Sonia Haziraj avait déjà commenté pour une chaîne bretonne avant Direct8 (Photo : Thibault Simonnet)
Sonia, comment en êtes vous venue à commenter pour Direct8 ?
J'ai eu un coup de fil la semaine dernière me disant qu'il recherchait quelqu'un en urgence parce que Sandrine Roux était à La Manga. Bruno (Bini) avait donné deux noms le mien et celui de Candice Prevost, qui a eu le grand malheur de perdre son papa. Je fais donc les deux premiers matches et Candice vient pour le dernier.
Vous aviez déjà commenté ?
J'avais déjà commenté pour une chaîne régionale bretonne mais ce n'était pas les mêmes moyens. C'est un exercice qui me plaît bien. J'aime pouvoir donner un regard technique et tactique en live, c'est toujours intéressant pour moi. Cela me permet d'être toujours dans l'actualité du haut niveau et de résoudre des situations de problème dans les matches. Depuis la tribune, on voit plus facilement ce qu'il faudrait faire, ne pas faire. Et puis, il n'y a pas la pression du match, on voit tout ça avec plus de recul.
Comment se sont passé vos débuts avec Direct8 ?
Ça s'est tout de suite très bien passé, j'ai été vraiment mise à l'aise tout de suite. Alex Delpérier m'a bien « briefé » en me disant ce qu'il attendait de moi et puis ça se fait naturellement parce qu'on parle de foot. Cela me permet aussi d'avoir un autre œil sur le monde des médias et ce que ça représente. Je me rends compte de l'importance que ça a pour eux, en terme d'audience. Ils ont beau être une télé, ils sont tenus de faire des résultats, c'est aussi un challenge qui me plaît bien. En fait, c'est une équipe qui travaille pour le même objectif.
J'ai eu un coup de fil la semaine dernière me disant qu'il recherchait quelqu'un en urgence parce que Sandrine Roux était à La Manga. Bruno (Bini) avait donné deux noms le mien et celui de Candice Prevost, qui a eu le grand malheur de perdre son papa. Je fais donc les deux premiers matches et Candice vient pour le dernier.
Vous aviez déjà commenté ?
J'avais déjà commenté pour une chaîne régionale bretonne mais ce n'était pas les mêmes moyens. C'est un exercice qui me plaît bien. J'aime pouvoir donner un regard technique et tactique en live, c'est toujours intéressant pour moi. Cela me permet d'être toujours dans l'actualité du haut niveau et de résoudre des situations de problème dans les matches. Depuis la tribune, on voit plus facilement ce qu'il faudrait faire, ne pas faire. Et puis, il n'y a pas la pression du match, on voit tout ça avec plus de recul.
Comment se sont passé vos débuts avec Direct8 ?
Ça s'est tout de suite très bien passé, j'ai été vraiment mise à l'aise tout de suite. Alex Delpérier m'a bien « briefé » en me disant ce qu'il attendait de moi et puis ça se fait naturellement parce qu'on parle de foot. Cela me permet aussi d'avoir un autre œil sur le monde des médias et ce que ça représente. Je me rends compte de l'importance que ça a pour eux, en terme d'audience. Ils ont beau être une télé, ils sont tenus de faire des résultats, c'est aussi un challenge qui me plaît bien. En fait, c'est une équipe qui travaille pour le même objectif.
"Je m'intéresse tout le temps au foot"
Pourriez-vous continuer à travailler pour la chaîne ?
Oui parce que ça me plaît vraiment. Et puis je m'intéresse tout le temps au foot, je pense connaître les équipes grâce à mes missions FIFA. Cela me permet aussi d'être à jour au niveau de toutes les sélections. J'avais par exemple rencontré Hope Powell, la coach anglaise, en Afrique du Sud et on avait échangé. J'ai des petites infos et c'est toujours intéressant d'en faire profiter.
Vous êtes consultante mais vous êtes aussi en train de passer votre formateur.
Oui, la formation a commencé en octobre 2010 et se termine la semaine prochaine, c'était mon objectif prioritaire. Après avoir arrêté à Saint-Brieuc, je voulais me concentrer sur la formation et c'est ce que j'ai fait. J'ai pu prendre du recul sur ce que je voulais et sur le jeu. Après, mes missions à la FIFA me permettent de compléter ce formateur et d'être toujours assez performantes, ça permet de connaître les grandes tendances actuelles, de rencontrer des joueuses et de grands sélectionneurs français ou étrangers (elle cite Camille Abily qui passe juste a côté puis la chambre).
T.S. À Larnaca.
Oui parce que ça me plaît vraiment. Et puis je m'intéresse tout le temps au foot, je pense connaître les équipes grâce à mes missions FIFA. Cela me permet aussi d'être à jour au niveau de toutes les sélections. J'avais par exemple rencontré Hope Powell, la coach anglaise, en Afrique du Sud et on avait échangé. J'ai des petites infos et c'est toujours intéressant d'en faire profiter.
Vous êtes consultante mais vous êtes aussi en train de passer votre formateur.
Oui, la formation a commencé en octobre 2010 et se termine la semaine prochaine, c'était mon objectif prioritaire. Après avoir arrêté à Saint-Brieuc, je voulais me concentrer sur la formation et c'est ce que j'ai fait. J'ai pu prendre du recul sur ce que je voulais et sur le jeu. Après, mes missions à la FIFA me permettent de compléter ce formateur et d'être toujours assez performantes, ça permet de connaître les grandes tendances actuelles, de rencontrer des joueuses et de grands sélectionneurs français ou étrangers (elle cite Camille Abily qui passe juste a côté puis la chambre).
T.S. À Larnaca.