Sandrine Soubeyrand a connu la Ligue des Champions comme joueuse avec 21 matchs joués (photo Paris FC)
Comment s’est passée cette préparation particulière pour la Ligue des Champions avec toutes les compétitions internationales estivales ?
La préparation n’est pas très différente dans le contenu que lorsque l’on se prépare pour toute la saison. C’est plus avancé par rapport aux précédentes car il faut être prêt un peu plus tôt. Le plus difficile a géré a été que j’avais des joueuses au championnat d’Europe, des joueuses à l’Euro U19, une joueuse à la Coupe d’Afrique des Nations, des joueuses sollicitées pour la Coupe du Monde des moins de 20 ans. Ce sont les sélections qui ont été les plus difficiles à organiser et à traiter au quotidien. On ne savait pas quand cela allait finir, on voulait quand même leur accorder quelques jours de repos mais qu’elles soient disponibles assez rapidement. C’était un peu compliqué car on a commencé la préparation avec un groupe et on a fini avec un autre. Forcément, en terme de préparation, ce n’est pas la préparation idéale, mais cela nous a aussi permis de nous adapter. C’est une qualité qu’il faut avoir quand on est au haut niveau. Entre les matchs que l’on a préparés et celui va se présenter ce n’est pas le même.
Les joueuses ont eu trois semaines individuelles puis cinq semaines et demie collectivement. Pour autant, la préparation n’a pas été optimale. Si je prends les Françaises, on les a récupérées moins de dix jours avant. Elles se seront entraînées quatre fois avec le groupe. Et comme on était sur la fin de la préparation, on était sur des entraînements plutôt allégés, en période d’affûtage. On a essayé de mettre tout le monde au même niveau et il faudra répondre sur deux matchs. Il faudra être à 150% sur le premier match avant d’envisager le deuxième.
La préparation n’est pas très différente dans le contenu que lorsque l’on se prépare pour toute la saison. C’est plus avancé par rapport aux précédentes car il faut être prêt un peu plus tôt. Le plus difficile a géré a été que j’avais des joueuses au championnat d’Europe, des joueuses à l’Euro U19, une joueuse à la Coupe d’Afrique des Nations, des joueuses sollicitées pour la Coupe du Monde des moins de 20 ans. Ce sont les sélections qui ont été les plus difficiles à organiser et à traiter au quotidien. On ne savait pas quand cela allait finir, on voulait quand même leur accorder quelques jours de repos mais qu’elles soient disponibles assez rapidement. C’était un peu compliqué car on a commencé la préparation avec un groupe et on a fini avec un autre. Forcément, en terme de préparation, ce n’est pas la préparation idéale, mais cela nous a aussi permis de nous adapter. C’est une qualité qu’il faut avoir quand on est au haut niveau. Entre les matchs que l’on a préparés et celui va se présenter ce n’est pas le même.
Les joueuses ont eu trois semaines individuelles puis cinq semaines et demie collectivement. Pour autant, la préparation n’a pas été optimale. Si je prends les Françaises, on les a récupérées moins de dix jours avant. Elles se seront entraînées quatre fois avec le groupe. Et comme on était sur la fin de la préparation, on était sur des entraînements plutôt allégés, en période d’affûtage. On a essayé de mettre tout le monde au même niveau et il faudra répondre sur deux matchs. Il faudra être à 150% sur le premier match avant d’envisager le deuxième.
"On sait que l’on va être perfectible"
Louise Fleury, arrivée de Guingamp, va découvrir la coupe d'Europe (photo Paris FC)
Comment s’est déroulée l’intégration des recrues ?
Cela a été plus facile pour elles, car elles ont vécu avec un groupe moins important en nombre ce qui a facilité les connexions. Nous, staff, on a aussi eu plus de temps à consacrer à chacune d’entre elles. On était sur un groupe de 16 joueuses puis sont arrivées les 19 ans, puis les Suisses (Sow, Aigbogun), puis la Nigeriane (Nnadozie) et ensuite les Françaises (Sarr, Matéo). Mais on a eu entre temps quatre joueuses qui sont reparties à la Coupe du Monde des U20. On s’est plus focalisé sur les joueuses qui arrivaient, on a pris un peu plus de temps. Il y avait aussi des jeunes joueuses qui découvraient le groupe.
