Qui aurait dit au début de cette toute nouvelle phase de groupes que le vice-champion d’Europe, Chelsea, allait tomber et ne pas entrevoir les quarts de finale ? Là où la Juventus a su elle tirer son épingle du jeu ? Entre surprises et logiques implacables, quelques chiffres autour des équipes et des joueuses lors des poules de l’UWCL sont à observer.
Pour cette analyse, nous allons nous appuyer sur les expected goals* mais également sur d’autres indicateurs. Il est donc important de rappeler en préambule que les statistiques sont toujours sujettes à l'interprétation. Elles ne remplacent en aucun cas l'observation réelle du terrain et des matchs. Elles permettent au contraire de réfléchir ensuite sur les raisons d’une surperformance ou sous-performance. Il faut également garder à l’esprit que le volume de rencontres ici (six seulement par équipes) et la différence de niveau des clubs au sein des divers groupes ne permettent pas de tirer des conclusions nettes et doivent être pris en compte dans l’analyse.
Pour cette analyse, nous allons nous appuyer sur les expected goals* mais également sur d’autres indicateurs. Il est donc important de rappeler en préambule que les statistiques sont toujours sujettes à l'interprétation. Elles ne remplacent en aucun cas l'observation réelle du terrain et des matchs. Elles permettent au contraire de réfléchir ensuite sur les raisons d’une surperformance ou sous-performance. Il faut également garder à l’esprit que le volume de rencontres ici (six seulement par équipes) et la différence de niveau des clubs au sein des divers groupes ne permettent pas de tirer des conclusions nettes et doivent être pris en compte dans l’analyse.
Barcelone au-dessus du monde, la Juventus en exception
Pour commencer, intéressons-nous tout d’abord à deux indicateurs simples : la possession et le tir ratio**. Ces deux statistiques permettent de mesurer en partie la domination et le style d’une équipe, la possession prenant en compte le pourcentage de temps durant lequel celle-ci tient le ballon et la seconde étant une comparaison entre les tirs tentés et subis par un club en moyenne. Un chiffre supérieur à 50% montre que ce dernier a l’habitude de tirer plus souvent que son adversaire.
Le FC Barcelone, tenant du titre et dominateur sur la phase de groupes, apparaît bien au-dessus des 15 autres équipes présentes cette année en phase finale de la compétition. Les Espagnoles présentent des valeurs de possession (71,5%) et de tir ratio (88,1%) bien supérieures à la moyenne : près de 10% de plus à chaque fois par rapport au 2e, le PSG.
Derrière elles, le paquet de favoris ou d’équipes attendues suit (en orange), l’OL et le PSG se démarquant notamment dans la proportion de tirs tentés par rapport à leurs adversaires directs. Si Lyon semble pâtir un peu plus dans la possession, c’est en partie dû à son second duel face au Bayern en poules (45% de possession) mais également à son déplacement à Benfica (46%). On voit aussi à cette occasion la proximité entre Chelsea et Wolfsburg dans les performances, le second ayant finalement réussi à se qualifier en quarts au dépend du premier.
Mais le cas de la Juventus est lui bien plus intéressant. Présent vers la zone d’équilibre du graphique (en vert) à l’instar d’Hoffenheim et Arsenal, finalement assez proches dans leurs performances en poules comme au classement final, le club italien est tout de même parvenu à se qualifier. Et ce malgré un nombre de tirs subis plus élevés en moyenne que ceux tentés et une possession moindre (45,7%), se retrouvant être le seul club qualifié dans ce cas-là. Un résultat rendu possible grâce à une efficacité dans les 2 secteurs de jeu.
Derrière elles, le paquet de favoris ou d’équipes attendues suit (en orange), l’OL et le PSG se démarquant notamment dans la proportion de tirs tentés par rapport à leurs adversaires directs. Si Lyon semble pâtir un peu plus dans la possession, c’est en partie dû à son second duel face au Bayern en poules (45% de possession) mais également à son déplacement à Benfica (46%). On voit aussi à cette occasion la proximité entre Chelsea et Wolfsburg dans les performances, le second ayant finalement réussi à se qualifier en quarts au dépend du premier.
