui ont déjà un an d'expérience en sélection et beaucoup plus d'expérience que moi sur le futsal. Elles ont vraiment été top et bienveillantes avec moi. C'est important, aujourd'hui (mercredi), Flavie, son rôle était de me préparer au mieux. Elle a été hyper à l'écoute, de temps en temps, elle me donnait quelques petits conseils. C'était important. Je découvre et je fais des erreurs, la preuve sur le but. Il faut apprendre de ça pour ne pas refaire les mêmes demain (jeudi)
Cela fait un mois et demi. Je le connaissais un peu après en avoir fait au lycée et à la fac mais je l'ai vraiment découvert en profondeur fin août à Nantes Métropole Futsal. Je prends plaisir à jouer au futsal, j'ai très très peu d'expérience mais je suis contente parce que j'ai répondu présente aujourd'hui même si cela ne veut rien dire. Il faut rester les pieds sur terre, le plus dur arrive.
A quel moment avez-vous su que vous alliez débuter la rencontre ?
On l'a su ce matin lors de la causerie avant le repas.
Quel rôle à Flavie Papin, l'autre gardienne, avec vous dans la gestion ?
C'était la première fois que l'on était ensemble sur un rassemblement. Elle m'a très bien intégrée. Il y a Gaëlle (Bisson) aussi parce que l'on était trois au départ. A trois, on a hyper bien bossé pendant cinq jours et elles m'ont beaucoup appris. Quand je suis arrivée, je n'avais pas grand chose en comparaison avec elles qui ont déjà un an d'expérience en sélection et beaucoup plus d'expérience que moi sur le futsal. Elles ont vraiment été top et bienveillantes avec moi. C'est important, aujourd'hui (mercredi), Flavie, son rôle était de me préparer au mieux. Elle a été hyper à l'écoute, de temps en temps, elle me donnait quelques petits conseils. C'était important. Je découvre et je fais des erreurs, la preuve sur le but. Il faut apprendre de ça pour ne pas refaire les mêmes demain (jeudi)
"Je prends beaucoup de plaisir"
Vous aviez décidé d'arrêter le foot à 11. Le futsal est un autre challenge sportif avec des conditions différentes d'entraînement, une vie de famille à gérer comme vous le souhaitiez...
C'est là où ce n'était pas du tout prévu que je commence le futsal. Je fais avant tout cela pour le plaisir. Après c'est un équilibre à trouver entre moi, la sélection, le futsal et la vie familiale. C'est pour moi la priorité et cela le sera toujours. On a réussi à gérer les situations et on le gère très bien. Tant mieux, cela n'était pas prévu et ma carrière foot à 11 s'est terminée et la carrière futsal qui débute. Mais je ne considère pas que c'est une carrière, je suis là pour le plaisir et je prends beaucoup de plaisir à être là. De là, à ce que ce soit une nouvelle carrière, on verra plus tard.
C'est là où ce n'était pas du tout prévu que je commence le futsal. Je fais avant tout cela pour le plaisir. Après c'est un équilibre à trouver entre moi, la sélection, le futsal et la vie familiale. C'est pour moi la priorité et cela le sera toujours. On a réussi à gérer les situations et on le gère très bien. Tant mieux, cela n'était pas prévu et ma carrière foot à 11 s'est terminée et la carrière futsal qui débute. Mais je ne considère pas que c'est une carrière, je suis là pour le plaisir et je prends beaucoup de plaisir à être là. De là, à ce que ce soit une nouvelle carrière, on verra plus tard.