Si la COVID-19 est présente depuis plus d'un an, sa propagation au sein de l'effectif lyonnais est inédite pour une équipe féminine de ce niveau. Après deux cas en fin de semaine dernière, quatre autres personnes étaient positives lundi dont le médecin de l'équipe féminine.
La liste s'est allongée au sein des joueuses et du staff. Jeudi 1er avril, quatre autres personnes étaient testées positives dont l'entraîneur Jean-Luc Vasseur selon Le Progrès.
Ce samedi, les derniers tests réalisés ont indiqué quatre autres personnes dont Sakina Karchaoui et Amandine Henry, appelées par Corinne Diacre et deux internationales étrangères.
Cette situation a déjà entraîné le report au 18 avril du quart de finale retour de Ligue des Champions, prévu mercredi dernier, puis de la rencontre de championnat face à Guingamp programmée initialement le 4 avril. A l'isolement, cela devrait stopper la propagation mais la période d'incubation peut retarder la positivité de certaines joueuses.
Dernier adversaire de l'OL, Dijon n'a semble-t-il pas été impacté, alors que le PSG qui avait rencontré l'OL avait connu trois cas sans autre propagation au sein de son effectif. Reste que cette contamination va impacter la préparation de la fin de saison de l'OL. Si les études menées depuis un an ont montré que la contagiosité sur le terrain est quasi nulle mais que celle-ci dans le cadre des sports collectifs est souvent provoqué durant les déplacements et les espaces clos (hébergements, vestiaires...).
La liste s'est allongée au sein des joueuses et du staff. Jeudi 1er avril, quatre autres personnes étaient testées positives dont l'entraîneur Jean-Luc Vasseur selon Le Progrès.
Ce samedi, les derniers tests réalisés ont indiqué quatre autres personnes dont Sakina Karchaoui et Amandine Henry, appelées par Corinne Diacre et deux internationales étrangères.
Cette situation a déjà entraîné le report au 18 avril du quart de finale retour de Ligue des Champions, prévu mercredi dernier, puis de la rencontre de championnat face à Guingamp programmée initialement le 4 avril. A l'isolement, cela devrait stopper la propagation mais la période d'incubation peut retarder la positivité de certaines joueuses.
Dernier adversaire de l'OL, Dijon n'a semble-t-il pas été impacté, alors que le PSG qui avait rencontré l'OL avait connu trois cas sans autre propagation au sein de son effectif. Reste que cette contamination va impacter la préparation de la fin de saison de l'OL. Si les études menées depuis un an ont montré que la contagiosité sur le terrain est quasi nulle mais que celle-ci dans le cadre des sports collectifs est souvent provoqué durant les déplacements et les espaces clos (hébergements, vestiaires...).
Marozsán avec l'Allemagne, Le Sommer avec les Bleues
Ce samedi, le club lyonnais a de nouveau montré un certain agacement à la convocation de joueuses en sélection actuellement isolées jusqu'à lundi. "Le club s'étonne que, malgré les nombreuses recommandations préalables à la divulgations des listes, certains sélectionneurs aient pu convoquer des joueuses de son effectif sans tenir compte de la situation extrêmement critique qui touche actuellement l'ensemble de son groupe professionnel".
Une communication qui vise en premier lieu Corinne Diacre. Lors de l'annonce de sa liste, celle-ci a cependant rappelé que les joueuses convoquées ne pourraient rallier la sélection qu'au terme de leur période d'isolement et en présentant un test négatif avant d'être à Clairefontaine. Finalement, deux joueuses convoquées sont désormais positives (Sakina Karchaoui et Amandine Henry), laissant seule Eugénie Le Sommer (ndlr : Wendie Renard, Amel Majri et Delphine Cascarino ont déjà été déclarées forfait précédemment). L'attaquante lyonnaise avait été touchée par le COVID-19 en février dernier et donc en théorie immunisée. La sélectionneuse allemande a également convoqué Dzsenifer Marozsán pour les deux rencontres amicales allemandes.
A l'inverse, le Canada doit se passer de Kadeisha Buchanan, testée positive, tandis que le sélectionneur des USA qui avait initialement convoqué Catarina Macário, a finalement décidé de laisser la joueuse "cas contact" à disposition de son club.
Une communication qui vise en premier lieu Corinne Diacre. Lors de l'annonce de sa liste, celle-ci a cependant rappelé que les joueuses convoquées ne pourraient rallier la sélection qu'au terme de leur période d'isolement et en présentant un test négatif avant d'être à Clairefontaine. Finalement, deux joueuses convoquées sont désormais positives (Sakina Karchaoui et Amandine Henry), laissant seule Eugénie Le Sommer (ndlr : Wendie Renard, Amel Majri et Delphine Cascarino ont déjà été déclarées forfait précédemment). L'attaquante lyonnaise avait été touchée par le COVID-19 en février dernier et donc en théorie immunisée. La sélectionneuse allemande a également convoqué Dzsenifer Marozsán pour les deux rencontres amicales allemandes.
A l'inverse, le Canada doit se passer de Kadeisha Buchanan, testée positive, tandis que le sélectionneur des USA qui avait initialement convoqué Catarina Macário, a finalement décidé de laisser la joueuse "cas contact" à disposition de son club.
"La situation est très loin d’être maitrisée"
Cependant compte tenu du caractère évolutif de la situation et des inquiétudes formulées récemment par son Président, l’Olympique Lyonnais regrette qu’aucun échange n’ait été initié préalablement à la convocation des joueuses dans la sélection française.
Le club ajoute dans sa communication que "cette situation pourrait pénaliser l’OL, mais aussi le PSG, ainsi que toutes les autres joueuses sélectionnées puisqu’à cet instant précis la situation est très loin d’être maitrisée". A deux semaines de jouer son match retour de Ligue des Champions, l'OL devra en tout cas parvenir à maîtriser la situation.
Le règlement de l'UEFA ne permettra le déroulement de la rencontre qu'au plus tard le 20 avril, en présentant un effectif de 13 joueuses sur la liste communiquée à l'instance européenne. Passé cette date, l'UEFA prononcerait alors une décision similaire à celle connue par le PSG au tour précédent à savoir une défaite 0-3.
Le club ajoute dans sa communication que "cette situation pourrait pénaliser l’OL, mais aussi le PSG, ainsi que toutes les autres joueuses sélectionnées puisqu’à cet instant précis la situation est très loin d’être maitrisée". A deux semaines de jouer son match retour de Ligue des Champions, l'OL devra en tout cas parvenir à maîtriser la situation.
Le règlement de l'UEFA ne permettra le déroulement de la rencontre qu'au plus tard le 20 avril, en présentant un effectif de 13 joueuses sur la liste communiquée à l'instance européenne. Passé cette date, l'UEFA prononcerait alors une décision similaire à celle connue par le PSG au tour précédent à savoir une défaite 0-3.