Mais le cas de la Juventus est lui bien plus intéressant. Présent vers la zone d’équilibre du graphique (en vert) à l’instar d’Hoffenheim et Arsenal, finalement assez proches dans leurs performances en poules comme au classement final, le club italien est tout de même parvenu à se qualifier. Et ce malgré un nombre de tirs subis plus élevés en moyenne que ceux tentés et une possession moindre (45,7%), se retrouvant être le seul club qualifié dans ce cas-là. Un résultat rendu possible grâce à une efficacité dans les 2 secteurs de jeu.
La France et l’Allemagne efficaces, difficultés défensives en Angleterre
Afin d’analyser cette efficacité défensive et offensive, nous allons nous attarder pour la suite de cette analyse sur l’écart entre les npxG (Expected goals sans compter les penalties) et les buts inscrits hors penalties et contre son camp. En prenant la variation entre les deux chiffres, cela nous permettra de déceler si certaines équipes surperforment ou sous-performent par rapport à ce qui est attendu dans chaque secteur.
Au premier abord, le cas évoqué plus haut de la Juventus apparaît clairement. Alors qu’elle est l’équipe qualifiée pour les quarts qui subit le plus de tirs (78 en six rencontres) juste après Arsenal (79), la vieille dame n’a encaissé que 4 buts (contre 10 hors penalties et csc pour Arsenal). Une performance défensive qui s’observe sur 2 plans : le premier étant la capacité du club italien à laisser moins de situations dangereuses que le club anglais (7,63 npxG contre pour les Italiennes, 10,15 pour les Anglaises) et la seconde étant son efficacité comme vue juste avant.
La combinaison des deux est sans doute la clé qui lui a permis de se qualifier aux dépends du vice-champion d’Europe en titre, Chelsea, dans le groupe le plus relevé de cette saison. À l’instar d’Arsenal, les Blues ne se sont pas montrées assez solides dans ce secteur (5,31 npxG contre pour 8 buts encaissés), allant jusqu’à être défaillantes défensivement et offensivement lors de leur dernier match au sommet face à Wolsfburg (défaite 0-4 pour 2,68 npxG contre et 1,46 npxG pour).
Pour le reste, à noter que les clubs français et allemands se retrouvent efficaces sur les deux plans, l’OL étant la seule exception avec un léger manque d’efficacité devant qui se retrouve lors de sa réception de Benfica (4 buts hors penalties pour 6,85 npxG) et son déplacement au Bayern (0 but pour 1,67 npxG), là où Wolfsburg a pu compter sur son dernier duel face à Chelsea pour faire grimper la sienne et devenir le meilleur des 16 clubs présents.
La présence de Barcelone dans la partie supérieure gauche peut elle aussi paraître étonnante tant les Espagnoles ont fait parler la poudre en poules (22 buts hors pen et csc, 27,85 npxG). Preuve s’il en fallait qu’il reste potentiellement de la marge au FCB pour la suite de la compétition dans ce secteur. Par ailleurs, le PSG apparaît à 100% en efficacité défensive du fait de ne pas avoir encaissé le moindre but, là où Breidablik et le Servette apparaissent à -100% du fait de ne pas avoir marqué.
La combinaison des deux est sans doute la clé qui lui a permis de se qualifier aux dépends du vice-champion d’Europe en titre, Chelsea, dans le groupe le plus relevé de cette saison. À l’instar d’Arsenal, les Blues ne se sont pas montrées assez solides dans ce secteur (5,31 npxG contre pour 8 buts encaissés), allant jusqu’à être défaillantes défensivement et offensivement lors de leur dernier match au sommet face à Wolsfburg (défaite 0-4 pour 2,68 npxG contre et 1,46 npxG pour).
Pour le reste, à noter que les clubs français et allemands se retrouvent efficaces sur les deux plans, l’OL étant la seule exception avec un léger manque d’efficacité devant qui se retrouve lors de sa réception de Benfica (4 buts hors penalties pour 6,85 npxG) et son déplacement au Bayern (0 but pour 1,67 npxG), là où Wolfsburg a pu compter sur son dernier duel face à Chelsea pour faire grimper la sienne et devenir le meilleur des 16 clubs présents.
