Fiona Bitterlin a inscrit le 3e but contre l'Ukrainien, son premier en 3 sélections (photo Sébastien Duret)
Quel sentiment à l'issue de la victoire ?
C'était une immense joie, incroyable. On s'était bien préparé en amont avec cinq jours de stage à Clairefontaine. On a encore pu préparer ici à Teplice. C'est une immense joie que cela se concrétise et que l'on ait pu gagner ce premier match.
On s'est imaginé tous les scénarios possibles, on s'était dit que tout pouvait arriver. Que si on menait, il fallait à continuer à aller chercher. Si on prenait un but, il fallait relever la tête tout de suite, ne pas repartir dans nos mauvais démons.
Vous avez débuté le futsal il y a 1 an et demi, c'était votre 3e sélection, c'est un parcours que vous n'imaginiez pas ?
Je n'aurai jamais imaginé mais à partir du moment où j'ai été appelé en juin dernier (ndlr : stage élargi organisé à Créteil), c'est devenu un objectif. C'est hyper satisfaisant, avec la victoire, c'est incroyable mais ce n'est pas fini.
Qu'est-ce qui vous a convaincu de pratiquer le futsal ?
J'ai commencé le futsal il y a un an et demi suite à une blessure. Je ne pouvais pas reprendre tout de suite. Il y avait Léa que je connaissais. Je me suis très vite pris au jeu, tout le monde dans le club de football était OK (ndlr : AS Musau) pour s'y mettre.
Vous inscrivez le troisième but qui soulage l'équipe. Pouvez-vous nous le raconter ?
C'est allé très vite. On était placés au bon moment, au bon endroit. Je n'ai pas trop paniqué quand le ballon est arrivé et c'est certainement ce qu'il fallait faire. C'était incroyable de marquer à ce moment-là après avoir subi. Ca a soulagé un peu tout le monde mais le travail n'était pas fini. Il a fallu rester vigilantes sur la fin.
Le prochain match, la République tchèque est une grosse étape à passer...
On a profité dans le vestiaire et maintenant on doit se reconcentrer sur le prochain match qui sera tout aussi important. Il ne va pas falloir se louper. On sera prêtes et on répondra présentes.
C'était une immense joie, incroyable. On s'était bien préparé en amont avec cinq jours de stage à Clairefontaine. On a encore pu préparer ici à Teplice. C'est une immense joie que cela se concrétise et que l'on ait pu gagner ce premier match.
On s'est imaginé tous les scénarios possibles, on s'était dit que tout pouvait arriver. Que si on menait, il fallait à continuer à aller chercher. Si on prenait un but, il fallait relever la tête tout de suite, ne pas repartir dans nos mauvais démons.
Vous avez débuté le futsal il y a 1 an et demi, c'était votre 3e sélection, c'est un parcours que vous n'imaginiez pas ?
Je n'aurai jamais imaginé mais à partir du moment où j'ai été appelé en juin dernier (ndlr : stage élargi organisé à Créteil), c'est devenu un objectif. C'est hyper satisfaisant, avec la victoire, c'est incroyable mais ce n'est pas fini.
Qu'est-ce qui vous a convaincu de pratiquer le futsal ?
J'ai commencé le futsal il y a un an et demi suite à une blessure. Je ne pouvais pas reprendre tout de suite. Il y avait Léa que je connaissais. Je me suis très vite pris au jeu, tout le monde dans le club de football était OK (ndlr : AS Musau) pour s'y mettre.
Vous inscrivez le troisième but qui soulage l'équipe. Pouvez-vous nous le raconter ?
C'est allé très vite. On était placés au bon moment, au bon endroit. Je n'ai pas trop paniqué quand le ballon est arrivé et c'est certainement ce qu'il fallait faire. C'était incroyable de marquer à ce moment-là après avoir subi. Ca a soulagé un peu tout le monde mais le travail n'était pas fini. Il a fallu rester vigilantes sur la fin.
Le prochain match, la République tchèque est une grosse étape à passer...
On a profité dans le vestiaire et maintenant on doit se reconcentrer sur le prochain match qui sera tout aussi important. Il ne va pas falloir se louper. On sera prêtes et on répondra présentes.