Marc Collat, à gauche (photo Twitter FHF)
Quel est votre premier sentiment ?
On est satisfait d'être là. Pour nous, c'est un honneur mais aussi un bonheur de se retrouver dans le gratin de l'élite mondiale. On savait que quelque soit nos adversaires, on aurait du pain sur la planche. On est ravi, satisfait du tirage. On ne connait pas du tout nos adversaires mais on pense que d'ici la Coupe du Monde, on aura plus de renseignements sur eux. On doit jouer un tournoi dans le sud de la France avec l'Allemagne et on se fera plus une idée de cet adversaire qui sera le favori du groupe.
Votre parcours de qualification a montré que votre équipe était en phase ascendante (nul contre Etats-Unis, victoire contre le Canada) ?
Cette équipe, je l'ai pris quinze jours avant la compétition. J'étais le troisième sélectionneur mais maintenant je vais tâcher de rester avec ce groupe jusqu'à la Coupe du Monde. On a eu pas mal de déboires avant les qualifications parce que l'on a eu pas mal de joueuses blessées. On espère que d'autres joueuses vont nous rejoindre pour étoffer un peu ce groupe qui était très jeune. Surtout, on compte sur le temps qui nous reste pour bien nous préparer et d'ailleurs, je pense que l'on va faire une préparation assez longue en France avant l'événement.
Vous avez une joueuse qui connaît bien la France pour y jouer (ndlr : Nerilia Mondesir à Montpellier) ?
Nerilia est un fer de lance de notre équipe. Elle est attaquante, elle est buteuse. Elle va nous permettre de mieux aborder ces matchs. Mais on compte aussi sur d'autres joueuses qui sont dans la lignée de Nerilia car une joueuse ne suffira pas à ce niveau.
On est satisfait d'être là. Pour nous, c'est un honneur mais aussi un bonheur de se retrouver dans le gratin de l'élite mondiale. On savait que quelque soit nos adversaires, on aurait du pain sur la planche. On est ravi, satisfait du tirage. On ne connait pas du tout nos adversaires mais on pense que d'ici la Coupe du Monde, on aura plus de renseignements sur eux. On doit jouer un tournoi dans le sud de la France avec l'Allemagne et on se fera plus une idée de cet adversaire qui sera le favori du groupe.
Votre parcours de qualification a montré que votre équipe était en phase ascendante (nul contre Etats-Unis, victoire contre le Canada) ?
Cette équipe, je l'ai pris quinze jours avant la compétition. J'étais le troisième sélectionneur mais maintenant je vais tâcher de rester avec ce groupe jusqu'à la Coupe du Monde. On a eu pas mal de déboires avant les qualifications parce que l'on a eu pas mal de joueuses blessées. On espère que d'autres joueuses vont nous rejoindre pour étoffer un peu ce groupe qui était très jeune. Surtout, on compte sur le temps qui nous reste pour bien nous préparer et d'ailleurs, je pense que l'on va faire une préparation assez longue en France avant l'événement.
Vous avez une joueuse qui connaît bien la France pour y jouer (ndlr : Nerilia Mondesir à Montpellier) ?
Nerilia est un fer de lance de notre équipe. Elle est attaquante, elle est buteuse. Elle va nous permettre de mieux aborder ces matchs. Mais on compte aussi sur d'autres joueuses qui sont dans la lignée de Nerilia car une joueuse ne suffira pas à ce niveau.