Amel Majri (photo A Mesa/FFF)
Une nouvelle sélection
« C’est bon pour la confiance. Quand on est rappelée, cela veut quand même dire que le coach compte un peu sur la joueuse mais après il ne faut pas rester sur ses acquis, il faut toujours prouver à chaque entraînement et quand on fait appel à vous en match. Cela reste un grand plaisir de retrouver l’équipe de France et de pouvoir affronter de nouvelles équipes. »
Un cap de franchi
« Oui je pense que j’en ai franchi un parce que je joue de plus en plus en club (ndlr : Amel Majri a été titulaire lors de 8 des 9 matches de l’OL cette saison). Cela a joué par rapport à la sélection, c’est bien pour moi. Ce n’est que du positif. J’ai débuté en tant que titulaire cette année, ça me met vraiment en confiance après il y a de grosses échéances qui arrivent aussi. On verra ce qui va se passer mais pour l’instant tout va bien. Je touche du bois notamment par rapport à l’an dernier où j’étais blessée. »
L’Allemagne
« Je n’ai jamais affronté cette équipe mais mes coéquipières lyonnaises m’en ont parlée. Ça reste costaud, athlétique. Elles ont une mentalité de gagneuse et ne lâchent rien mais nous aussi nous avons une bonne équipe, il ne faut pas avoir peur. »
« C’est bon pour la confiance. Quand on est rappelée, cela veut quand même dire que le coach compte un peu sur la joueuse mais après il ne faut pas rester sur ses acquis, il faut toujours prouver à chaque entraînement et quand on fait appel à vous en match. Cela reste un grand plaisir de retrouver l’équipe de France et de pouvoir affronter de nouvelles équipes. »
Un cap de franchi
« Oui je pense que j’en ai franchi un parce que je joue de plus en plus en club (ndlr : Amel Majri a été titulaire lors de 8 des 9 matches de l’OL cette saison). Cela a joué par rapport à la sélection, c’est bien pour moi. Ce n’est que du positif. J’ai débuté en tant que titulaire cette année, ça me met vraiment en confiance après il y a de grosses échéances qui arrivent aussi. On verra ce qui va se passer mais pour l’instant tout va bien. Je touche du bois notamment par rapport à l’an dernier où j’étais blessée. »
L’Allemagne
« Je n’ai jamais affronté cette équipe mais mes coéquipières lyonnaises m’en ont parlée. Ça reste costaud, athlétique. Elles ont une mentalité de gagneuse et ne lâchent rien mais nous aussi nous avons une bonne équipe, il ne faut pas avoir peur. »
"Deux ou trois matières à valider pour avoir le bac"
La Tunisie
« La Tunisie reste mon pays d’origine, je suis née là-bas mais avec l’équipe de France, j’ai l’opportunité de faire une Coupe du monde. Le niveau n’est pas le même en Tunisie. Il y a bien la Coupe d’Afrique des Nations mais ça ne va pas plus loin. Et puis je suis arrivée très jeune en France, c’est le pays où j’ai grandi. »
La Marseillaise
« Je ne connaissais pas trop "La Marseillaise", ce sont mes coéquipières qui m’avaient collé les paroles sur mon casier. Elles m’avaient dit : il faut vite l’apprendre ! Je ne connaissais que le refrain. Aujourd’hui je bégaye encore un peu mais ça va mieux. »
Le bac
« J’ai passé le bac au rattrapage en candidat libre juste avant le match aller en Finlande en septembre. C’était un peu galère comme conditions. Le sport écrase un peu les études après il faut aussi faire un choix. Mais je suis convaincue qu’il faut avoir le bac. C’est important parce qu’on est à l’abri de rien avec le foot. J’espère que je l’aurai l’année prochaine. Il me reste deux ou trois matières à valider. »
La Coupe du monde
« C’est un rêve d’enfant après il faudra être dans le groupe. J’espère que je serais sélectionnée, je fais tout pour. Ce serait aussi la première fois pour moi puisque je n’ai pas connu une Coupe du monde en jeunes comme je n’avais pas encore ma naturalisation. On ne va pas se plaindre non plus mais jouer la Coupe du monde sur un synthétique, ce n’est pas terrible…Et toutes les joueuses vous diront la même chose. »
« La Tunisie reste mon pays d’origine, je suis née là-bas mais avec l’équipe de France, j’ai l’opportunité de faire une Coupe du monde. Le niveau n’est pas le même en Tunisie. Il y a bien la Coupe d’Afrique des Nations mais ça ne va pas plus loin. Et puis je suis arrivée très jeune en France, c’est le pays où j’ai grandi. »
La Marseillaise
« Je ne connaissais pas trop "La Marseillaise", ce sont mes coéquipières qui m’avaient collé les paroles sur mon casier. Elles m’avaient dit : il faut vite l’apprendre ! Je ne connaissais que le refrain. Aujourd’hui je bégaye encore un peu mais ça va mieux. »
Le bac
« J’ai passé le bac au rattrapage en candidat libre juste avant le match aller en Finlande en septembre. C’était un peu galère comme conditions. Le sport écrase un peu les études après il faut aussi faire un choix. Mais je suis convaincue qu’il faut avoir le bac. C’est important parce qu’on est à l’abri de rien avec le foot. J’espère que je l’aurai l’année prochaine. Il me reste deux ou trois matières à valider. »
La Coupe du monde
« C’est un rêve d’enfant après il faudra être dans le groupe. J’espère que je serais sélectionnée, je fais tout pour. Ce serait aussi la première fois pour moi puisque je n’ai pas connu une Coupe du monde en jeunes comme je n’avais pas encore ma naturalisation. On ne va pas se plaindre non plus mais jouer la Coupe du monde sur un synthétique, ce n’est pas terrible…Et toutes les joueuses vous diront la même chose. »
En bref
Amel MAJRI
Née le 25 janvier 1993 à Monastir (Tunisie)
1m71
Milieu de terrain ou défenseure
Parcours
AS des Minguettes Vénissieux (2005-2007), Olympique Lyonnais (depuis 2007)
Sélections
A (3 matchs - 1 but), B (2 matchs)
>> LA FICHE DETAILLEE
Née le 25 janvier 1993 à Monastir (Tunisie)
1m71
Milieu de terrain ou défenseure
Parcours
AS des Minguettes Vénissieux (2005-2007), Olympique Lyonnais (depuis 2007)
Sélections
A (3 matchs - 1 but), B (2 matchs)
>> LA FICHE DETAILLEE