Pierre-Étienne Demillier avec le staff (photo Sébastien Duret)
C'est une première victoire historique...
C'est une première pour la sélection féminine futsal. En effet, c'est historique On est très content d'y participer.
Par rapport au premier match, l'équipe a su réagir en seconde période.
Hier, c'était la première fois que l'on menait au score. Là, on entame la partie en prenant un but très rapidement. On n'a pas couru après le score qui était négatif, on a essayé de jouer. On espérait se montrer patient et que cela vienne de soi-même. Il a fallu attendre la deuxième mi-temps, c'était un peu long mais l'essentiel, c'est que c'est fait.
Qu'est-ce qui a fait la différence ?
Je pense qu'athlétiquement on a plus de répondant, on a su répondre au défi athlétique. On a été capable de durer dans l'effort entre hier et aujourd'hui. La deuxième mi-temps, je pense que l'on est supérieur physiquement. On a des armes techniques qui sont un peu supérieures aux autres sur ce match.
Avec cette victoire, est-ce que l'on peut réhausser les objectifs ?
Non, ils ne changeront pas. On a envie de travailler. Cette victoire va nous permettre de travailler sereinement. Sur une victoire, on capitalise, cela nous permet de travailler sereinement. Les joueuses croient en leur potentiel. Si tu perds, les joueuses se remettent toujours en question. Cela va nous permettre de travailler sur la durée.
Cela soude encore plus un groupe ?
Vivre des émotions comme ça, ensemble, à l'étranger, des moments de sport, des victoires, tout cela forge un groupe, permet de créer des liens qui vont perdurer dans le temps. Les joueuses, on les a observé sur le terrain et en dehors, avec des joueuses qui correspondent à nos valeurs, à ce que l'on souhaite mettre en place.
C'est une première pour la sélection féminine futsal. En effet, c'est historique On est très content d'y participer.
Par rapport au premier match, l'équipe a su réagir en seconde période.
Hier, c'était la première fois que l'on menait au score. Là, on entame la partie en prenant un but très rapidement. On n'a pas couru après le score qui était négatif, on a essayé de jouer. On espérait se montrer patient et que cela vienne de soi-même. Il a fallu attendre la deuxième mi-temps, c'était un peu long mais l'essentiel, c'est que c'est fait.
Qu'est-ce qui a fait la différence ?
Je pense qu'athlétiquement on a plus de répondant, on a su répondre au défi athlétique. On a été capable de durer dans l'effort entre hier et aujourd'hui. La deuxième mi-temps, je pense que l'on est supérieur physiquement. On a des armes techniques qui sont un peu supérieures aux autres sur ce match.
Avec cette victoire, est-ce que l'on peut réhausser les objectifs ?
Non, ils ne changeront pas. On a envie de travailler. Cette victoire va nous permettre de travailler sereinement. Sur une victoire, on capitalise, cela nous permet de travailler sereinement. Les joueuses croient en leur potentiel. Si tu perds, les joueuses se remettent toujours en question. Cela va nous permettre de travailler sur la durée.
Cela soude encore plus un groupe ?
Vivre des émotions comme ça, ensemble, à l'étranger, des moments de sport, des victoires, tout cela forge un groupe, permet de créer des liens qui vont perdurer dans le temps. Les joueuses, on les a observé sur le terrain et en dehors, avec des joueuses qui correspondent à nos valeurs, à ce que l'on souhaite mettre en place.
"Elles ont su apprendre à vitesse grand V"
Pierre-Étienne Demillier concentré avant la rencontre (photo Sébastien Duret)
L'équipe marque à chaque match et aujourd'hui trois buts, et est efficace
Oui en deuxième mi-temps, on a été efficace. En première mi-temps, ce n'est pas le cas, on a tiré 19 fois, et on a cadré 4 fois donc ce n'est pas possible sur un match international pour avoir un résultat. En deuxième mi-temps, on règle la mire parce qu'il y a de la qualité. Cela permet de scorer et de mettre en difficulté l'adversaire.
Qu'apporte votre capitaine Alexandra Atamaniuk dans cette équipe ?
C'est une joueuse qui a un vécu nationale et internationale ce que la quasi-totalité des autres n'ont pas. Son expérience, sa connaissance du haut niveau, sa maîtrise des événements, ce sont les raisons pour lesquelles on l'a choisie. C'est notre relais, elle est calme. C'est important au futsal.
L'équipe n'a jamais paniqué ?
C'est le message que l'on a essayé de transmettre. Faites preuve de maturité que vous n'avez pas, d'expérience que vous n'avez pas parce que l'on a peu d'expérience sur des matchs internationaux. Elles ont su apprendre à vitesse grand V. On peut les féliciter.
Oui en deuxième mi-temps, on a été efficace. En première mi-temps, ce n'est pas le cas, on a tiré 19 fois, et on a cadré 4 fois donc ce n'est pas possible sur un match international pour avoir un résultat. En deuxième mi-temps, on règle la mire parce qu'il y a de la qualité. Cela permet de scorer et de mettre en difficulté l'adversaire.
Qu'apporte votre capitaine Alexandra Atamaniuk dans cette équipe ?
C'est une joueuse qui a un vécu nationale et internationale ce que la quasi-totalité des autres n'ont pas. Son expérience, sa connaissance du haut niveau, sa maîtrise des événements, ce sont les raisons pour lesquelles on l'a choisie. C'est notre relais, elle est calme. C'est important au futsal.
L'équipe n'a jamais paniqué ?
C'est le message que l'on a essayé de transmettre. Faites preuve de maturité que vous n'avez pas, d'expérience que vous n'avez pas parce que l'on a peu d'expérience sur des matchs internationaux. Elles ont su apprendre à vitesse grand V. On peut les féliciter.
La réaction du sélectionneur slovène Drago Adamič
"Le résultat est logique. Bravo à la France qui était meilleure. La France a fait la différence parce qu’il y a deux, peut-être même trois classes devant nous, elles sont techniquement meilleures que nous. Tant que nous étions capables de défendre avec une défense organisée et que nous avions assez d’énergie, nous avons résisté. Dans la première moitié du temps, nous avons eu quelques opportunités, mais trop souvent nous étions en retard, et nous n’étions pas non plus assez énergiques. Je félicite mes filles pour la combativité, l’envie, l’effort et la volonté. Je n’ai rien à leur reprocher"