La présence de Barcelone dans la partie supérieure gauche peut elle aussi paraître étonnante tant les Espagnoles ont fait parler la poudre en poules (22 buts hors pen et csc, 27,85 npxG). Preuve s’il en fallait qu’il reste potentiellement de la marge au FCB pour la suite de la compétition dans ce secteur. Par ailleurs, le PSG apparaît à 100% en efficacité défensive du fait de ne pas avoir encaissé le moindre but, là où Breidablik et le Servette apparaissent à -100% du fait de ne pas avoir marqué.
Un rempart nommé Peyraud-Magnin
Après ce coup d’œil sur les équipes, il peut être intéressant de regarder si certaines joueuses ressortent également de cette phase de poules. À commencer du côté des derniers remparts des 16 équipes présentes, avec une mise en parallèle des tirs cadrés subis par rencontre par les différentes portières (à minimum 2 matches disputés) et de leur pourcentage d’arrêts sur ces frappes.
Sans surprise, Stéphanie Labbé et Barbora Votíková sont les 2 seules gardiennes à 100% d’arrêts, le Paris Saint-Germain n’ayant pas encaissé le moindre but sur la phase de groupes. Tout comme il n’est pas étonnant de retrouver la plupart des portières des équipes favorites à la qualification en quarts dans la partie basse, leur équipe subissant en général moins de tirs.
À noter tout de même la solide prestation de l’internationale française Pauline Peyraud-Magnin, seule gardienne à subir au moins 4 tirs cadrés par match et à présenter un pourcentage d’arrêts supérieur à 80% (83,3%). De quoi venir rajouter une explication supplémentaire à la bonne performance de la Juventus défensivement vue juste avant. Une solidité sur la ligne dont n’a pas pu profiter à l’inverse Chelsea, Ann Katrin Berger (60%) et Zecira Musovic (63,6%) présentant des taux d’arrêts parmi les plus faibles alors qu’elles comptent chacune trois matches dans la compétition en 2021/22.
Un cas de figure similaire pour Arsenal avec Lydia Williams (50%) et Manuela Zinsberger (72,4%), même si la portière autrichienne s’en sort nettement mieux et se montre bien plus solide, notamment par rapport au volume de tirs cadrés subis (9,7 par match). La performance de la gardienne de Breidablik, Telma Ivarsdóttir, est également à relever (73,9% d’arrêts malgré 11,5 tirs cadrés subis par rencontre).
À noter tout de même la solide prestation de l’internationale française Pauline Peyraud-Magnin, seule gardienne à subir au moins 4 tirs cadrés par match et à présenter un pourcentage d’arrêts supérieur à 80% (83,3%). De quoi venir rajouter une explication supplémentaire à la bonne performance de la Juventus défensivement vue juste avant. Une solidité sur la ligne dont n’a pas pu profiter à l’inverse Chelsea, Ann Katrin Berger (60%) et Zecira Musovic (63,6%) présentant des taux d’arrêts parmi les plus faibles alors qu’elles comptent chacune trois matches dans la compétition en 2021/22.
Un cas de figure similaire pour Arsenal avec Lydia Williams (50%) et Manuela Zinsberger (72,4%), même si la portière autrichienne s’en sort nettement mieux et se montre bien plus solide, notamment par rapport au volume de tirs cadrés subis (9,7 par match). La performance de la gardienne de Breidablik, Telma Ivarsdóttir, est également à relever (73,9% d’arrêts malgré 11,5 tirs cadrés subis par rencontre).
Hansen dans une autre dimension
Pour les joueuses de champ, il est plus compliqué de mesurer une performance globale, d’autant plus sur un volume de matches si faible et avec une distorsion de niveau entre les adversaires affrontés. Notamment défensivement, difficile de faire ressortir clairement une défenseure ou une milieu meilleure qu’une autre, certaines pouvant performer dans les duels, d’autres dans la récupération ou encore dans la création d’occasions.
À ce jeu-là, les milieux Damaris Egurrola et Lena Oberdorf ressortent tout de même bien, étant les deux joueuses (à au moins 180 minutes de jeu) ayant remporté le plus de duels défensifs par 90 minutes (11,6 pour la Lyonnaise, 11,1 pour la Louve), là où la Parisienne Ashley Lawrence est celle ayant réussi le plus de tacles par match (5,2) devant à nouveau Oberdorf (5).
