Les oreillettes avaient fait leur apparition il y a un an pour les arbitres du championnat (photo DR)
Si la FFF comptabilise 1 016 arbitres à l'issue de la saison écoulée, et une progression de plus de 400 en dix ans, l'arbitrage féminin doit encore se densifier pour répondre aux exigences croissantes du championnat. Le plan de pré-professionnalisation des arbitres fédérales féminines avait été voté par le Comité Exécutif de la FFF le 7 décembre 2018 et prévoyait une période de transition nécessaire à sa mise en œuvre. Les catégories Fédéral Féminine 1-Elite et Assistante Fédérale Féminine-Elite avaient alors été créées. Ces arbitres Fédérale Féminine 1-Elite et Assistante Fédérale Féminine-Elite sont désignées par le Comité Exécutif sur proposition de la Commission Fédérale des Arbitres et donne lieu à la conclusion d’un contrat de prestations de service entre l’arbitre concernée et la Fédération Française de Football.
Elles suivent un programme de formation et de rassemblements organisés par la DTA sur huit semaines impactées par saison au maximum, alors qu'initialement les arbitres fédérales suivent trois stages. Avec ces quatre autres spécifiques de trois jours, elles peuvent dédier du temps au travail vidéo, et perfectionner différents points. "Le niveau de la D1 Arkema s'améliore d'année en année, l'arbitrage doit suivre le mouvement" analyse Alain Sars, directeur adjoint de l'arbitrage.
Le plan de professionnalisation de l’arbitrage a pleinement débuté la saison dernière avec huit arbitres (Arbitres centrales : Victoria Beyer, Alexandra Collin, Savina Elbour, Maika Vanderstichel ; Arbitres assistantes : Clothilde Brassart, Stéphanie Di Benedetto, Jennifer Maubacq, Nabila Zaouak).
Elles suivent un programme de formation et de rassemblements organisés par la DTA sur huit semaines impactées par saison au maximum, alors qu'initialement les arbitres fédérales suivent trois stages. Avec ces quatre autres spécifiques de trois jours, elles peuvent dédier du temps au travail vidéo, et perfectionner différents points. "Le niveau de la D1 Arkema s'améliore d'année en année, l'arbitrage doit suivre le mouvement" analyse Alain Sars, directeur adjoint de l'arbitrage.
Le plan de professionnalisation de l’arbitrage a pleinement débuté la saison dernière avec huit arbitres (Arbitres centrales : Victoria Beyer, Alexandra Collin, Savina Elbour, Maika Vanderstichel ; Arbitres assistantes : Clothilde Brassart, Stéphanie Di Benedetto, Jennifer Maubacq, Nabila Zaouak).
"Tout n'est pas encore parfait, mais les progrès sont constants"
Mais ce dispositif est amené à se développer et permet aux arbitres de percevoir une indemnité mensuelle de préparation qui s'ajoute à celle de match (300 € net au centre, 150 € pour l'assistant, auxquels s'ajoutent les frais kilométriques (0,401 par km) et l'indemnité grands déplacements de 62,50 €. "Ce contrat va me permettre de diminuer mon temps de travail en tant que kiné afin de me concentrer davantage sur mon activité d’arbitre pour gagner en compétences (préparation physique, analyses de match …). Les multiples stages à Clairefontaine que j’aurai à réaliser, notamment aux côtés d’arbitres fédéraux masculins, vont me permettre de progresser encore plus", se félicitait Alexandra Collin sur le site Internet de son District.
"Elles ont davantage été suivies par la DTA et ont consacré plus de temps à l'arbitrage. Elles ont beaucoup travaillé, notamment sur les axes de progrès" apprécie Alain Sars. Cette première année expérimentale concluante a amené à intégrer deux autres arbitres centrales (Charlène Laur et Emeline Rochebilière) et deux assistantes supplémentaire soit 6 des 9 centrales FF1 et 6 assistantes sur 15.
Avec un travail d'analyse vidéo de plus en plus pointu, où la DTA séquence tous les matchs pour débriefer avec les arbitres, les arbitres vont monter en compétence même s'il reste encore du travail : "Tout n'est pas encore parfait, mais les progrès sont constants" conclut Alain Sars.
"Elles ont davantage été suivies par la DTA et ont consacré plus de temps à l'arbitrage. Elles ont beaucoup travaillé, notamment sur les axes de progrès" apprécie Alain Sars. Cette première année expérimentale concluante a amené à intégrer deux autres arbitres centrales (Charlène Laur et Emeline Rochebilière) et deux assistantes supplémentaire soit 6 des 9 centrales FF1 et 6 assistantes sur 15.
Avec un travail d'analyse vidéo de plus en plus pointu, où la DTA séquence tous les matchs pour débriefer avec les arbitres, les arbitres vont monter en compétence même s'il reste encore du travail : "Tout n'est pas encore parfait, mais les progrès sont constants" conclut Alain Sars.
Les arbitres du championnat
Elite FIFA
Victoria BEYER, 30 ans
Alexandra COLLIN, 26 ans
Maïka VANDERSTICHEL, 27 ans
Elite
Savina ELBOUR, 28 ans
Charlène LAUR, 26 ans
Emeline ROCHEBILIERE, 33 ans
Fédéral Féminine 1
Justine CATANIA, 32 ans
Romy FOURNIER, 25 ans
Gabrielle GUILLOT, 25 ans
Arbitres assistantes
Solenne BARTNIK, FIFA
Stéphanie DI BENEDETTO, FIFA
Jennifer MAUBACQ, FIFA
Siham BOUDINA
Clothilde BRASSART
Camille DAAS
Clémentine DUBREIL
Bérengère JOURDAIN
Méline LAURANT
Violette LE CHEVERT
Amira LOCUTURA
Mara PANSART
Mélissa ROSSIGNOL
Valérie TODESCHINI
Nabila ZAOUAK
Victoria BEYER, 30 ans
Alexandra COLLIN, 26 ans
Maïka VANDERSTICHEL, 27 ans
Elite
Savina ELBOUR, 28 ans
Charlène LAUR, 26 ans
Emeline ROCHEBILIERE, 33 ans
Fédéral Féminine 1
Justine CATANIA, 32 ans
Romy FOURNIER, 25 ans
Gabrielle GUILLOT, 25 ans
Arbitres assistantes
Solenne BARTNIK, FIFA
Stéphanie DI BENEDETTO, FIFA
Jennifer MAUBACQ, FIFA
Siham BOUDINA
Clothilde BRASSART
Camille DAAS
Clémentine DUBREIL
Bérengère JOURDAIN
Méline LAURANT
Violette LE CHEVERT
Amira LOCUTURA
Mara PANSART
Mélissa ROSSIGNOL
Valérie TODESCHINI
Nabila ZAOUAK