Gérard Prêcheur (photo UEFA.com)
Gérard Prêcheur (entraîneur de Lyon) : "Très sincèrement, je ne pensais pas que ce serait aussi dur. Vous avez connu les péripéties avec l'état de santé de nos attaquantes. Cascarino blessée, Bremer revenait de blessure, Morgan remplacée en début de rencontre, Ada Hegerberg avec une intoxication alimentaire avec diarrhées, vomissement et fièvre. On l'a ressenti dans les 45 premières minutes où le match était équilibré. Heureusement qu'on a pu le faire en deuxième période, et dans les 30 dernières minutes. Il ne fallait pas en prendre en contre. Malheureusement il nous a manqué de la fraîcheur et des attaquantes pour la mettre au fond. Pour les tirs au but, je n'y suis pour rien, c'est Yoann Vivier et Sarah Bouhaddi qui s'occupent de ça.
J'étais déjà content du doublé la première année, le triplé la deuxième et finir avec un triplé comme ça, c'est l'apothéose, on va fêter ça. Je suis très content et très fier d'avoir obtenu ce nouveau triplé. Je vais dire à Sonia Souid, surtout qu'elle ne trouve pas un club trop tôt (sourires)".
Patrice Lair (entraîneur du PSG) : "On a perdu le trophée. A un moment donné, si on avait pu jouer plus haut, on aurait pu poser plus de problèmes à Lyon. Après les penalties, c'est quand même un geste technique, on a été battus deux fois. C'est malheureux, les filles ont une énorme saison mais il faut s'accrocher. On reviendra dans deux ans, cette fois pour ramener la coupe. Maintenant, il faudra aller chercher une place en Ligue des Champions. On va garder certaines ambitions, continuer à structurer et on sera récompensé. L'état d'esprit m'a plu. Les filles ont fait ce qu'on leur avait demandé. Cela s'est joué à pas grands choses mais le 'pas grand chose' il faut aussi le mettre dans le bon sens. Il faut que l'on travaille là-dessus. Il y a une équipe qui a gagné, on n'est pas encore arrivé là. Il faut que l'on ait plus d'ambitions et que l'on joue plus vers l'avant mais faut-il encore le pouvoir. Dommage qu'il n'y ait pas plus d'armes offensives pour aller chercher un peu plus haut cette équipe de Lyon. Deuxième défaite aux tirs au but en dix jours, ce n'est pas facile. Mais c'est déjà très bien d'être arrivé jusque là, d'avoir poussé deux fois l'Olympique Lyonnais aux penalties, c'est quand même pas mal. Je ne vais pas quitter le groupe, les filles m'ont donné satisfaction. Je serai lâche de ma part de partir comme ça. On doit structurer, aujourd'hui on n'est pas encore une structure féminine".
Avec Sylvain Jamet, à Cardiff
J'étais déjà content du doublé la première année, le triplé la deuxième et finir avec un triplé comme ça, c'est l'apothéose, on va fêter ça. Je suis très content et très fier d'avoir obtenu ce nouveau triplé. Je vais dire à Sonia Souid, surtout qu'elle ne trouve pas un club trop tôt (sourires)".
Patrice Lair (entraîneur du PSG) : "On a perdu le trophée. A un moment donné, si on avait pu jouer plus haut, on aurait pu poser plus de problèmes à Lyon. Après les penalties, c'est quand même un geste technique, on a été battus deux fois. C'est malheureux, les filles ont une énorme saison mais il faut s'accrocher. On reviendra dans deux ans, cette fois pour ramener la coupe. Maintenant, il faudra aller chercher une place en Ligue des Champions. On va garder certaines ambitions, continuer à structurer et on sera récompensé. L'état d'esprit m'a plu. Les filles ont fait ce qu'on leur avait demandé. Cela s'est joué à pas grands choses mais le 'pas grand chose' il faut aussi le mettre dans le bon sens. Il faut que l'on travaille là-dessus. Il y a une équipe qui a gagné, on n'est pas encore arrivé là. Il faut que l'on ait plus d'ambitions et que l'on joue plus vers l'avant mais faut-il encore le pouvoir. Dommage qu'il n'y ait pas plus d'armes offensives pour aller chercher un peu plus haut cette équipe de Lyon. Deuxième défaite aux tirs au but en dix jours, ce n'est pas facile. Mais c'est déjà très bien d'être arrivé jusque là, d'avoir poussé deux fois l'Olympique Lyonnais aux penalties, c'est quand même pas mal. Je ne vais pas quitter le groupe, les filles m'ont donné satisfaction. Je serai lâche de ma part de partir comme ça. On doit structurer, aujourd'hui on n'est pas encore une structure féminine".
Avec Sylvain Jamet, à Cardiff