L'équipe de Tahiti
Responsable du développement du football féminin en Polynésie française avec pour échéance les Jeux du Pacifique Sud à Nouméa en 2011, Julie Rampant, joueuse de Saint-Memmie (D2) est présente pour aider le football féminin local.
En parallèle, Julie Rampant a en charge l'hébergement et de la restauration pour l'évènement France 98 qui se déroule à Tahiti au stade Pater le 26 mai qui opposera certains joueurs de l'équipe de France 98 (Zidane, Pires, Karembeu, Dessailly, Blanc, Djorkaeff, Leboeuf, Lizarazu...) à l'équipe des amis de Pascal Vahirua (Zeoula, Kombouare, Guereiro, Silvestre, Djetou, Papin...)
En parallèle, Julie Rampant a en charge l'hébergement et de la restauration pour l'évènement France 98 qui se déroule à Tahiti au stade Pater le 26 mai qui opposera certains joueurs de l'équipe de France 98 (Zidane, Pires, Karembeu, Dessailly, Blanc, Djorkaeff, Leboeuf, Lizarazu...) à l'équipe des amis de Pascal Vahirua (Zeoula, Kombouare, Guereiro, Silvestre, Djetou, Papin...)
Comment est venue cette opportunité de s’occuper du football féminin en Polynésie ?
J'ai un ami de longue date qui vit à Tahiti depuis 14 ans, qui a parlé de moi à Reynald Temarii, président de la Fédération Tahitienne de Football et également vice-président de la FIFA. Mon profil l'a intéressé, c'est pourquoi j'ai la chance d'être ici aujourd'hui.
Quel est ton parcours personnel ?
J'ai une maîtrise STAPS que j'ai obtenu à Reims en 2007 et l'animateur senior, je passe le brevet d'état 1er degré en septembre de cette année.
Qu’en est-il du football féminin en Polynésie ? Quelles difficultés rencontrent-ils ?
Il y a 700 licenciées en Polynésie en sachant que le foot féminin est uniquement représenté à Tahiti ce qui représente une population de 130 000 habitants.
Les difficultés sont sensiblement les mêmes qu'en France à une moindre échelle : manque de bénévoles, l'état des terrains laissent vraiment à désirer, dans les clubs, les filles sont laissées au second plan, rares sont les entraineurs de football féminin formés, manque de considération ......
Il n'y a qu'une seule division senior qui regroupe 10 clubs et 9 dans le championnat 16 ans. Au niveau des seniors, il y a 3 clubs qui sont au-dessus.
J'ai un ami de longue date qui vit à Tahiti depuis 14 ans, qui a parlé de moi à Reynald Temarii, président de la Fédération Tahitienne de Football et également vice-président de la FIFA. Mon profil l'a intéressé, c'est pourquoi j'ai la chance d'être ici aujourd'hui.
Quel est ton parcours personnel ?
J'ai une maîtrise STAPS que j'ai obtenu à Reims en 2007 et l'animateur senior, je passe le brevet d'état 1er degré en septembre de cette année.
Qu’en est-il du football féminin en Polynésie ? Quelles difficultés rencontrent-ils ?
Il y a 700 licenciées en Polynésie en sachant que le foot féminin est uniquement représenté à Tahiti ce qui représente une population de 130 000 habitants.
Les difficultés sont sensiblement les mêmes qu'en France à une moindre échelle : manque de bénévoles, l'état des terrains laissent vraiment à désirer, dans les clubs, les filles sont laissées au second plan, rares sont les entraineurs de football féminin formés, manque de considération ......
Il n'y a qu'une seule division senior qui regroupe 10 clubs et 9 dans le championnat 16 ans. Au niveau des seniors, il y a 3 clubs qui sont au-dessus.
Quel est le niveau du football féminin ?
Le niveau du football féminin ici est assez moyen quoiqu'il y a quelques bonnes joueuses qui pourraient tout à fait jouer en D2 française voir peut-être même en D1 mais ce n'est pas la majorité.
Les filles considèrent beaucoup le foot comme un loisir à part entière, moins comme une compétition.
Elles privilégient davantage les relations entre elles, la bonne ambiance de l'équipe que le côté football.
Quels sont les objectifs de ton poste par rapport aux joueuses, éducateurs locaux ?
Ma mission est de repérer les joueuses qui sont potentiellement sélectionnables pour l'équipe de Tahiti et d'aider les éducateurs et éducatrices responsables d'équipe.
D'ailleurs je présente le projet de développement du football féminin en Polynésie que j'aurai élaboré le 5 juillet au conseil fédéral.
Propos recueillis par Sébastien DURET
Le niveau du football féminin ici est assez moyen quoiqu'il y a quelques bonnes joueuses qui pourraient tout à fait jouer en D2 française voir peut-être même en D1 mais ce n'est pas la majorité.
Les filles considèrent beaucoup le foot comme un loisir à part entière, moins comme une compétition.
Elles privilégient davantage les relations entre elles, la bonne ambiance de l'équipe que le côté football.
Quels sont les objectifs de ton poste par rapport aux joueuses, éducateurs locaux ?
Ma mission est de repérer les joueuses qui sont potentiellement sélectionnables pour l'équipe de Tahiti et d'aider les éducateurs et éducatrices responsables d'équipe.
D'ailleurs je présente le projet de développement du football féminin en Polynésie que j'aurai élaboré le 5 juillet au conseil fédéral.
Propos recueillis par Sébastien DURET