Les Costaricaines (photo DR)
Ce sont des histoires comme le football aime en raconter, celle du Costa Rica, même si elle n'a pas la médiatisation qu'aurait pu mériter son scénario. Menées à la pause (1-3) et au score jusqu'à la 85e minute du match décisif pour le dernier ticket qualificatif face à Trinité-et-Tobago, lors de la phase finale aux Iles Caïman, les Costaricaines ont arraché la prolongation (3-3). Et le meilleur était alors à venir puisque lors des arrêts de jeu, ce sont quatre buts en leur faveur qui se sont ajoutés !
Un ticket historique et difficile à décrocher sur un continent où les Etats-Unis, le Mexique et le Canada, qualifié d'office, ne laissent que des miettes aux équipes d'Amérique centrale. D'ailleurs, le fossé s'illustre avec des défaites face aux Etats-Unis (0-6) et le Mexique (1-3) en demi-finale, car qu'elles ont dominé le Guatemala (5-1) en phase de poule et accroché un nul contre la Jamaïque (1-1).
Un ticket historique et difficile à décrocher sur un continent où les Etats-Unis, le Mexique et le Canada, qualifié d'office, ne laissent que des miettes aux équipes d'Amérique centrale. D'ailleurs, le fossé s'illustre avec des défaites face aux Etats-Unis (0-6) et le Mexique (1-3) en demi-finale, car qu'elles ont dominé le Guatemala (5-1) en phase de poule et accroché un nul contre la Jamaïque (1-1).
"En guerrières"
Pour le sélectionneur Carlos Avedissian, la présence du Costa Rica en Coupe du Monde comme en 2010, est une belle opportunité. Ce sera l'occasion de retrouvailles avec la France déjà rencontré il y a quatre ans en phase (défaite 2-0, doublé de Makanza).
Fière de son équipe, le sélectionneur met avant tout en avant les forces mentales : "Je suis très fier de ce qu'elles ont fait sur le terrain. Nous avons atteint notre objectif et le Costa Rica est aujourd'hui à sa place. Je tiens à remercier mes joueuses, qui ont décroché cette qualification en guerrières", confiait après le match décisif.
Pour l'attaquante Melissa Herrera, jouer la France est un moment très attendu : "Il me tarde de jouer contre la France car c’est une grande équipe, dans laquelle il y a des joueuses que j’admire beaucoup. Dans le football, il faut prendre plaisir", disait-elle à FIFA.com.
Fière de son équipe, le sélectionneur met avant tout en avant les forces mentales : "Je suis très fier de ce qu'elles ont fait sur le terrain. Nous avons atteint notre objectif et le Costa Rica est aujourd'hui à sa place. Je tiens à remercier mes joueuses, qui ont décroché cette qualification en guerrières", confiait après le match décisif.
Pour l'attaquante Melissa Herrera, jouer la France est un moment très attendu : "Il me tarde de jouer contre la France car c’est une grande équipe, dans laquelle il y a des joueuses que j’admire beaucoup. Dans le football, il faut prendre plaisir", disait-elle à FIFA.com.
La France doit monter en puissane
Le Costa Rica qui reste sur trois revers en 2010 vise une première victoire en phase finale. Aucune joueuse n'était présente il y a quatre ans, mais cinq ont déjà disputé un Mondial, celui des U17 qui se déroulaient à domicile : Maria Coto, Maria Pardo, Sofia Varela, Fabiola Villalobos et Gloriana Villalobos.
La France ne souhaite pas se faire surprendre et a déjà bien observé son adversaire grâce aux vidéos des matchs face aux Etats-Unis, du Mexique et de Trinité-et-Tobago. L'occasion de confirmer que si cette équipe a du coeur, elle possède des lacunes notamment défensivement. La France devra cependant corriger les problèmes relevés depuis plusieurs semaines par le sélectionneur Gilles Eyquem. La France peine en effet à se projeter vers l'avant. L'absence de Léa Declercq pourrait être un manque offensif. Le dernier test dimanche soir contre une équipe féminine locale a montré qu'il restait encore des réglages à faire. Il faudra donc aux Tricolores montrer leur montée en puissance pour ne pas rater ce premier rendez-vous.
La France ne souhaite pas se faire surprendre et a déjà bien observé son adversaire grâce aux vidéos des matchs face aux Etats-Unis, du Mexique et de Trinité-et-Tobago. L'occasion de confirmer que si cette équipe a du coeur, elle possède des lacunes notamment défensivement. La France devra cependant corriger les problèmes relevés depuis plusieurs semaines par le sélectionneur Gilles Eyquem. La France peine en effet à se projeter vers l'avant. L'absence de Léa Declercq pourrait être un manque offensif. Le dernier test dimanche soir contre une équipe féminine locale a montré qu'il restait encore des réglages à faire. Il faudra donc aux Tricolores montrer leur montée en puissance pour ne pas rater ce premier rendez-vous.
LE PROGRAMME DU GROUPE D
Mercredi 6 août 2014, à Montreal
Nouvelle-Zélande - Paraguay : 20h00 (2h00*)
France - Costa Rica : 17h00 (23h00*) En direct sur Eurosport (Arbitres : Qin Liang (CHN) assistée de Fang Yan (CHN) et Liang Jianping (CHN). 4e arbitre : Therese Neguel (CAM)
Samedi 9 août 2014, à Montreal
Nouvelle-Zélande - France : 17h00 (23h00*)
Paraguay - Costa Rica : 20h00 (2h00*)
Mercredi 13 août 2014
Paraguay - France : 15h00 (23h00*), à Edmonton
Costa Rica - Nouvelle-Zélande : 17h00 (23h00*), à Toronto
Mercredi 6 août 2014, à Montreal
Nouvelle-Zélande - Paraguay : 20h00 (2h00*)
France - Costa Rica : 17h00 (23h00*) En direct sur Eurosport (Arbitres : Qin Liang (CHN) assistée de Fang Yan (CHN) et Liang Jianping (CHN). 4e arbitre : Therese Neguel (CAM)
Samedi 9 août 2014, à Montreal
Nouvelle-Zélande - France : 17h00 (23h00*)
Paraguay - Costa Rica : 20h00 (2h00*)
Mercredi 13 août 2014
Paraguay - France : 15h00 (23h00*), à Edmonton
Costa Rica - Nouvelle-Zélande : 17h00 (23h00*), à Toronto