L'équipe bélarusse évoluera à domicile (photo : Ekaterina Zavadskaya)
"Imprévisible"
Son équipe affrontera l'Allemagne quintuple championne, la France dont la cote est élevée, ainsi que la Suisse dans le Groupe A. Les Bélarusses auront du pain sur la planche lorsque débutera la compétition, le 13 juillet. Mais Shevchuk continue d'y croire. "On espérait éviter l'Allemagne", confiait-il à uefa.com. "Je voulais un groupe avec la Suède et l'Islande, parce que je sais qu'on peut les battre. Mais le football de jeunes est toujours imprévisible. On a une chance de battre les favoris. C'est toujours intéressant de jouer contre les meilleures équipes, et je suis curieux de voir comment mes filles vont s'en sortir."
Promotion du sport
Le Bélarus, qui organise sa première grande phase finale européenne, sera au centre de toutes les attentions. Le pays s'est déjà illustré en compétitions masculines, mais pas encore sur la scène féminine. "Clairement, le football féminin n'est pas aussi populaire que le football masculin au Bélarus", confirmait Shevchuk. "Le championnat d'Europe devrait nous aider. Il va promouvoir le sport et augmenter sa popularité. On fera de notre mieux pour bien jouer et répondre aux attentes de nos supporteurs."
Préparation imparfaite
Shevchuk espère bien réussir à déjouer les pronostics. Mais les préparations de l'équipe n'ont pas été idéales. Qualifié automatiquement, le Bélarus a joué moins de matches officiels que ses rivaux, et sera peut-être privé de deux attaquantes clés, Tatyana Kiose et Anzhela Lapusta, touchées au genou. "Je n'ai que des informations générales sur nos adversaires, car je ne les ai pas vus jouer", expliquait Shevchuk. "Mais vu la façon dont jouent l'Allemagne, la France et la Suisse, je pense que nous devrons avoir un plan différent pour chaque match. On fera en sorte d'être préparés du mieux possible pour le coup d'envoi."
Source : uefa.com
Son équipe affrontera l'Allemagne quintuple championne, la France dont la cote est élevée, ainsi que la Suisse dans le Groupe A. Les Bélarusses auront du pain sur la planche lorsque débutera la compétition, le 13 juillet. Mais Shevchuk continue d'y croire. "On espérait éviter l'Allemagne", confiait-il à uefa.com. "Je voulais un groupe avec la Suède et l'Islande, parce que je sais qu'on peut les battre. Mais le football de jeunes est toujours imprévisible. On a une chance de battre les favoris. C'est toujours intéressant de jouer contre les meilleures équipes, et je suis curieux de voir comment mes filles vont s'en sortir."
Promotion du sport
Le Bélarus, qui organise sa première grande phase finale européenne, sera au centre de toutes les attentions. Le pays s'est déjà illustré en compétitions masculines, mais pas encore sur la scène féminine. "Clairement, le football féminin n'est pas aussi populaire que le football masculin au Bélarus", confirmait Shevchuk. "Le championnat d'Europe devrait nous aider. Il va promouvoir le sport et augmenter sa popularité. On fera de notre mieux pour bien jouer et répondre aux attentes de nos supporteurs."
Préparation imparfaite
Shevchuk espère bien réussir à déjouer les pronostics. Mais les préparations de l'équipe n'ont pas été idéales. Qualifié automatiquement, le Bélarus a joué moins de matches officiels que ses rivaux, et sera peut-être privé de deux attaquantes clés, Tatyana Kiose et Anzhela Lapusta, touchées au genou. "Je n'ai que des informations générales sur nos adversaires, car je ne les ai pas vus jouer", expliquait Shevchuk. "Mais vu la façon dont jouent l'Allemagne, la France et la Suisse, je pense que nous devrons avoir un plan différent pour chaque match. On fera en sorte d'être préparés du mieux possible pour le coup d'envoi."
Source : uefa.com