On sait que l’on va être perfectible, que l’on va devoir tout jouer sur un premier match mais on s’est préparé en conséquence. L’objectif est d’être à fond pour se donner la possibilité de jouer le deuxième match et essayer de se qualifier. On a eu des adversaires différents en préparation, avec des qualités différentes, de l’adversité. On a eu pas mal de temps. Sur le plan individuel, on doit être prêtes après collectivement il faut trouver des repères. Je suis plutôt satisfaite de ce que j’ai vu pendant les matchs.
Il y a aussi une motivation de jouer une compétition européenne qui peut faciliter les choses ?
Celles qui sont internationales ont la chance de pouvoir vivre une compétition internationale mais avec des joueuses qu’elles ne côtoient pas au quotidien. Là, ce sera avec des joueuses qu’elles côtoient au quotidien à l’année. C’est une chance extraordinaire de pouvoir jouer en club ce type de compétition et c’est vrai que la motivation sera là. C’est aussi le fruit du travail de la saison passée que la majeure partie du groupe a vécu la saison passée et qu’il peut prolonger avec des adversaires différents. On a envie de s’évaluer et de se frotter avec des nations que l’on n’a pas l’occasion de jouer habituellement.
Cela a été plus facile pour elles, car elles ont vécu avec un groupe moins important en nombre ce qui a facilité les connexions. Nous, staff, on a aussi eu plus de temps à consacrer à chacune d’entre elles. On était sur un groupe de 16 joueuses puis sont arrivées les 19 ans, puis les Suisses (Sow, Aigbogun), puis la Nigeriane (Nnadozie) et ensuite les Françaises (Sarr, Matéo). Mais on a eu entre temps quatre joueuses qui sont reparties à la Coupe du Monde des U20. On s’est plus focalisé sur les joueuses qui arrivaient, on a pris un peu plus de temps. Il y avait aussi des jeunes joueuses qui découvraient le groupe.
On sait que l’on va être perfectible, que l’on va devoir tout jouer sur un premier match mais on s’est préparé en conséquence. L’objectif est d’être à fond pour se donner la possibilité de jouer le deuxième match et essayer de se qualifier. On a eu des adversaires différents en préparation, avec des qualités différentes, de l’adversité. On a eu pas mal de temps. Sur le plan individuel, on doit être prêtes après collectivement il faut trouver des repères. Je suis plutôt satisfaite de ce que j’ai vu pendant les matchs.
Il y a aussi une motivation de jouer une compétition européenne qui peut faciliter les choses ?
Celles qui sont internationales ont la chance de pouvoir vivre une compétition internationale mais avec des joueuses qu’elles ne côtoient pas au quotidien. Là, ce sera avec des joueuses qu’elles côtoient au quotidien à l’année. C’est une chance extraordinaire de pouvoir jouer en club ce type de compétition et c’est vrai que la motivation sera là. C’est aussi le fruit du travail de la saison passée que la majeure partie du groupe a vécu la saison passée et qu’il peut prolonger avec des adversaires différents. On a envie de s’évaluer et de se frotter avec des nations que l’on n’a pas l’occasion de jouer habituellement.
"Il va falloir faire preuve d’efficacité, de maturité"
Gaëtane Thiney a 17 matchs européens à son actif (photo Paris FC)
Vous jouez le Servette Chênois qui a participé à la phase de groupes la saison passée, à quel type de match vous attendez-vous ?
On est plutôt outsider dans ce groupe. Même Glasgow a déjà vécu ce type de confrontations et de mini-championnats. Nous, on va découvrir. On les a observées, on a pu bénéficier aussi du retour de Sonia Bompastor qui m’a fait un retour par téléphone après leur match (ndlr : Servette – OL : 3-0, le 6 août). On a aussi quelques images. On sait à quoi s’attendre, mais elles aussi n’avaient pas toutes leurs joueuses non plus en préparation. Cela va être une belle confrontation assez indécise. Elles savent malgré quelques changements de joueuses à quoi s’attendre et le niveau d’engagement. On vient de sortir d’une opposition contre Sand en Allemagne où on s’est fait pas mal bougé. Cela nous a mis tout de suite dans le bain de ce qui allait nous attendre. Je ne découvre pas le niveau international et je sais ce qu’il faut mettre en ingrédients aussi bien en club, qu’en sélection. Il faudra élever notre niveau aussi bien collectivement qu’individuellement. C’est un match où il va falloir faire preuve d’efficacité, de maturité. On est préparé à cela et dans mon groupe, j’ai beaucoup de joueuses aguerries sur le plan international, seules quelques-unes qui vont découvrir mais la majeure partie a fait partie des équipes de France jeunes ou A. L’expérience des unes va servir à l’insouciance des autres.
