Océane Deslandes prépare sa 3e saison à Reims (photo SDR)
Comment êtes-vous devenue marraine du tournoi ?
C'est la troisième fois que je participe à ce tournoi avec le Stade de Reims. On m'a contacté cette année pour que je représente le tournoi et que j'en sois la marraine. J'ai accepté avec plaisir.
Qu'est-ce qu'apporte ce tournoi dans une préparation d'avant-saison ?
Tous ces matchs sont bons à prendre avec des équipes de plusieurs pays, de D1 allemande, de D1 belge, suisse, des équipes qui vont jouer la Ligue des Champions. C'est intéressant au niveau des équipes et on peut voir ce qui se fait à l'étranger. C'est intéressant. Dans les équipes françaises, il y a Dijon, Bordeaux, Issy, nous. On voit qu'il y a beaucoup de D1.
Cela permet d'observer vos futurs adversaires aussi.
Si c'est comme les dernières saisons, on pourra voir certains matchs, analyser, voir où ils en sont. Après tout le monde n'est pas au même stade de préparation. Certains ont un ou deux matchs dans les jambes. Chacun avance à sa manière mais cela reste toujours intéressant de voir ce qui peut se passer pour pouvoir se comparer.
C'est la troisième fois que je participe à ce tournoi avec le Stade de Reims. On m'a contacté cette année pour que je représente le tournoi et que j'en sois la marraine. J'ai accepté avec plaisir.
Qu'est-ce qu'apporte ce tournoi dans une préparation d'avant-saison ?
Tous ces matchs sont bons à prendre avec des équipes de plusieurs pays, de D1 allemande, de D1 belge, suisse, des équipes qui vont jouer la Ligue des Champions. C'est intéressant au niveau des équipes et on peut voir ce qui se fait à l'étranger. C'est intéressant. Dans les équipes françaises, il y a Dijon, Bordeaux, Issy, nous. On voit qu'il y a beaucoup de D1.
Cela permet d'observer vos futurs adversaires aussi.
Si c'est comme les dernières saisons, on pourra voir certains matchs, analyser, voir où ils en sont. Après tout le monde n'est pas au même stade de préparation. Certains ont un ou deux matchs dans les jambes. Chacun avance à sa manière mais cela reste toujours intéressant de voir ce qui peut se passer pour pouvoir se comparer.
"C'est intéressant de voir aussi ce qui se fait à l'étranger"
Océane Deslandes avec les Bleues (photo FFF)
Sur le plan personnel, vous avez eu l'opportunité d'être appelée en Equipe de France A. L'objectif est de se montrer un peu plus dans ce championnat ?
L'objectif est de confirmer cette année, d'avoir encore beaucoup de temps de jeu, comme l'an passé. L'année dernière, cela n'était pas forcément mon objectif de toucher l'Equipe de France A. C'était d'abord de faire la Coupe du Monde U20 qui a été annulée et ensuite intégrer l'Equipe de France U23. Corinne Diacre m'a appelé en avril dernier, c'était un objectif à plus long terme mais c'est arrivé maintenant. C'est le travail qui a payé. Quand on touche là-haut, on a toujours envie d'y retourner. Cette saison sera l'année du championnat d'Europe donc ce ne sera pas facile mais je vais tout faire pour. Déjà je vais essayer de bien jouer avec le Stade de Reims.
L'annulation de cette Coupe du Monde U20 doit être un regret ?
Chez les jeunes, toute compétition internationale est importante. Ce sont toujours des compétitions belles à jouer. Cela a été un peu difficile à avaler. On y a cru jusqu'au bout. Tout d'abord, elle a été repoussée. On imaginait que cela allait être positif. On s'imaginait plein de choses. Quand l'annulation a été officielle, on a du mal à le digérer. Le plus important est de se remettre au travail et de se dire que de plus belles choses arrivent d'ailleurs et j'en ai eu la preuve avec ma première convocation. Il faut savoir rebondir.
L'objectif est de confirmer cette année, d'avoir encore beaucoup de temps de jeu, comme l'an passé. L'année dernière, cela n'était pas forcément mon objectif de toucher l'Equipe de France A. C'était d'abord de faire la Coupe du Monde U20 qui a été annulée et ensuite intégrer l'Equipe de France U23. Corinne Diacre m'a appelé en avril dernier, c'était un objectif à plus long terme mais c'est arrivé maintenant. C'est le travail qui a payé. Quand on touche là-haut, on a toujours envie d'y retourner. Cette saison sera l'année du championnat d'Europe donc ce ne sera pas facile mais je vais tout faire pour. Déjà je vais essayer de bien jouer avec le Stade de Reims.
L'annulation de cette Coupe du Monde U20 doit être un regret ?
Chez les jeunes, toute compétition internationale est importante. Ce sont toujours des compétitions belles à jouer. Cela a été un peu difficile à avaler. On y a cru jusqu'au bout. Tout d'abord, elle a été repoussée. On imaginait que cela allait être positif. On s'imaginait plein de choses. Quand l'annulation a été officielle, on a du mal à le digérer. Le plus important est de se remettre au travail et de se dire que de plus belles choses arrivent d'ailleurs et j'en ai eu la preuve avec ma première convocation. Il faut savoir rebondir.
"Quand l'annulation a été officielle (Coupe du Monde U20), on a du mal à le digérer"
Vous étiez en stage au Touquet avant ce tournoi, comme se passe la préparation ?
Le stage au Touquet était pour l'adaptation. On a eu pas mal de départs, on a eu des arrivées, on en aura encore apparemment. La saison dernière, on a fait une bonne saison, forcément les joueuses sont demandées. Ce n'est pas anodin. C'est aussi la preuve ici que l'on travaille bien. Il faut continuer, tout se passe très bien, l'ambiance est là, c'est aussi ce qui fait notre force au Stade de Reims. Cela se ressent sur le terrain. On est une équipe jeune qui continue à progresser, on a une équipe jeune et on a toutes des ambitions.
Le club est un bon tremplin et peut permettre de voir plus haut.
En arrivant ici, cela a été mon objectif principal. L'année dernière, j'ai eu énormément de temps de jeu, j'ai participé à tous les matchs sauf un à cause d'une blessure. Avoir du temps de jeu dans un club de D1, cela n'est pas donné à tout le monde en étant jeune. Il faut en profiter, gagner en expérience rapidement, parce tout va très vite dans le football et il faut savoir ce que l'on veut.
Le stage au Touquet était pour l'adaptation. On a eu pas mal de départs, on a eu des arrivées, on en aura encore apparemment. La saison dernière, on a fait une bonne saison, forcément les joueuses sont demandées. Ce n'est pas anodin. C'est aussi la preuve ici que l'on travaille bien. Il faut continuer, tout se passe très bien, l'ambiance est là, c'est aussi ce qui fait notre force au Stade de Reims. Cela se ressent sur le terrain. On est une équipe jeune qui continue à progresser, on a une équipe jeune et on a toutes des ambitions.
Le club est un bon tremplin et peut permettre de voir plus haut.
En arrivant ici, cela a été mon objectif principal. L'année dernière, j'ai eu énormément de temps de jeu, j'ai participé à tous les matchs sauf un à cause d'une blessure. Avoir du temps de jeu dans un club de D1, cela n'est pas donné à tout le monde en étant jeune. Il faut en profiter, gagner en expérience rapidement, parce tout va très vite dans le football et il faut savoir ce que l'on veut.