Patrice Lair "déçu" après cette défaite qui a mis fin à l'invincibilité de l'OL
Patrice, qu’est-ce qui n’a pas fonctionné ?
L’efficacité… C’est toujours pareil ! La première période, on l’a assez bien maîtrisée. Paris n’a vraiment qu’une occasion et nous on n’a pas eu cette efficacité qui nous caractérisait à un moment donné. On a été impuissant, en attaque surtout dans le dernier geste. Il y a eu des frappes molles, pas cadrées. Quand on a tiré de vingt-cinq/trente mètres, c’était au-dessus. Quand a voulu dribbler, on a mis le ballon en sortie. C’était trop juste, trop pauvre dans les dix-huit mètres pour marquer le but. La vérité elle est là, le PSG a eu la réussite. Pas nous. Pourtant on ne peut pas dire que Paris a provoqué cette réussite. Cette équipe n’a rien proposé, ne s'est créée aucune occasion. Il y a juste eu ce but. Ce qui est plus gênant, c’est qu’en deuxième mi-temps, même en poussant, on n’a pas eu de réelles occasions à part une ou deux frappes, une tête… On aurait pu tenter encore beaucoup de choses mais, même en mettant Sarah (Bouhaddi) devant, je ne pense pas que l’on n'aurait marqué. Je suis très déçu.
C’est un peu le même match que face à Potsdam ? Notamment au niveau du manque d'efficacité...
Potsdam a une autre équipe quand même. C’est dommage, nous n’avons pas réussi à être efficaces ce soir. C’est notre gros souci. On n’a pas eu cette qualité technique pour bien finir nos actions.
L’efficacité… C’est toujours pareil ! La première période, on l’a assez bien maîtrisée. Paris n’a vraiment qu’une occasion et nous on n’a pas eu cette efficacité qui nous caractérisait à un moment donné. On a été impuissant, en attaque surtout dans le dernier geste. Il y a eu des frappes molles, pas cadrées. Quand on a tiré de vingt-cinq/trente mètres, c’était au-dessus. Quand a voulu dribbler, on a mis le ballon en sortie. C’était trop juste, trop pauvre dans les dix-huit mètres pour marquer le but. La vérité elle est là, le PSG a eu la réussite. Pas nous. Pourtant on ne peut pas dire que Paris a provoqué cette réussite. Cette équipe n’a rien proposé, ne s'est créée aucune occasion. Il y a juste eu ce but. Ce qui est plus gênant, c’est qu’en deuxième mi-temps, même en poussant, on n’a pas eu de réelles occasions à part une ou deux frappes, une tête… On aurait pu tenter encore beaucoup de choses mais, même en mettant Sarah (Bouhaddi) devant, je ne pense pas que l’on n'aurait marqué. Je suis très déçu.
C’est un peu le même match que face à Potsdam ? Notamment au niveau du manque d'efficacité...
Potsdam a une autre équipe quand même. C’est dommage, nous n’avons pas réussi à être efficaces ce soir. C’est notre gros souci. On n’a pas eu cette qualité technique pour bien finir nos actions.
" Si une fin de cycle pour vous, c’est une défaite en quatre ans…"
Qu’allez-vous dire à vos joueuses ?
Je n’ai pas voulu parler à chaud. Ça ne sert à rien. Les filles savent très bien ce que j’en pense. Je l’ai dit à la mi-temps. Après il fallait rattraper notre connerie, on ne l’a pas fait. Ce petit but de retard nous pénalise et risque de nous faire passer une mauvaise semaine.
Vous aviez parlé de fin de cycle contre Potsdam…
Non, non, je n’ai jamais parlé de fin de cycle. On a trois points d’avance. Si une fin de cycle pour vous, c’est une défaite en quatre ans… Il y aurait donc beaucoup entraîneurs en fin de cycle en D1. Je ne vois pas où il y a une fin de cycle. Il y a eu défaite, c’est vrai. Toute défaite est un échec. Cela ne nous arrive pas souvent. Cela survient au début de l’année 2014. A nous de redonner des couleurs à cette année en se qualifiant la semaine prochaine en Coupe (à Pontarlier), en gagnant ensuite Arras et en préparant bien le choc contre Montpellier au mois de mai.
Ce groupe a-t-il les moyens de réagir ?
Il l’a déjà fait après Potsdam. Mais, ce soir, il n’y a pas forcément eu ce courage, cette volonté qu’on aurait dû avoir sur certains ballons au pressing. Il a manqué ce petit truc. C’est un peu gênant. A moi de relancer la machine.
Je n’ai pas voulu parler à chaud. Ça ne sert à rien. Les filles savent très bien ce que j’en pense. Je l’ai dit à la mi-temps. Après il fallait rattraper notre connerie, on ne l’a pas fait. Ce petit but de retard nous pénalise et risque de nous faire passer une mauvaise semaine.
Vous aviez parlé de fin de cycle contre Potsdam…
Non, non, je n’ai jamais parlé de fin de cycle. On a trois points d’avance. Si une fin de cycle pour vous, c’est une défaite en quatre ans… Il y aurait donc beaucoup entraîneurs en fin de cycle en D1. Je ne vois pas où il y a une fin de cycle. Il y a eu défaite, c’est vrai. Toute défaite est un échec. Cela ne nous arrive pas souvent. Cela survient au début de l’année 2014. A nous de redonner des couleurs à cette année en se qualifiant la semaine prochaine en Coupe (à Pontarlier), en gagnant ensuite Arras et en préparant bien le choc contre Montpellier au mois de mai.
Ce groupe a-t-il les moyens de réagir ?
Il l’a déjà fait après Potsdam. Mais, ce soir, il n’y a pas forcément eu ce courage, cette volonté qu’on aurait dû avoir sur certains ballons au pressing. Il a manqué ce petit truc. C’est un peu gênant. A moi de relancer la machine.