Quelles ont été les forces de l’équipe pour décrocher cette 3e place la saison passée ?
L’année passée, ce qui a fait notre force, c’est que l’on a été plutôt solide défensivement, voire très solide et on a été constant dans la performance et cela nous a permis sur la longueur de créer un écart avec nos concurrents directs. On a performé sur des équipes qui étaient juste derrière nous comme Fleury, on les a laissées à distance. On fait preuve de régularité mais aussi de maturité. C’était un groupe de plusieurs générations avec les plus âgées qui amènent cette exigence mais aussi une certaine forme d’insouciance par rapport à leur vécu et leur passé, et aussi l’envie de retrouver de l’adrénaline qu’elles ont connu en sélection. Je pense que l’amalgame de tout qui fait que l’on a été performant aussi.
On est plutôt outsider dans ce groupe. Même Glasgow a déjà vécu ce type de confrontations et de mini-championnats. Nous, on va découvrir. On les a observées, on a pu bénéficier aussi du retour de Sonia Bompastor qui m’a fait un retour par téléphone après leur match (ndlr : Servette – OL : 3-0, le 6 août). On a aussi quelques images. On sait à quoi s’attendre, mais elles aussi n’avaient pas toutes leurs joueuses non plus en préparation. Cela va être une belle confrontation assez indécise. Elles savent malgré quelques changements de joueuses à quoi s’attendre et le niveau d’engagement. On vient de sortir d’une opposition contre Sand en Allemagne où on s’est fait pas mal bougé. Cela nous a mis tout de suite dans le bain de ce qui allait nous attendre. Je ne découvre pas le niveau international et je sais ce qu’il faut mettre en ingrédients aussi bien en club, qu’en sélection. Il faudra élever notre niveau aussi bien collectivement qu’individuellement. C’est un match où il va falloir faire preuve d’efficacité, de maturité. On est préparé à cela et dans mon groupe, j’ai beaucoup de joueuses aguerries sur le plan international, seules quelques-unes qui vont découvrir mais la majeure partie a fait partie des équipes de France jeunes ou A. L’expérience des unes va servir à l’insouciance des autres.
Quelles ont été les forces de l’équipe pour décrocher cette 3e place la saison passée ?
L’année passée, ce qui a fait notre force, c’est que l’on a été plutôt solide défensivement, voire très solide et on a été constant dans la performance et cela nous a permis sur la longueur de créer un écart avec nos concurrents directs. On a performé sur des équipes qui étaient juste derrière nous comme Fleury, on les a laissées à distance. On fait preuve de régularité mais aussi de maturité. C’était un groupe de plusieurs générations avec les plus âgées qui amènent cette exigence mais aussi une certaine forme d’insouciance par rapport à leur vécu et leur passé, et aussi l’envie de retrouver de l’adrénaline qu’elles ont connu en sélection. Je pense que l’amalgame de tout qui fait que l’on a été performant aussi.
"L’objectif du club est de performer sur le plan européen et de faire aussi bien que l’année passée"
Il faudra aussi arriver à gérer la suite de la saison quel que soit le parcours européen, ce que Bordeaux avait connu la saison passée ?
On s’est fixé un cap. On sait que c’est d’abord la Coupe d’Europe et ensuite le championnat. Pour l’instant, on est focalisé sur la Coupe d’Europe. On a repris plus tôt que certaines équipes et peut-être que ce sera un peu plus difficile en novembre. Le championnat est encore un peu loin. Le groupe a été construit et penser pour matcher sur les deux. J’ai 26 joueuses dont 4 gardiennes, voire même 27 avec Assa Sidibé. L’objectif du club est de performer sur le plan européen et de faire aussi bien que l’année passée, tout en permettant à des jeunes joueuses de s’aguerrir sur le plan national et international avec les sélections. On mène plusieurs objectifs : tout d'abord essayer de sortir de ce tournoi-là et ensuite de se consacrer à la compétition nationale et d’y être performant. Après c’est sûr que si l’on mène qu’une compétition, on sera plus à même de la mener car j’ai trois joueuses de plus (ndlr : Fleury, Le Mouël, Bogaert), même si j’en ai perdu une (ndlr : Jean-François partie au PSG). J’ai aussi quelques jeunes joueuses à fort potentiel. Si on n’arrivait pas à se qualifier, c’est sûr qu’il faudrait se replonger dans le championnat. Mais cela nous aura aussi permis de grandir, toutes les expériences sont bonnes. L’équipe va découvrir la scène européenne et on est armé pour la jouer.
