La troisième édition se compose de plusieurs opérations destinées aux licenciées et aux non-licenciées, qui joueront entre elles, et recevront à chaque fois des cadeaux. Les ligues et les districts proposeront sur des sites pilotes des journées promotionnelles d’initiation au football. Les clubs animeront de leur côté des journées "portes ouvertes", qui se prolongeront tout au long du mois de mai. Une carte de France, en ligne sur fff.fr, recense tous les clubs mobilisés.
Le lancement national de la semaine du football féminin se déroulera ce mercredi 7 mai à Besançon, lors du match France-Hongrie (20h50). À cette occasion, les 250 lauréats du Football des Princesses rencontreront les joueuses de l’équipe de France. Cette année, 1 357 classes primaires, 252 équipes de collège et 91 équipes de lycée ont pris part à ce concours organisé avec l’Éducation Nationale, l’USEP et l’UNSS visant, à travers des entraînements, des rencontres ou des productions artistiques, à promouvoir le football en tant qu’outil éducatif.
L'opération durera même au delà du 14 mai puisque des actions sont prévues jusqu’au 31 mai, il est possible de participer à des journées portes ouvertes organisées dans les clubs afin de s’initier à la pratique du football et pourquoi pas, se découvrir une nouvelle passion…
Le lancement national de la semaine du football féminin se déroulera ce mercredi 7 mai à Besançon, lors du match France-Hongrie (20h50). À cette occasion, les 250 lauréats du Football des Princesses rencontreront les joueuses de l’équipe de France. Cette année, 1 357 classes primaires, 252 équipes de collège et 91 équipes de lycée ont pris part à ce concours organisé avec l’Éducation Nationale, l’USEP et l’UNSS visant, à travers des entraînements, des rencontres ou des productions artistiques, à promouvoir le football en tant qu’outil éducatif.
L'opération durera même au delà du 14 mai puisque des actions sont prévues jusqu’au 31 mai, il est possible de participer à des journées portes ouvertes organisées dans les clubs afin de s’initier à la pratique du football et pourquoi pas, se découvrir une nouvelle passion…
LE CLIP FFF DE 2013
Brigitte HENRIQUES (secrétaire générale FFF) : « UNE ÉVOLUTION TRÈS CONSÉQUENTE »
Pourquoi la FFF organise-t-elle une semaine du football féminin ?
Il y a deux grandes raisons. La première est de mettre un focus sur le football féminin et les différentes actions menées depuis janvier 2012 pour qu’il progresse dans tous les domaines. La deuxième est qu’à l’horizon 2016, les 18 000 clubs de France accueillent des filles. Des pratiquantes bien sûr, mais aussi des éducatrices, des dirigeantes, des arbitres.
Que faut-il pour parvenir à cet objectif ?
Trois paramètres doivent être réunis pour que les clubs franchissent le pas. Par ordre prioritaire, une volonté politique du président et de son équipe dirigeante. Deuxièmement, la présence d’un référent qui possède une certaine sensibilité, ou en tout cas des compétences, pour accueillir un public féminin, facilite les choses. Enfin, il faut trouver une organisation pour partager les installations.
Quelle est la situation du football féminin en France ?
Depuis trois ans que le plan de féminisation a été lancé, nous avons recensé 21 000 licenciées supplémentaires. C’est énorme. Auparavant, nous en avions eu 10 000 en douze ans. Nous comptons aujourd’hui plus de 71 000 pratiquantes. Notre ambition demeure plus que jamais de passer la barre des 100 000 joueuses. Les chiffres ne disent pas tout. C’est vrai. Le niveau de jeu a considérablement augmenté. Le public regarde les matches, à la télé et dans les stades. Les mentalités ont aussi changé du tout au tout. Les petites filles ne se posent plus la question de savoir si elles peuvent jouer au football. Elles jouent. Il existe désormais dans notre sport un besoin de mixité qui peut rendre les clubs plus performants. Le développement passe aussi par l’école. La nouvelle convention entre la FFF et l’Education Nationale, signée en présence du président de la République, porte une attention particulière au football féminin.
Il y a deux grandes raisons. La première est de mettre un focus sur le football féminin et les différentes actions menées depuis janvier 2012 pour qu’il progresse dans tous les domaines. La deuxième est qu’à l’horizon 2016, les 18 000 clubs de France accueillent des filles. Des pratiquantes bien sûr, mais aussi des éducatrices, des dirigeantes, des arbitres.
Que faut-il pour parvenir à cet objectif ?
Trois paramètres doivent être réunis pour que les clubs franchissent le pas. Par ordre prioritaire, une volonté politique du président et de son équipe dirigeante. Deuxièmement, la présence d’un référent qui possède une certaine sensibilité, ou en tout cas des compétences, pour accueillir un public féminin, facilite les choses. Enfin, il faut trouver une organisation pour partager les installations.
Quelle est la situation du football féminin en France ?
Depuis trois ans que le plan de féminisation a été lancé, nous avons recensé 21 000 licenciées supplémentaires. C’est énorme. Auparavant, nous en avions eu 10 000 en douze ans. Nous comptons aujourd’hui plus de 71 000 pratiquantes. Notre ambition demeure plus que jamais de passer la barre des 100 000 joueuses. Les chiffres ne disent pas tout. C’est vrai. Le niveau de jeu a considérablement augmenté. Le public regarde les matches, à la télé et dans les stades. Les mentalités ont aussi changé du tout au tout. Les petites filles ne se posent plus la question de savoir si elles peuvent jouer au football. Elles jouent. Il existe désormais dans notre sport un besoin de mixité qui peut rendre les clubs plus performants. Le développement passe aussi par l’école. La nouvelle convention entre la FFF et l’Education Nationale, signée en présence du président de la République, porte une attention particulière au football féminin.