Corine Franco savoure d'autant plus qu'elle était en tribune l'an dernier (Photos : Eric Baledent)
Patrice Lair (coach de l'OL) : "Un honneur d'avoir confirmé"
"On a eu un début de match difficile avec une grosse pression de Francfort dans les dix premières minutes. L'équipe a su faire le dos rond pour pouvoir ressortir. On a eu la chance de marquer deux fois assez rapidement et si cette équipe allemande réussit à revenir à 2-1 avant la mi-temps, le match est totalement relancé.
Que ce soit le Turbine Potsdam ou le FFC Francfort, c’était deux matchs difficiles dans un contexte difficile. Être en Allemagne aujourd’hui, c’était une pression supplémentaire, mais notre qualité individuelle nous as souri au niveau du résultat. Pour ma part, je pense que le Turbine Potsdam était supérieure physiquement alors que le FFC Francfort est une équipe plus technique. La finale de l’année dernière a été remportée plus facilement. Aujourd’hui pour un club français, gagner ici, c’est fabuleux. C’est un honneur d’avoir confirmé cette deuxième ligue des champions sur le sol Allemand."
Camille Abily (milieu de terrain de l'OL) : "Il faut profiter"
"Le début de match a été difficile. Les Allemandes ont beaucoup poussé et ce n’était pas facile, pour nous, devant un public venu en nombre. On a réussi à marquer ce qui nous a permis d’avoir plus de confiance pour ensuite poser notre jeu. On aurait pu se mettre encore plus à l’abri mais on est très contentes d’avoir gagné ce match 2-0. Avec l'expérience de l'an dernier, je pense qu'on a mieux géré l'évènement pourtant on a fait un début de match assez difficile. Ce sont des moments particuliers, on ne les vit pas tous les jours. En plus pour la plupart elles ont leur familles dans la tribune. Il faut profiter.
"On a eu un début de match difficile avec une grosse pression de Francfort dans les dix premières minutes. L'équipe a su faire le dos rond pour pouvoir ressortir. On a eu la chance de marquer deux fois assez rapidement et si cette équipe allemande réussit à revenir à 2-1 avant la mi-temps, le match est totalement relancé.
Que ce soit le Turbine Potsdam ou le FFC Francfort, c’était deux matchs difficiles dans un contexte difficile. Être en Allemagne aujourd’hui, c’était une pression supplémentaire, mais notre qualité individuelle nous as souri au niveau du résultat. Pour ma part, je pense que le Turbine Potsdam était supérieure physiquement alors que le FFC Francfort est une équipe plus technique. La finale de l’année dernière a été remportée plus facilement. Aujourd’hui pour un club français, gagner ici, c’est fabuleux. C’est un honneur d’avoir confirmé cette deuxième ligue des champions sur le sol Allemand."
Camille Abily (milieu de terrain de l'OL) : "Il faut profiter"
"Le début de match a été difficile. Les Allemandes ont beaucoup poussé et ce n’était pas facile, pour nous, devant un public venu en nombre. On a réussi à marquer ce qui nous a permis d’avoir plus de confiance pour ensuite poser notre jeu. On aurait pu se mettre encore plus à l’abri mais on est très contentes d’avoir gagné ce match 2-0. Avec l'expérience de l'an dernier, je pense qu'on a mieux géré l'évènement pourtant on a fait un début de match assez difficile. Ce sont des moments particuliers, on ne les vit pas tous les jours. En plus pour la plupart elles ont leur familles dans la tribune. Il faut profiter.
Patrice Lair avait le sourire en conférence de presse
Corine Franco (défenseure de l'OL) : "Des émotions rares"
« On aime s'habituer à ces moments-là mais ce sont des émotions rares et il faut en profiter. L'année dernière, je ne l'avais pas joué parce que j'étais en tribune. Aujourd'hui, c'est une grande émotion et ça fait plaisir. On va faire la fête mais on va y aller doucement parce qu'on a un match dimanche contre Paris. Et ce serait bien de faire le triplé. »
Paul Piemontèse (président de la section féminine de l'OL) : "Je me suis vu en train de conduire l'autobus"
« Ce qui était important c'était de savoir grandir lors de chacune des finales. Grandir en maturité, en résultat mais également en nombre de spectateurs, ce qui prouve que l'aura s'accroît et qu'il y a de l'engouement. Et ça, quand j'ai démarré, c'est ce que j'espérais. Je voulais que l'on soit capable de montrer que l'on pouvait faire du grand spectacle, de la qualité et du très beau football. Il faut continuer. Quand les filles ont soulevé cette Coupe, je me suis vu en train de conduire l'autobus il y a 25 ans pour le amener à Saint-Brieuc et gagner notre premier titre. A l'époque, on n'avait rien, pas de moyens juste beaucoup d'espoir. Je me disais : il va falloir qu'on prouve quelque chose pour être admis dans le grand club. Mon objectif des premières années c'était ça : on ne vient pas pour mendier on vient prouver. Je pense à ça tout le temps parce que c'était compliqué avec un seul équipement pour toute l'année. Je faisais deux métiers à la fois pour prouver ça et lorsqu'on croit à quelque chose...D'ailleurs on dit bien lorsqu'il y a une volonté, il y a un chemin. On a pris ce chemin. Et ce chemin, c'était l'Europe. »
S.C. avec T.S. à Munich
« On aime s'habituer à ces moments-là mais ce sont des émotions rares et il faut en profiter. L'année dernière, je ne l'avais pas joué parce que j'étais en tribune. Aujourd'hui, c'est une grande émotion et ça fait plaisir. On va faire la fête mais on va y aller doucement parce qu'on a un match dimanche contre Paris. Et ce serait bien de faire le triplé. »
Paul Piemontèse (président de la section féminine de l'OL) : "Je me suis vu en train de conduire l'autobus"
« Ce qui était important c'était de savoir grandir lors de chacune des finales. Grandir en maturité, en résultat mais également en nombre de spectateurs, ce qui prouve que l'aura s'accroît et qu'il y a de l'engouement. Et ça, quand j'ai démarré, c'est ce que j'espérais. Je voulais que l'on soit capable de montrer que l'on pouvait faire du grand spectacle, de la qualité et du très beau football. Il faut continuer. Quand les filles ont soulevé cette Coupe, je me suis vu en train de conduire l'autobus il y a 25 ans pour le amener à Saint-Brieuc et gagner notre premier titre. A l'époque, on n'avait rien, pas de moyens juste beaucoup d'espoir. Je me disais : il va falloir qu'on prouve quelque chose pour être admis dans le grand club. Mon objectif des premières années c'était ça : on ne vient pas pour mendier on vient prouver. Je pense à ça tout le temps parce que c'était compliqué avec un seul équipement pour toute l'année. Je faisais deux métiers à la fois pour prouver ça et lorsqu'on croit à quelque chose...D'ailleurs on dit bien lorsqu'il y a une volonté, il y a un chemin. On a pris ce chemin. Et ce chemin, c'était l'Europe. »
S.C. avec T.S. à Munich