On s’est fixé un cap. On sait que c’est d’abord la Coupe d’Europe et ensuite le championnat. Pour l’instant, on est focalisé sur la Coupe d’Europe. On a repris plus tôt que certaines équipes et peut-être que ce sera un peu plus difficile en novembre. Le championnat est encore un peu loin. Le groupe a été construit et penser pour matcher sur les deux. J’ai 26 joueuses dont 4 gardiennes, voire même 27 avec Assa Sidibé. L’objectif du club est de performer sur le plan européen et de faire aussi bien que l’année passée, tout en permettant à des jeunes joueuses de s’aguerrir sur le plan national et international avec les sélections. On mène plusieurs objectifs : tout d'abord essayer de sortir de ce tournoi-là et ensuite de se consacrer à la compétition nationale et d’y être performant. Après c’est sûr que si l’on mène qu’une compétition, on sera plus à même de la mener car j’ai trois joueuses de plus (ndlr : Fleury, Le Mouël, Bogaert), même si j’en ai perdu une (ndlr : Jean-François partie au PSG). J’ai aussi quelques jeunes joueuses à fort potentiel. Si on n’arrivait pas à se qualifier, c’est sûr qu’il faudrait se replonger dans le championnat. Mais cela nous aura aussi permis de grandir, toutes les expériences sont bonnes. L’équipe va découvrir la scène européenne et on est armé pour la jouer.
La préparation du Paris FC
Lundi 11 juillet 2022
Reprise collective
Mardi 2 août 2022
Paris FC (D1) - Anderlecht (D1 BEL) : 1-1 (1-0), à Arras (16h00)
Buts : Théa Greboval 33' ; x 47'
Paris FC : Pecharman (Pastor 65') ; Laplacette, Butel, Greboval (Soyer 78'), Soyer (Aigbogun 65') ; Corboz (Ndongala 46'), Vaysse (Corboz 65') ; Fleury (Neller 78'), Thiney (cap.) (Binate 65'), Binate (Le Mouël 46') ; Bourdieu (Sow 61')
Vendredi 5 août 2022
Paris FC (D1) - Lille (D2) : 7-1 (5-1), à Orly (14h00)
Buts : Olivia Mbala c.s.c. 12', Margaux Le Mouël 15', Gaëtane Thiney 33' s.p., Mathilde Bourdieu 35', 39', Chloé Neller 70', 76' ; Gwenaëlle Devleeschauwer 44'
Paris FC : Pecharman ; Aigbogun, Butel, Greboval, Soyer ; Vaysse, Le Mouël, Thiney (cap.) ; Laplacette, Bourdieu, Fleury
Entrées en jeu : Pastor, Sidibé, Sow, Neller, Ndongala
Mardi 9 août 2022
SC Sand (D2 ALL) - Paris FC (D1) : 1-2 (1-0), à Willstätt (17h00)
Buts : Cindy König 8' ; Clara Matéo 70', Margaux Le Mouël 82'
Paris FC : Pecharman ; Laplacette, Soyer, Greboval, Aigbogun ; Vaysse, Le Mouël ; Bourdieu, Sow, Fleury ; Thiney (cap.).