On peut toutefois se pencher sur le secteur offensif, en tentant de voir les joueuses les plus « créatrices d’occasions », avec un rapport entre les npxG par 90 minutes ainsi que les Expected Assists*** par 90 minutes.
À ce jeu-là, les milieux Damaris Egurrola et Lena Oberdorf ressortent tout de même bien, étant les deux joueuses (à au moins 180 minutes de jeu) ayant remporté le plus de duels défensifs par 90 minutes (11,6 pour la Lyonnaise, 11,1 pour la Louve), là où la Parisienne Ashley Lawrence est celle ayant réussi le plus de tacles par match (5,2) devant à nouveau Oberdorf (5).
On peut toutefois se pencher sur le secteur offensif, en tentant de voir les joueuses les plus « créatrices d’occasions », avec un rapport entre les npxG par 90 minutes ainsi que les Expected Assists*** par 90 minutes.
Avant de regarder plus en détails les joueuses au-dessus du lot (en orange), trois zones sont à observer sur ce graphique. En bleu sont mises en valeur les joueuses les plus « créatrices », ou qui ont la plus grande probabilité de délivrer une passe décisive sur une occasion. En violet, ce sont cette fois les buteuses qui sont surlignées, ces dernières pouvant également plus ou moins être derrière la passe décisive.
Enfin en vert, ce sont les joueuses les plus dangereuses sur les deux plans, pouvant à la fois être des serial buteuses comme de grandes passeuses décisives. On y retrouve d’ailleurs logiquement la Ballon d’Or en titre, Alexia Putellas, ainsi que d’autres grandes joueuses telles que Fran Kirby, Sara Däbritz, Lieke Martens, Ada Hegerberg, voire de futures grandes comme Catarina Macário.
Au global, les Barcelonnaises sont sans surprise bien placées, tant le FCB a dominé son groupe cette saison en Ligue des Championnes. Parmi ces dernières, Caroline Graham Hansen se retrouve sur une autre planète, avec des chiffres impressionnants à la création (2,16 xA et 0,56 npxG par 90 minutes) mais qui n’ont pas forcément été conclus (0 but et 2 assists seulement en 4 rencontres).
Un manque d’efficacité de la norvégienne qui a moins affecté ses coéquipières Jennifer Hermoso (3 buts hors penalties pour 1,32 npxG par 90 minutes) ou Fridolina Rolfö (3 buts et 4 passes décisives, 0,9 npxG et 0,74 xA par 90 minutes), elles aussi nettement au-dessus du lot. La Parisienne Jordyn Huitema se met elle aussi en valeur sur les deux plans, même si c’est surtout offensivement qu’elle a su faire la différence (6 buts en 305 minutes, 1,1 npxG par 90 minutes).
Si le graphique montre avant tout la capacité de création des diverses joueuses lors de la phase de poules, on peut regarder plus en détail offensivement celles qui ont su le mieux concrétiser ces occasions obtenues, le top 5 qui suit permettant de faire ressortir encore d’autres noms.
Enfin en vert, ce sont les joueuses les plus dangereuses sur les deux plans, pouvant à la fois être des serial buteuses comme de grandes passeuses décisives. On y retrouve d’ailleurs logiquement la Ballon d’Or en titre, Alexia Putellas, ainsi que d’autres grandes joueuses telles que Fran Kirby, Sara Däbritz, Lieke Martens, Ada Hegerberg, voire de futures grandes comme Catarina Macário.
Au global, les Barcelonnaises sont sans surprise bien placées, tant le FCB a dominé son groupe cette saison en Ligue des Championnes. Parmi ces dernières, Caroline Graham Hansen se retrouve sur une autre planète, avec des chiffres impressionnants à la création (2,16 xA et 0,56 npxG par 90 minutes) mais qui n’ont pas forcément été conclus (0 but et 2 assists seulement en 4 rencontres).
Un manque d’efficacité de la norvégienne qui a moins affecté ses coéquipières Jennifer Hermoso (3 buts hors penalties pour 1,32 npxG par 90 minutes) ou Fridolina Rolfö (3 buts et 4 passes décisives, 0,9 npxG et 0,74 xA par 90 minutes), elles aussi nettement au-dessus du lot. La Parisienne Jordyn Huitema se met elle aussi en valeur sur les deux plans, même si c’est surtout offensivement qu’elle a su faire la différence (6 buts en 305 minutes, 1,1 npxG par 90 minutes).
