C'est dans un traditionnel 4-4-2 que les Bleues débuteront ce match. Deux certitudes au niveau de l'équipe de départ, ce sont les absences de Louisa Necib, touchée au mollet, et Amel Majri, quadriceps, qui n'ont pas participé aux entraînements. Le sélectionneur veut aussi profiter de ce match pour préparer le Mondial justifiait-il dans l'Equipe : "Je dois faire jouer quelques jeunes. Si je reconduis l’équipe qui a battu l’Allemagne (2-0), je tue les remplaçantes !".
Aussi, on devrait voir Céline Deville dans les buts, et le retour de défenseure comme Laure Boulleau. Mais le choix est de mise au sein d'une défense où les jeunes Griedge Mbock et Anaig Butel pourraient prendre la place sur cette rencontre de Sabrina Delannoy et Laura Georges. Le milieu de terrain est aussi l'occasion d'aligner Claire Lavogez et Marina Makanza. Face à un adversaire physique, il reste à savoir le choix entre Amandine Henry, Elise Bussaglia ou Kheira Hamraoui, titulaire face à l'Allemagne. En attaque, Kadidiatou Diani pourrait aussi avoir du temps de jeu.
Malgré cette revue d'effectif, le sélectionneur n'en oublie pas les objectifs de victoire alors que les Bleues ambitionnent un podium l'été prochain : "On veut gagner et confirmer notre maîtrise technique. On est parvenu à se qualifier, ce n'est pas un exploit, mais pour les Espoirs face à la Suède aussi, ça devait être facile, paraît-il..."
Aussi, on devrait voir Céline Deville dans les buts, et le retour de défenseure comme Laure Boulleau. Mais le choix est de mise au sein d'une défense où les jeunes Griedge Mbock et Anaig Butel pourraient prendre la place sur cette rencontre de Sabrina Delannoy et Laura Georges. Le milieu de terrain est aussi l'occasion d'aligner Claire Lavogez et Marina Makanza. Face à un adversaire physique, il reste à savoir le choix entre Amandine Henry, Elise Bussaglia ou Kheira Hamraoui, titulaire face à l'Allemagne. En attaque, Kadidiatou Diani pourrait aussi avoir du temps de jeu.
Malgré cette revue d'effectif, le sélectionneur n'en oublie pas les objectifs de victoire alors que les Bleues ambitionnent un podium l'été prochain : "On veut gagner et confirmer notre maîtrise technique. On est parvenu à se qualifier, ce n'est pas un exploit, mais pour les Espoirs face à la Suède aussi, ça devait être facile, paraît-il..."
La Nouvelle-Zélande a accroché des nations référentes
La Nouvelle-Zélande est une nation issue d'une confédération où le parcours de qualification n'a été qu'une formalité face aux îles Tonga, les îles Cook et la Papouasie Nouvelle Guinée. Malgré cela, la France a déjà joué cette sélection, notamment à Chypre et Eugénie Le Sommer se rappelle : "On a eu l’occasion de l’affronter au tournoi de Chypre, c’est une équipe à dominante athlétique. Les Néo-Zélandaises pressent haut. À nous de vite sortir de ce pressing-là et de trouver les espaces, car je pense qu’à un moment donné, elles seront en retard et c’est là que le décalage se créera".
Pour Philippe Bergerôo, cette rencontre face au 19e du classement FIFA (ndlr : la France est 4e) : "Ce match est aussi important pour moi que celui face aux Brésiliennes, mercredi à Lyon". Un adversaire technique et puissant qui disposent d'un système avec deux ou trois lignes difficiles à franchir et une belle cohésion d'équipe. La Nouvelle-Zélande depuis la politique lancée en faveur du football féminin lors de l'organisation de la Coupe du Monde U17 féminine en 2008 a très vite et bien progressé, accrochant des équipes du Top5 ces dernières années comme le Brésil tout récemment (1-1, 0-0), qu'elles avaient même battu il y a un an (1-0), mais a aussi accrocher l'année dernière le Japon (1-1) et les USA (1-1).
Le Stade Francis Le Basser et le public mayennais attend en tout cas avec plaisir ce premier rendez-vous international dans cette enceinte avec plus de 10 000 places vendues. La ferveur s'est ressentie lors de chaque entraînement effectué depuis mercredi. La capitaine des Bleues aime à rappeler dans Ouest France : "On a envie de partager une belle fête avec notre public. C'est un plaisir de se déplacer dans tous les coins de la France".
Pour Philippe Bergerôo, cette rencontre face au 19e du classement FIFA (ndlr : la France est 4e) : "Ce match est aussi important pour moi que celui face aux Brésiliennes, mercredi à Lyon". Un adversaire technique et puissant qui disposent d'un système avec deux ou trois lignes difficiles à franchir et une belle cohésion d'équipe. La Nouvelle-Zélande depuis la politique lancée en faveur du football féminin lors de l'organisation de la Coupe du Monde U17 féminine en 2008 a très vite et bien progressé, accrochant des équipes du Top5 ces dernières années comme le Brésil tout récemment (1-1, 0-0), qu'elles avaient même battu il y a un an (1-0), mais a aussi accrocher l'année dernière le Japon (1-1) et les USA (1-1).
Le Stade Francis Le Basser et le public mayennais attend en tout cas avec plaisir ce premier rendez-vous international dans cette enceinte avec plus de 10 000 places vendues. La ferveur s'est ressentie lors de chaque entraînement effectué depuis mercredi. La capitaine des Bleues aime à rappeler dans Ouest France : "On a envie de partager une belle fête avec notre public. C'est un plaisir de se déplacer dans tous les coins de la France".
Match de préparation à la Coupe du Monde 2015
Samedi 22 novembre 2014 - 18h30
FRANCE - NOUVELLE-ZELANDE
Laval (Stade Francis Le Basser)
L'équipe probable : Deville - Delannoy, Renard (cap.), Mbock, Boulleau - Dali, Henry, Bussaglia, Thomis - Le Sommer, Thiney
>> LES PRECEDENTES CONFRONTATIONS
Samedi 22 novembre 2014 - 18h30
FRANCE - NOUVELLE-ZELANDE
Laval (Stade Francis Le Basser)
L'équipe probable : Deville - Delannoy, Renard (cap.), Mbock, Boulleau - Dali, Henry, Bussaglia, Thomis - Le Sommer, Thiney
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