Camille Abily fêtera sa 135e sélection avec les Bleues face aux USA cette nuit (Photo Eric Baledent)
La forme physique
« On a récupéré. C’était difficile au début avec le décalage horaire et la finale de la Coupe de France que l’on avait disputé le samedi. Mais on est parti avec un groupe de 25, personne n’a fait deux matches en entier. Tout le monde a pu jouer. C’est bien pour la récupération. »
La première manche face aux USA
« Les Américaines ont fait une très grosse première demi-heure. On a été mis en difficulté car on a beaucoup couru après le ballon. Mais on a quand même été dangereuse en contre et on s’est procuré quelques opportunités. A la mi-temps, on peut se retrouver à 1-1. Dans le jeu, elles nous ont posé problème mais elles n’ont pas été si dangereuses que ça hormis sur quelques coups de pied arrêtés. En deuxième période, elles ont eu une baisse physique. Est-ce que c’est parce qu’elles ont tellement donné en première mi-temps ? En tout cas, on a eu un peu plus la possession du ballon, on a joué plus haut. Et on aurait mérité d’égaliser. »
Temps faible
« On doit apprendre à gérer les temps forts pour elle et les temps faible pour nous. Il faut savoir ne pas prendre de buts dans ces périodes-là et ce même s’il faut défendre plus bas. On doit attendre que l’orage passe. »
Encourageant
« C’est génial d’affronter les USA et l’Allemagne, les deux meilleures nations du foot féminin. Il y a encore des réglages à peaufiner, des choses à travailler mais elles sont en pleine saison. Pas nous. Nous ne sommes pas à notre meilleur niveau physique, il y a le décalage horaire, les vols. On sa su quand même bien rivaliser malgré ces paramètres défavorables. C’est encourageant maintenant il reste encore beaucoup à faire notamment pendant la première demi-heure. »
« On a récupéré. C’était difficile au début avec le décalage horaire et la finale de la Coupe de France que l’on avait disputé le samedi. Mais on est parti avec un groupe de 25, personne n’a fait deux matches en entier. Tout le monde a pu jouer. C’est bien pour la récupération. »
La première manche face aux USA
« Les Américaines ont fait une très grosse première demi-heure. On a été mis en difficulté car on a beaucoup couru après le ballon. Mais on a quand même été dangereuse en contre et on s’est procuré quelques opportunités. A la mi-temps, on peut se retrouver à 1-1. Dans le jeu, elles nous ont posé problème mais elles n’ont pas été si dangereuses que ça hormis sur quelques coups de pied arrêtés. En deuxième période, elles ont eu une baisse physique. Est-ce que c’est parce qu’elles ont tellement donné en première mi-temps ? En tout cas, on a eu un peu plus la possession du ballon, on a joué plus haut. Et on aurait mérité d’égaliser. »
Temps faible
« On doit apprendre à gérer les temps forts pour elle et les temps faible pour nous. Il faut savoir ne pas prendre de buts dans ces périodes-là et ce même s’il faut défendre plus bas. On doit attendre que l’orage passe. »
Encourageant
« C’est génial d’affronter les USA et l’Allemagne, les deux meilleures nations du foot féminin. Il y a encore des réglages à peaufiner, des choses à travailler mais elles sont en pleine saison. Pas nous. Nous ne sommes pas à notre meilleur niveau physique, il y a le décalage horaire, les vols. On sa su quand même bien rivaliser malgré ces paramètres défavorables. C’est encourageant maintenant il reste encore beaucoup à faire notamment pendant la première demi-heure. »
"Pourquoi ne pas faire une dernière saison ou six mois aux Etats-Unis"
Camille Abily regrette la première demi-heure lors de la première manche.
A la recherche d’une victoire
« Même si on s’en rapproche de plus en plus, les États-Unis restent un modèle. Ce sont elles qui ont les titres et pas nous. On n’est pas arrivé où elles sont. Loin de là. On sait qu’elles travaillent beaucoup pour être encore meilleur à la Coupe du monde. C’est ce que l’on fait nous aussi à chaque entraînement. Après on se rapproche mais on a quand même hâte d’arriver à les battre. On n’a pas encore réussi à le faire. J’espère que ce sera pour jeudi. »
Retour aux États-Unis ?
« Les États-Unis, c’était vraiment une super expérience et si c’était à refaire, je le referais. Je ne regrette vraiment pas ce choix d’être partie. J’ai vécu deux très belles saisons aussi bien au niveau du foot où j’ai côtoyé de très grandes joueuses mais aussi en dehors. Cela m’a beaucoup appris : une nouvelle culture, une nouvelle langue. C’était sympa de pouvoir échanger en anglais avec les Américains cette semaine. Revenir y jouer ? Je ne sais pas mais pourquoi ne pas faire une dernière saison ou six mois ici à la fin de ma carrière. On ne sait jamais. »
La Coupe du monde au Brésil
« Je trouve que ce sont des matches avec beaucoup de buts, très ouverts. Je suis impressionnée par l’intensité et c’est ce qui rend les matches très agréables. On est toutes supportrices des Bleues. Et la France ne pouvait pas mieux rentrer dans la compétition, c’est super. Cela va leur donner beaucoup de confiance pour la suite même s’il ne faut pas non plus trop s‘enflammer. Je souhaite qu’ils aillent loin et ils peuvent le faire.»
« Même si on s’en rapproche de plus en plus, les États-Unis restent un modèle. Ce sont elles qui ont les titres et pas nous. On n’est pas arrivé où elles sont. Loin de là. On sait qu’elles travaillent beaucoup pour être encore meilleur à la Coupe du monde. C’est ce que l’on fait nous aussi à chaque entraînement. Après on se rapproche mais on a quand même hâte d’arriver à les battre. On n’a pas encore réussi à le faire. J’espère que ce sera pour jeudi. »
Retour aux États-Unis ?
« Les États-Unis, c’était vraiment une super expérience et si c’était à refaire, je le referais. Je ne regrette vraiment pas ce choix d’être partie. J’ai vécu deux très belles saisons aussi bien au niveau du foot où j’ai côtoyé de très grandes joueuses mais aussi en dehors. Cela m’a beaucoup appris : une nouvelle culture, une nouvelle langue. C’était sympa de pouvoir échanger en anglais avec les Américains cette semaine. Revenir y jouer ? Je ne sais pas mais pourquoi ne pas faire une dernière saison ou six mois ici à la fin de ma carrière. On ne sait jamais. »
La Coupe du monde au Brésil
« Je trouve que ce sont des matches avec beaucoup de buts, très ouverts. Je suis impressionnée par l’intensité et c’est ce qui rend les matches très agréables. On est toutes supportrices des Bleues. Et la France ne pouvait pas mieux rentrer dans la compétition, c’est super. Cela va leur donner beaucoup de confiance pour la suite même s’il ne faut pas non plus trop s‘enflammer. Je souhaite qu’ils aillent loin et ils peuvent le faire.»
Camille Abily digest
Née le 5 décembre 1984, à Rennes.
Poste : milieu de terrain
Parcours club : Saint-Brieuc, La Roche sur Yon, CNFE, Montpellier, OL, Los Angeles Sol, FC Golde Price, OL (depuis 2011)
LA FICHE DE CAMILLE ABILY AVEC LES BLEUES
Née le 5 décembre 1984, à Rennes.
Poste : milieu de terrain
Parcours club : Saint-Brieuc, La Roche sur Yon, CNFE, Montpellier, OL, Los Angeles Sol, FC Golde Price, OL (depuis 2011)
LA FICHE DE CAMILLE ABILY AVEC LES BLEUES
