Les Françaises l'année dernière aux USA (photo DR)
La sélection dirigée par Marc Maufroy s'était rassemblée du 29 mai au 1er juin à Vichy avec 22 joueuses. Un stage technique et de condition physique sur les installations de Bellerive-sur-Allier. La semaine dernière, avant de rallier ce mardi 27 les Pays-Bas, l'équipe était réunie pour un dernier stage.
"Cela a été plus compliqué pour sortir un groupe définitif. On l'a eu à Vichy et dans la dernière semaine de préparation au Pôle Espoir de Liévin. Cela a permis de travailler sereinement et de couper la route pour aller aux Pays-Bas" indique le sélectionneur Marc Maufroy. "On a bien travaillé même si le problème est que les stages cette saison ont duré moins longtemps que la saison dernière (du lundi au jeudi)".
Sept joueuses championnes du Monde l'été dernier figurent dans la liste des 20 joueuses retenues (Dupupet, Leroy, Marichaud, Boudaud, Godart, Proniez et Duporge). "On a une joueuse de moins que l'an dernier autorisée pour la compétition (20 contre 21). On a notre groupe depuis le stage de Vichy qui était organisé après la fin des championnats et où on avait 22 joueuses. Il en a donc deux (Manon Coquil et Morgane De Seixas) que l'on a malheureusement pas emmené" souligne le CTD du Loiret.
Avec aucun pépin physique relevé, le sélectionneur garde le même esprit que la saison dernière : "On fera du mieux possible pour essayer de conserver notre titre. On se base toujours sur les mêmes choses : le jeu, le plaisir". La sélection qui n'a pu trouver d'oppositions pour le dernier stage restait sur un match nul contre Yzeure (1-1, le 31 mai à Bellerive-sur-Allier) après avoir une défaite face au Mans (1-3, le 16 février) où seulement 8 joueuses de la liste finale était présente.
"Cela a été plus compliqué pour sortir un groupe définitif. On l'a eu à Vichy et dans la dernière semaine de préparation au Pôle Espoir de Liévin. Cela a permis de travailler sereinement et de couper la route pour aller aux Pays-Bas" indique le sélectionneur Marc Maufroy. "On a bien travaillé même si le problème est que les stages cette saison ont duré moins longtemps que la saison dernière (du lundi au jeudi)".
Sept joueuses championnes du Monde l'été dernier figurent dans la liste des 20 joueuses retenues (Dupupet, Leroy, Marichaud, Boudaud, Godart, Proniez et Duporge). "On a une joueuse de moins que l'an dernier autorisée pour la compétition (20 contre 21). On a notre groupe depuis le stage de Vichy qui était organisé après la fin des championnats et où on avait 22 joueuses. Il en a donc deux (Manon Coquil et Morgane De Seixas) que l'on a malheureusement pas emmené" souligne le CTD du Loiret.
Avec aucun pépin physique relevé, le sélectionneur garde le même esprit que la saison dernière : "On fera du mieux possible pour essayer de conserver notre titre. On se base toujours sur les mêmes choses : le jeu, le plaisir". La sélection qui n'a pu trouver d'oppositions pour le dernier stage restait sur un match nul contre Yzeure (1-1, le 31 mai à Bellerive-sur-Allier) après avoir une défaite face au Mans (1-3, le 16 février) où seulement 8 joueuses de la liste finale était présente.
"Un groupe avec des qualités différentes par rapport à l'an dernier"
La sélection est arrivée le 27 juin aux Pays-Bas
Le groupe a donc beaucoup évolué avec notamment les absences par rapport à 2022 de Palacin, Pasquereau, Corboz ou encore Gavory, mais avec l'arrivée de joueuses toutes aussi aguerries comme Altunkulak, élue meilleure joueuse de D2, Delabre ou encore Solanet. "On a mis notre groupe gentiment en place. On a un groupe de joueuses intéressantes avec des qualités différentes par rapport au groupe de l'an dernier. On a gardé en qualité" positive Marc Maufroy.
La sélection a été placée dans le groupe de la Tanzanie, la Corée du Sud et le Canada, les deux derniers étant déjà dans le groupe de la France l'an dernier avec des rencontres soldés par des succès (1-0 et 3-0). "On ne connait pas du tout la Tanzanie qui est une nouvelle équipe. On s'attend à un football athlétique, engagé, ce sera un premier match musclé. Ensuite, la Corée du Sud, on connaît, cela va être, je pense le match le plus difficile à aborder. Ensuite, il y aura le Canada, l'an dernier, c'était moyen mais d'une année à l'autre, cela peut changer en fonction des joueuses" analyse le sélectionneur.
Il faudra ensuite passer ce premier tour pour atteindre le dernier carré : "On va déjà essayer de faire le maximum dans notre poule pour finir à la première place. Il y aura aussi le meilleur second qui passera. Il faudra bien aborder le premier match sachant que les équipes africaines sont très à l'énergie et que les rencontrer au premier match, c'est toujours un peu plus compliqué que sur le troisième match."
En l'absence du Brésil, outre la Corée du Sud, la France devait avoir pour rivaux au titre le Cameroun, finaliste l'an dernier. Il faudra aussi se méfier des Pays-Bas, hôte, qui essaieront de briller à domicile.
La sélection a été placée dans le groupe de la Tanzanie, la Corée du Sud et le Canada, les deux derniers étant déjà dans le groupe de la France l'an dernier avec des rencontres soldés par des succès (1-0 et 3-0). "On ne connait pas du tout la Tanzanie qui est une nouvelle équipe. On s'attend à un football athlétique, engagé, ce sera un premier match musclé. Ensuite, la Corée du Sud, on connaît, cela va être, je pense le match le plus difficile à aborder. Ensuite, il y aura le Canada, l'an dernier, c'était moyen mais d'une année à l'autre, cela peut changer en fonction des joueuses" analyse le sélectionneur.
Il faudra ensuite passer ce premier tour pour atteindre le dernier carré : "On va déjà essayer de faire le maximum dans notre poule pour finir à la première place. Il y aura aussi le meilleur second qui passera. Il faudra bien aborder le premier match sachant que les équipes africaines sont très à l'énergie et que les rencontrer au premier match, c'est toujours un peu plus compliqué que sur le troisième match."
En l'absence du Brésil, outre la Corée du Sud, la France devait avoir pour rivaux au titre le Cameroun, finaliste l'an dernier. Il faudra aussi se méfier des Pays-Bas, hôte, qui essaieront de briller à domicile.