Si le graphique montre avant tout la capacité de création des diverses joueuses lors de la phase de poules, on peut regarder plus en détail offensivement celles qui ont su le mieux concrétiser ces occasions obtenues, le top 5 qui suit permettant de faire ressortir encore d’autres noms.
En effet, Wolfsburg a pu compter sur une paire Tabea Waßmuth-Svenja Huth performante devant, ces dernières expliquant également que le club allemand était le plus efficace offensivement parmi les 16 équipes présentes comme vu avant. De nouveau, la parisienne Jordyn Huitema apparaît bien placée, suivie plus loin par Alexia Putellas et sa coéquipière Marta Torrejon.
Barcelone en favori même si tout reste ouvert
Que tirer comme conclusion de toutes ces données et performances observées ? Comme évoqué au début, le faible nombre de matches et la disparité des adversaires affrontés empêchent de tirer la moindre conclusion ferme et définitive. Toutefois, le FC Barcelone semble tout de même faire figure de favori. Le tenant du titre a dominé la phase de groupe sur le terrain et dans les chiffres. Le Real Madrid, bien que dans la moyenne jusqu’ici, aura fort à faire en quarts face à une adversité bien plus élevée. D’autant qu’il a déjà montré des signes de faiblesse lorsque le niveau s’élève, comme lors de son déplacement au Parc des Princes par exemple face au PSG (défaite 0-4).
Mais derrière les Barcelonnaises, tout semble ouvert. L’OL aura face à lui en quart une Juventus qui a su se montrer efficace en poules et qui a su faire déjouer de potentiels favoris. Là où le duel entre le PSG et le Bayern s’annonce lui explosif entre deux équipes solides sur tous les plans jusqu’ici. Reste à voir également comment ont évolué Arsenal et Wolfsburg depuis cet hiver, les Londoniennes n’ayant pas brillé en poules et les Louves ayant alterné le bon comme le mauvais.
Mais derrière les Barcelonnaises, tout semble ouvert. L’OL aura face à lui en quart une Juventus qui a su se montrer efficace en poules et qui a su faire déjouer de potentiels favoris. Là où le duel entre le PSG et le Bayern s’annonce lui explosif entre deux équipes solides sur tous les plans jusqu’ici. Reste à voir également comment ont évolué Arsenal et Wolfsburg depuis cet hiver, les Londoniennes n’ayant pas brillé en poules et les Louves ayant alterné le bon comme le mauvais.
Toutes les statistiques brutes des rencontres analysées dans cet article sont fournies par notre partenaire InStat Football : https://instatsport.com
*xG : Expected Goals, soit le nombre de buts que l’équipe aurait dû marquer en fonction de la probabilité que ses tirs se transforment en buts (calculée grâce à divers facteurs). Les npxG fait référence à cette valeur, moins les xG des penalties obtenus (0,75 par penalty).
**Tir ratio : nombre de tirs effectués / (nombre de tirs effectués + nombre de tirs subis) x 100. Si le résultat est supérieur à 50%, l’équipe tire plus que son opposant et inversement si le résultat est inférieur à 50%.
***xA : Expected Assists, soit le nombre de passes décisives qui aurait dû arriver en fonction de la qualité et de la probabilité des passes, sur le même principe que les Expected Goals avec les tirs.
*xG : Expected Goals, soit le nombre de buts que l’équipe aurait dû marquer en fonction de la probabilité que ses tirs se transforment en buts (calculée grâce à divers facteurs). Les npxG fait référence à cette valeur, moins les xG des penalties obtenus (0,75 par penalty).
**Tir ratio : nombre de tirs effectués / (nombre de tirs effectués + nombre de tirs subis) x 100. Si le résultat est supérieur à 50%, l’équipe tire plus que son opposant et inversement si le résultat est inférieur à 50%.
***xA : Expected Assists, soit le nombre de passes décisives qui aurait dû arriver en fonction de la qualité et de la probabilité des passes, sur le même principe que les Expected Goals avec les tirs.