Entrées en jeu : Ndongala, Nnadozie, Neller, Sarr, Matéo
Reprise collective
Mardi 2 août 2022
Paris FC (D1) - Anderlecht (D1 BEL) : 1-1 (1-0), à Arras (16h00)
Buts : Théa Greboval 33' ; x 47'
Paris FC : Pecharman (Pastor 65') ; Laplacette, Butel, Greboval (Soyer 78'), Soyer (Aigbogun 65') ; Corboz (Ndongala 46'), Vaysse (Corboz 65') ; Fleury (Neller 78'), Thiney (cap.) (Binate 65'), Binate (Le Mouël 46') ; Bourdieu (Sow 61')
Vendredi 5 août 2022
Paris FC (D1) - Lille (D2) : 7-1 (5-1), à Orly (14h00)
Buts : Olivia Mbala c.s.c. 12', Margaux Le Mouël 15', Gaëtane Thiney 33' s.p., Mathilde Bourdieu 35', 39', Chloé Neller 70', 76' ; Gwenaëlle Devleeschauwer 44'
Paris FC : Pecharman ; Aigbogun, Butel, Greboval, Soyer ; Vaysse, Le Mouël, Thiney (cap.) ; Laplacette, Bourdieu, Fleury
Entrées en jeu : Pastor, Sidibé, Sow, Neller, Ndongala
Mardi 9 août 2022
SC Sand (D2 ALL) - Paris FC (D1) : 1-2 (1-0), à Willstätt (17h00)
Buts : Cindy König 8' ; Clara Matéo 70', Margaux Le Mouël 82'
Paris FC : Pecharman ; Laplacette, Soyer, Greboval, Aigbogun ; Vaysse, Le Mouël ; Bourdieu, Sow, Fleury ; Thiney (cap.).
Entrées en jeu : Ndongala, Nnadozie, Neller, Sarr, Matéo
La liste déclarée (source : UEFA.com)
G : 1-Camille Pecharman, 16-Chiamaka Nnadozie, 40-Lauren Pastor
D : 7-Tess Laplacette, 10-Anaïg Butel, 19-Théa Greboval, 23-Eseosa Aigbogun, 27-Julie Soyer, 32-Assa Sidibé
M : 8-Daphné Corboz, 11-Clara Matéo, 15-Margaux Le Mouël, 18-Coumba Sow, 22-Sophie Vaysse, 28-Louise Fleury, 31-Chloé Neller
A : 9-Mathilde Bourdieu, 17-Gaëtane Thiney, 20-Louna Ribadeira, 21-Ouleymata Sarr, 33-Melween Ndongala
D : 7-Tess Laplacette, 10-Anaïg Butel, 19-Théa Greboval, 23-Eseosa Aigbogun, 27-Julie Soyer, 32-Assa Sidibé
M : 8-Daphné Corboz, 11-Clara Matéo, 15-Margaux Le Mouël, 18-Coumba Sow, 22-Sophie Vaysse, 28-Louise Fleury, 31-Chloé Neller
A : 9-Mathilde Bourdieu, 17-Gaëtane Thiney, 20-Louna Ribadeira, 21-Ouleymata Sarr, 33-Melween Ndongala
Le Paris FC en préparation face au LOSC (photo Paris FC)
Le programme européen
Demi-finales
Jeudi 18 août 2022
Paris FC - Servette Chênois FCF (SUI) : 13h00 locales (14h00 françaises)
Arbitres : Veronika Kovarová (République tchèque) assistée de Zuzana Špindlerová (République tchèque) et Melissa Joos (Allemagne). 4e arbitre : Angelika Soeder (Allemagne)
Glasgow City FC (ÉCO) - AS Roma (ITA) : 19h35 locales (20h35 françaises)
Arbitres : Ainara Acevedo (Espagne) assistée de Matilde Esteves (Espagne) et Fie Bruun (Danemark). 4e arbitre : Frida Nielsen (Danemark)
Dimanche 21 août 2022
3e-4e places : 12h00 locales (13h00 françaises)
Finale : 18h00 locales (19h00 françaises)
Matchs diffusés sur Glasgow City FC TV (recast) (service payant)
Jeudi 18 août 2022
Paris FC - Servette Chênois FCF (SUI) : 13h00 locales (14h00 françaises)
Arbitres : Veronika Kovarová (République tchèque) assistée de Zuzana Špindlerová (République tchèque) et Melissa Joos (Allemagne). 4e arbitre : Angelika Soeder (Allemagne)
Glasgow City FC (ÉCO) - AS Roma (ITA) : 19h35 locales (20h35 françaises)
Arbitres : Ainara Acevedo (Espagne) assistée de Matilde Esteves (Espagne) et Fie Bruun (Danemark). 4e arbitre : Frida Nielsen (Danemark)
Dimanche 21 août 2022
3e-4e places : 12h00 locales (13h00 françaises)
Finale : 18h00 locales (19h00 françaises)
Matchs diffusés sur Glasgow City FC TV (recast) (service payant)