Alain Revello (photo : festival-foot-espoirs)
Alain, c’est la première édition de la Sud Ladies Cup, qu’est-ce que cela représente pour vous ?
C’est à la fois un gros challenge et une belle aventure. Au sein du comité d’organisation, on pense que le football féminin est en plein développement. Dans son ensemble, il a bien progressé. On doit notamment cette évolution à l’organisation de la coupe du Monde U20 qui aura lieu en France cet été (en Bretagne, du 5 au 24 août). Les filles progressent vite et bien. Ça nous tenait à cœur de découvrir les futures vedettes du football féminin. Celles que l’on aura peut-être l’occasion de revoir dans le futur dans le cadre des compétitions internationales.
Quelle démarche avez-vous suivi pour pouvoir l’organiser ?
Nous avons d’abord rencontré le Directeur Technique National (DTN) Hubert Fournier. Il est tout de suite allé en notre sens. On ne l’en remerciera jamais assez. Quand on voit comment Noël Le Graët (président de la FFF) et Brigitte Henriques (vice-présidente de la FFF) se félicitent de cette organisation… On sait que dernière nous, on a de forts soutiens. Nous en avons aussi eu au niveau de la région avec Richard Miron (conseiller régional) qui nous a bien aidé. La ville de Salon-de-Provence aussi… Il y a un vrai consensus et on s’aperçoit que les gens se tournent plus facilement vers le tournoi féminin que masculin.
Est-ce que c’était une envie de longue date ?
Ça fait deux ou trois ans que l’on y pense. Après, il faut franchir le pas. Avec le statut que l’on a atteint avec le tournoi messieurs, on n’a pas le droit de se manquer. Et franchement, cette édition avec les Etats-Unis, l’Allemagne, la France et Haïti, c’est un plateau qui nous convient très bien.
"Tout ce qu'a bâti mon père pendant des décennies est reconnu à l'échelon international"
Justement, comment vous avez fait pour attirer des grandes nations telles que les Etats-Unis et l’Allemagne ?
On agit toujours par le réseau. On est précédé d’une très grande réputation aussi, ça aide. Quand on dit que le Tournoi Maurice Revello veut lancer une édition féminine… Ça suit derrière. Tout ce qu’a bâti mon père pendant des décennies est reconnu à l’échelon international. À partir de là, il est plus facile de faire venir des grandes nations mondiales.
Haïti est la petite touche exotique des équipes participantes. Pourquoi ce choix ?
J’ai découvert qu’elles s’étaient qualifiées pour la Coupe du monde U20. C’était la condition sine qua non. Ça nous a intrigué. On s’est aperçu que leur sélectionneur, Marc Collat, était français. C’était donc plus facile d’entrer en contact avec eux. Avec le Festival, on a toujours eu l’envie de découvrir d’autres football, contrées, personnes… C’est une chance qu’on donne aussi à ces nations-là.
C’est à la fois un gros challenge et une belle aventure. Au sein du comité d’organisation, on pense que le football féminin est en plein développement. Dans son ensemble, il a bien progressé. On doit notamment cette évolution à l’organisation de la coupe du Monde U20 qui aura lieu en France cet été (en Bretagne, du 5 au 24 août). Les filles progressent vite et bien. Ça nous tenait à cœur de découvrir les futures vedettes du football féminin. Celles que l’on aura peut-être l’occasion de revoir dans le futur dans le cadre des compétitions internationales.
Quelle démarche avez-vous suivi pour pouvoir l’organiser ?
Nous avons d’abord rencontré le Directeur Technique National (DTN) Hubert Fournier. Il est tout de suite allé en notre sens. On ne l’en remerciera jamais assez. Quand on voit comment Noël Le Graët (président de la FFF) et Brigitte Henriques (vice-présidente de la FFF) se félicitent de cette organisation… On sait que dernière nous, on a de forts soutiens. Nous en avons aussi eu au niveau de la région avec Richard Miron (conseiller régional) qui nous a bien aidé. La ville de Salon-de-Provence aussi… Il y a un vrai consensus et on s’aperçoit que les gens se tournent plus facilement vers le tournoi féminin que masculin.
Est-ce que c’était une envie de longue date ?
Ça fait deux ou trois ans que l’on y pense. Après, il faut franchir le pas. Avec le statut que l’on a atteint avec le tournoi messieurs, on n’a pas le droit de se manquer. Et franchement, cette édition avec les Etats-Unis, l’Allemagne, la France et Haïti, c’est un plateau qui nous convient très bien.
"Tout ce qu'a bâti mon père pendant des décennies est reconnu à l'échelon international"
Justement, comment vous avez fait pour attirer des grandes nations telles que les Etats-Unis et l’Allemagne ?
On agit toujours par le réseau. On est précédé d’une très grande réputation aussi, ça aide. Quand on dit que le Tournoi Maurice Revello veut lancer une édition féminine… Ça suit derrière. Tout ce qu’a bâti mon père pendant des décennies est reconnu à l’échelon international. À partir de là, il est plus facile de faire venir des grandes nations mondiales.
Haïti est la petite touche exotique des équipes participantes. Pourquoi ce choix ?
J’ai découvert qu’elles s’étaient qualifiées pour la Coupe du monde U20. C’était la condition sine qua non. Ça nous a intrigué. On s’est aperçu que leur sélectionneur, Marc Collat, était français. C’était donc plus facile d’entrer en contact avec eux. Avec le Festival, on a toujours eu l’envie de découvrir d’autres football, contrées, personnes… C’est une chance qu’on donne aussi à ces nations-là.